L’Agenda 2030 est déjà Très Avancé

Le Système Financier Fiduciaire s’effondra dans le Monde Entier

Une Chance Unique de Détruire le Deep State de Haut en Bas

Le Drainage du Marais

PROTOCOLES DE SION

 

Un réseau puissant et dense

La pyramide définit la structure du pouvoir à laquelle la majorité de l’humanité est soumise, même dans les plus petits détails de notre vie. Cet article  révèle l’effondrement économique imminent, en expliquant ce qui se passe derrière le rideau et ce qui est caché et pourquoi.

L’axe vertical de la pyramide représente ; le pouvoir, la richesse, la connaissance, etc. La forme de la pyramide décrit la répartition de la population telle que mesurée par l’axe vertical. La grande majorité de l’humanité, c’est-à-dire nous, les gens, nous nous trouvons aux niveaux inférieurs, près de la base de la pyramide. Les contrôleurs – les pouvoirs en place – les élites du Deep State occupent les niveaux supérieurs, près du sommet.

Le contrôle des événements au niveau macro s’effectue de haut en bas au moyen de divisions à différentes hauteurs de la pyramide. Ces divisions rendent chaque section et chaque couche indépendantes les unes des autres afin de masquer l’image complète de la procédure. Conçues sur des mensonges, destinées à atteindre certains objectifs, tels que la guerre, la réduction de la population, le contrôle accru, la redistribution des richesses, etc. afin d’imposer la misère et la souffrance au peuple le plus que possible.

Nous, le peuple, laissons les choses se faire sous nos propres yeux en acceptant comme vérité le soutien promis et les mensonges de propagande. Cela a stimulé leur soif de pouvoir et l’augmentation de leur richesse. Ce sont des Satanistes sans empathie, sans âme et sans cœur, avec seulement une pompe à sang mécanique qui les maintient en vie.

Alors qui contrôle le monde ? Les Illuminati ? Les Francs-Maçons ? Les Jésuites, le Groupe Bilderberg ? Ou est-ce que ce sont tous des faux-fuyants pour détourner l’attention de la véritable élite mondiale ? La réponse, comme la plupart des sujets qui méritent d’être explorés, n’est pas tellement simple. Il existe sans aucun doute des puissances mondiales secrètes dont le seul but est de conserver et de développer ce pouvoir. Mais ils ne sont peut-être pas aussi secret que les gens le pensent. Et c’est ce qui les rend encore plus criminels.

Explorez les trois catégories principales : les finances, la politique et les média. C’est une tâche plus difficile qu’on ne l’imagine, car ils travaillent tous les trois de concert, comme prévu.

Pour l’Élite Financière, suivez l’argent : le théoricien des systèmes James B. Glattfelder met en lumière les recoins sombres du contrôle bancaire et de la finance internationale grâce à son analyse des processus scientifiques et fait sortir de l’ombre certains des acteurs principaux.

À partir d’une base de données massive de 37 millions d’entreprises, Glattfelder a sorti les 43 060 sociétés transnationales – des entreprises qui opèrent dans plus d’un pays – qui sont toutes reliées par leurs actionnaires. En creusant davantage, il a construit un modèle qui montre réellement à quel point ces sociétés sont liées les unes aux autres par leur propriété d’actions et les revenus d’exploitation correspondants.

Seules 1318 sociétés transnationales forment le noyau de l’économie. Dans ce graphique, les entreprises super connectées sont en rouge, les entreprises très connectées sont en jaune. La taille du point représente le chiffre d’affaires.

Cette image est effrayante et ressemble à une sorte de globe lumineux intergalactique. Glattfelder a fait un travail remarquable en résumant ces connexions aux principaux acteurs, et en précisant leur pouvoir au marché mondial. Ces “réseaux de propriété” peuvent révéler qui sont les principaux acteurs, comment ils sont organisés et dans quelle mesure exactement ces pouvoirs sont interconnectés. D’après le New Scientist :

Chacun des 1318 avait des liens avec deux ou plusieurs autres entreprises, et en moyenne ils étaient connectés à 20. De plus, bien qu’elles représentent 20 % des revenus d’exploitation mondiaux, les 1318 semblent posséder collectivement, par le biais de leurs actions, la majorité des grandes entreprises de premier ordre et des entreprises manufacturières du monde – ce qui constitue l’économie “réelle” – qui représentent 60 % des revenus mondiaux (PIB).

En démêlant davantage la toile de la propriété, on a découvert qu’une grande partie de celle-ci remontait à une “super-entité” de 147 entreprises encore plus étroitement liées – toutes leurs propriétés étaient détenues par d’autres membres de la super-entité – qui contrôlent 40 % de la richesse totale du réseau. Selon ses données, Glattfelder a découvert que les 730 principaux actionnaires contrôlent  80%, la quasi-totalité des revenus des sociétés transnationales.

Et, une surprise étonnante : il s’agit pour la plupart d’institutions financières des États-Unis et du Royaume-Uni. Cela représente une énorme quantité de contrôle concentré dans un petit nombre de mains. Le top 10 sociétés transnationales détiennent le plus grand contrôle sur l’économie mondiale. Si vous êtes un de ceux qui sont convaincus que les Grandes Banques dirigent le monde, vous devriez trouver une amusante justification à votre point de vue.

Parmi les 25 premières, on trouve JP Morgan, le Crédit Suisse et Goldman Sachs. Ce que vous ne trouverez pas, ce sont Apple, ExxonMobil, Shell, Microsoft ou General Electric, ce qui est étrange. En fait, seule la Société Chinoise Petrochimique reste à la 50e place, et est la première entreprise de la rangée à produire quelque chose.

Parmi les 1318 sociétés transnationales, on trouve des marques de produits bien connues, comme Big Oil, Big Pharma, High Tech, et toutes les Sociétés de Communication, de Médias et de Télécommunications. Des fournisseurs de produits alimentaires comme Nestlé, Unilever, Heinz, Procter and Gamble, Johnson & Johnson, des fabricants comme Philips, Siemens, Alstom, Mercedes, BMW, VW, Renault, etc.  Les fournisseurs de services tels que Google, Face Book, Twitter, sont tous inclus dans ce groupe de deuxième niveau.

Les 49 premières entreprises sont des institutions financières, des banques et des compagnies d’assurance, à l’exception de Wal-Mart, qui se classe à la 15e place. Les autres sociétés se contentent de se refiler de l’argent entre elles.

Ces institutions financières dirigent le monde. Qui sont essentiellement les banques “too big to fail“. En fait, les “too big to fail” sont les “too connected to fail”.

 

Un degré élevé d’interconnectivité peut être mauvais pour la stabilité, car le stress peut se propager dans le système comme une épidémie. C’est une chose d’avoir des soupçons que quelqu’un travaille en coulisses pour contrôler la masse monétaire mondiale. C’en est une autre d’avoir des preuves scientifiques qui le prouvent clairement. Mais ces criminels ne peuvent exister que dans un système politique qui soutient leurs objectifs. Et ces systèmes politiques fonctionnent pour la plupart au grand jour, comme le savent et le voient les personnes éveillées.

 

L’Agenda 2030 est bien avancé

L’élite du Deep State (DS) a pris toutes les décisions géopolitiques majeures au cours des cent dernières années, qui sont toujours passées par l’une de leurs organisations suivantes : le Groupe Bilderberg, créé au début des années 50 par le Prince Nazi Bernhard des Pays-Bas, la Commission Trilatérale, le Conseil des Relations Étrangères, la Banque Mondiale, la Banque des Règlements Internationaux (BRI) ou le Fonds Monétaire International (FMI). En fait, il s’agit des principaux courtiers de pouvoir du DS-global.

La Fed, et presque toutes les autres banques centrales et gouvernements continuent de manipuler le marché libre et de le priver intentionnellement de croissance et de bénéfices futurs. Des institutions financières profondément enracinées et des politiciens corrompus continuent de s’enrichir afin de maintenir leur richesse et leur pouvoir aux dépens de la population.

 

Le système financier fiat s’effondre dans le monde entier

La création de monnaie par l’émission de dette doit être équilibrée avec la croissance économique. Lorsque la charge de la dette augmente, la croissance doit s’intensifier; et lorsque cette croissance s’affaiblit, c’est tout le système qui s’en ressent, à moins que l’excédent de dette ne soit supprimé. En d’autres termes, la dette est maintenant trop surproportionnée et cela tue le système financier fiduciaire actuel dans le monde entier. A terme, ce système sera remplacé par le SFQ lorsque le président Trump en sera à son deuxième mandat.

La question qui se pose maintenant est la suivante: l’effondrement du Dollar Américain arriverait-il avant que cela ne se produise, alors que le DS tente de forcer par tous les moyens d’ en accuser l’administration de Trump afin d’installer Biden, ou est-ce que le Team Trump aura-t-il encore le temps de le remplacer à ses propres conditions? L’histoire nous l’apprend, cela deviendra une évasion étroite.  Déjà, depuis 2008 sur sa trajectoire actuelle, le système semble destiné à s’effondrer très bientôt, du même façon que toutes autres devises fiduciaires de l’histoire ont été vouées à la destruction et à l’effondrement.

Un effondrement prochain est prévu par le Deep State dans le but de destruction totale, de chaos et de désordre, dans laquelle d’innombrables réductions de population auront lieu pendant que les contrôleurs et les minions de haut niveau se cachent dans des abris souterrains. Dans ce scénario, l’ensemble du système financier mondial est défait et doit être reconstruit à partir de zéro, avec beaucoup moins de personnes, et un nouveau système monétaire mondial basé sur la monnaie fiduciaire en DTS gérée par le FMI. C’est ce qu’ils ont appelé le Great Reset, comme on le lit régulièrement dans les Médias MS.

D’après ce que lo’n sait du mode opératoire du Deep State, cela commence par leur utilisation du PRS (problème-Réaction-Solution) standard : créer des situations de crisis et de catastrophes qui leur permettent d’augmenter le controle au lieu de le perdre. Un tel scénario détruirait complètement l’infrastructure à travers laquelle ils se déplacent et opèrent, du financement de haut niveau à la manipulation des médias, en passant par le milieu universitaire jusqu’au système scolaire public local. Ils ont investis massivement dans ce plan depuis très longtemps. Alors que la pandémie COVID, leur substitut est la 3ième Guerre Mondiale prévue, ce qui aurait dû se dérouler sous l’administration Hilary Clinton.

Indépendant de ce que les gens pensent des origines de l’Agenda 2030, il est sage de prendre le temps pour lire les Protocoles de Sion. Ne vous contentez pas de les lire tout simplement, mais surtout étudiez-lez. Ils expliquent en détail ce qui va se passer dans le monde d’aujourd’hui et pourquoi.

 

Une Chance Unique de Détruire le Deep State de Haut en Bas

On ne peut le nier que l’exécution adriot de chaque élément sur plusieurs générations, provient du sommet de la pyramide. Leur connaissance des faiblesses humaines et le pouvoir du mensonge et de la tromperie dominent magistral. Conclusion : le plan DS de destruction de toute l’infrastructure de contrôle est entrepris maintenant, pour avoir la possibilité de tout recommencer. Mais ne vous inquiétez pas, l’équipe Trump et les Patriots ont la situation bien en main.

L’effondrement du Dollar comme Monnaie de Réserve est prévu depuis de nombreuses années, au moins depuis la crise de 2007/2008, et devrait être utilisé pour resserrer l’étau du DS sur les masses sans grande perte pour leurs infrastructures.

D’autre part, après l’élimination des Banques Centrales, les monnaies locales physiquement adossées à l’or seront mises en œuvre à l’échelle mondiale, dans un système contrôlé par les populations qui remplacera, le cas échéant, tous les systèmes existants de la Banque Centrale Rothschild. Après avoir éliminé toutes les Banques Centrales (BC), les banques TBTF – Too Big Too Fail – seront démantelées et divisées en plus petits bureaux bancaires locaux au service du public.

Entre-temps, d’innombrables vies sont et ont été détruites par des fraudes commises aux niveaux de ces BC et des TBTF. Considérez leurs crimes de fraude comme les derniers halètements d’un système de monnaie fiduciaire moribond. Et par extension, demandez : pourrait-il s’agir d’une expression de la “nature humaine” face à un effondrement imminent ? Non, il y a une bien meilleure explication.

L’émergence de psychopathes à des postes de haut niveau et de grande puissance dans les gouvernements, les institutions et les entreprises, c’est un problème contre lequel beaucoup d’entre nous ont mis en garde depuis des années. Le psychopathe est une excellente pièce du puzzle dans la pyramide existante en raison de sa “conscience instinctive” aiguë de qui est responsable, et on peut toujours s’attendre à ce qu’il agisse en fonction de son intérêt supposé. Les actions des psychopathes sont peu scrupuleuses et sont motivées par l’intérêt personnel au désavantage des autres, dans quelque sens que ce soit. Cela signifie que toutes les enquêtes sur les fraudes sont sabotées à un niveau supérieur en termes d’enquête et de poursuites, afin de garantir que l’agenda caché sera mené à bien. Tout cela est décrit dans les protocoles de Sion tels que définis dans l’Agenda 2030.

 

L’assèchement du Marais

La cabale du Deep State et ses acolytes représentent le premier pour cent de la population qui possède plus de la moitié des richesses du monde. Ils constituent un réseau d’individus extrêmement puissant qui contrôle presque tout ce qui nous entoure. Les gens ne le liront pas dans les Médias MS qui sont également contrôlés par ces mêmes personnes. Les politiciens n’en parleront pas publiquement car ils sont eux aussi complices. Ce serait comme un mafieux discutant d’un meurtre.

Le Deep State est la source de tout ce qui est mauvais, immoral et négatif sur la Planète Terre. Pour survivre aux temps difficiles qui viennent, il est essentiel de comprendre ce dont il s’agit. Le Deep State est constitué d’employés de haut niveau d’agences puissantes, comme la CIA, le FBI, la NSA, le FMI, la CFR, la BRI, la FED, l’UE, la BCE, la BoJ, de généraux de hautes rangs, d’amiraux et d’autres agents militaires, de législateurs, de politiciens de longue date, de membres du Congrès, du Parlement, de la Chambre des Lords et des sénateurs, de directeurs d’importantes agences de contrôle et de PDG de la plupart des grandes multinationales, dont la majorité des actions est entre les mains de copains du Deep State.

L’assèchement du marais, doit essentiellement commencer par l’enlèvement de la tête de la Pieuvre avant d’éliminer leurs marionnettes de haut en bas. Nous en serons témoins dans les prochaines semaines, après que le Président Trump aura entamé son deuxième mandat. Profitez de ce spectacle en direct, une seule fois dans l’histoire de l’humanité, ce sera le plus grand spectacle sur terre. Nous, en tant qu’êtres humains, sommes très privilégiés d’y assister, et nous contribuons à faire en sorte que chaque marionnette de la cabale soit arrêtée et traduite en justice.

L’Équipe Trump est prête à révéler quelque chose de très important dans les deux prochaines semaines. Ils ont pris au piège le marécage et les Médias MS, la fraude électorale est au grand jour. Maintenant, commence le temps où nous, le peuple, sommes capables de reprendre notre pays, sur la base de la Constitution qui montre la voie. Ce sera la tempête dont Q a parlé.

Si vous avez trouvé ces informations intéressantes, explicatives, précieuses et / ou perspicaces, veuillez les partager avec toutes les personnes que vous connaissez pour les aider à les éveiller et à les préparer. Et n’oubliez pas d’apposer votre drapeau national pour montrer au monde que vous êtes éveillés et afin de motiver la majorité silencieuse éveillée à faire de même. Plus il y a de drapeaux, plus cela montre que la cabale perd son emprise sur nous. Il y a beaucoup plus d’informations éclairantes à suivre! Vous êtes invités à vous abonner gratuitement et à participer à la discussion sur le site Web du Final Wakeup Call à l’adresse www.finalwakeupcall.info

 

L’Unité est le Pouvoir

Notre processus de libération ne peut plus être arrêté. S’unir avec d’autres personnes  partageant les mêmes idées crée et façonne notre meilleure réalité. Des réseaux mondiaux de personnes en éveil se créent, comme en Espagne dans la région de Marbella / Malaga, qui attire un nombre croissant de participants. En seulement quelques mois d’existence, le groupe est passé à plus de 425 membres. Si vous souhaitez postuler ou apprendre à créer votre propre groupe régional ou local, veuillez contacter FWC via email. Notre avenir est entre nos mains, en particulier  dans les petites communautés qui deviennent le fondement de notre société autogérée.

 

Restez à l’écoute, il y a plus à suivre…

 

PROTOCOLES DE SION

CHAQUE visiteur devrait en fait prendre sur lui de s’asseoir et de lire ce texte dérangeant, car sans absorber cette connaissance, on ne peut pas s’attendre à comprendre pleinement l’ennemi et ses plans.

SYNOPSIS DES PROTOCOLES

Les Goyim sont mentalement inférieurs aux Juifs et ne peuvent pas diriger leurs nations correctement. Pour leur bien et le nôtre, nous devons supprimer leurs gouvernements et les remplacer par un gouvernement unique. Cela prendra beaucoup de temps et impliquera beaucoup de carnage, mais c’est pour une bonne cause. Voici ce que nous devons faire : Placer nos agents et nos aides partout – Prendre le contrôle des médias et les utiliser dans la propagande de nos plans – Commencer des combats entre les différentes races, classes et religions – Utiliser la corruption, menaces et chantage pour obtenir ce que nous voulons – Utiliser les Loges des Francs-Maçons pour attirer des fonctionnaires potentiels – Faire appel à l’ego des gens qui réussissent – Nommer des dirigeants de marionnettes qui peuvent être contrôlés par le chantage – Remplacer le pouvoir royal par le pouvoir socialiste, puis le communisme, puis le despotisme – Supprimer tous les droits et les libertés, sauf le droit à la force par nous – Sacrifier des gens (y compris des Juifs parfois) si nécessaire – Éliminer la religion, la remplacer par la science et le matérialisme – Contrôler le système éducatif pour répandre la tromperie et détruire l’intellect – Réécrire l’histoire à notre avantage – Créer des distractions divertissantes – Corrompre les esprits par la saleté et la perversion – Encourager les gens à s’espionner les uns les autres – Maintenir les masses dans la pauvreté et le travail perpétuel – Prendre possession de toutes les richesses, des biens et (surtout) de l’or -Utiliser l’or pour manipuler les marchés, provoquer des dépressions, etc. – Introduire un impôt progressif sur la richesse – Remplacer les investissements sains par la spéculation – Accorder des prêts à long terme portant intérêt aux gouvernements – Donner de mauvais conseils aux gouvernements et à tous les autres.Finalement, les Goyim seront tellement en colère contre leurs gouvernements (parce que nous leur reprocherons le gâchis qui en résultera) qu’ils seront heureux de nous voir prendre le relais. Nous nommerons alors un descendant de David comme roi du monde, et les Goyim restants se prosterneront et chanteront ses louanges. Chacun vivra en paix et dans l’ordre sous son glorieux règne.  Lisez les Protocoles de Sion ici.

 

Protocoles de Sion

*** ceci n’est qu’ une simple traduction de l’anglais, pour servir le lecteur ; par manque de temps seulement avec l’aide de deeple.com sans aucune sorte de révision par la suite;merci pour votre compréhension ***

Bien que cette copie des Protocoles des sages de Sion soit incluse dans la Formation de base pour les révolutionnaires, il est tout à fait approprié qu’elle soit incluse en format texte ici sur ce site web, comme une autre référence à utiliser par tous. Il semble qu’en cherchant le document sur différents moteurs de recherche, il peut être difficile de trouver une version texte complète. Au lieu de cela, on trouve souvent de nombreux liens vers des sources juives qui tentent de démystifier les protocoles, plutôt que le document lui-même.

Si le document était effectivement un “faux” comme le prétendent les médias juifs, comment se fait-il que l’on puisse être abattu à vue pour avoir mentionné ce document en Russie dirigée par les bolcheviks (juifs) ? Pourquoi, lorsque la première version (abrégée) des protocoles a été publiée par Pavel Krushevan, a-t-on tenté de le tuer ? Voir ICI.

Après une tentative de meurtre par un P. S. Dashevsky, il a été rapporté que Krushevan vivait dans une peur constante, gardait des armes à portée de main et était accompagné d’un cuisinier personnel par peur d’être empoisonné.

Un autre homme du nom de Sergei Nilus a publié la première copie intégrale des protocoles en Russie en 1905. Vous trouverez quelques informations à son sujet ICI. Pour cet acte, il a été emprisonné et torturé par le bolchevique juif “Cheka”, selon cette source ICI.

En 1924, le professeur Nilus est arrêté à Kiev par la “Tcheka”, emprisonné, puis torturé. Le président du tribunal (qui était juif) lui a dit que ce traitement lui avait été infligé pour “leur avoir causé un tort incalculable en publiant les Protocoles”. Il a été libéré par la suite, et détenu à nouveau quelques mois plus tard, cette fois à Moscou ; il a été confiné, puis envoyé en exil, où il est mort en 1929.

Il existe de nombreuses autres sources et révélations concernant les protocoles, mais le plus important est le texte qu’ils contiennent, et c’est pourquoi le même exemplaire que celui de mon livre sera également archivé ici. J’espère que de nombreux visiteurs ici prendront réellement sur eux de s’asseoir et de lire ce texte dérangeant, car sans absorber cette connaissance, on ne peut pas s’attendre à comprendre pleinement l’ennemi et ses plans.

 

SYNOPSIS DES PROTOCOLES

Les Goyim sont mentalement inférieurs aux Juifs et ne peuvent pas diriger leurs nations correctement. Pour leur bien et le nôtre, nous devons abolir leurs gouvernements et les remplacer par un gouvernement unique. Cela prendra beaucoup de temps et impliquera beaucoup de sang, mais c’est pour une bonne cause. Voici ce que nous devons faire :

  • – Placez nos agents et nos aides partout
  • -Prendre le contrôle des médias et l’utiliser pour faire de la propagande en faveur de nos projets
  • – Engager des combats entre les différentes races, classes et religions
  • – Utiliser la corruption, les menaces et le chantage pour obtenir ce que nous voulons
  • – Utiliser les loges maçonniques pour attirer des fonctionnaires potentiels
  • – Faire appel à l’ego des gens qui réussissent
  • – Nommer des dirigeants fantoches qui peuvent être contrôlés par le chantage
  • – Remplacer le pouvoir royal par le pouvoir socialiste, puis le communisme, puis le despotisme
  • – Abolir tous les droits et libertés, sauf le droit de recourir à la force par nous
  • – Sacrifiez des personnes (y compris parfois des Juifs) lorsque cela est nécessaire
  • -Éliminer la religion ; la remplacer par la science et le matérialisme
  • – Contrôler le système éducatif pour répandre la tromperie et détruire l’intellect
  • – Réécrire l’histoire à notre avantage
  • – Créer des distractions divertissantes
  • – Corrompre les esprits par la saleté et la perversion
  • – Encourager les gens à s’espionner les uns les autres
  • – Maintenir les masses dans la pauvreté et le travail perpétuel
  • – Prendre possession de toutes les richesses, des biens et (surtout) de l’or
  • – Utiliser l’or pour manipuler les marchés, provoquer des dépressions, etc.
  • – Introduire un impôt progressif sur la fortune
  • – Remplacer l’investissement sain par la spéculation
  • – Accorder des prêts à long terme portant intérêt aux gouvernements
  • – Donner de mauvais conseils aux gouvernements et à tous les autres

Les Goyim finiront par être tellement en colère contre leurs gouvernements (parce que nous les blâmerons pour la le désordre qui en résulte) qu’ils nous feront volontiers prendre la relève. Nous nommerons alors un descendant de David pour être roi du monde, et les Goyim restants se prosterneront et chanteront ses louanges. Chacun vivra en paix et dans l’ordre sous son glorieux règne.

 

Les protocoles des sages de Sion

Utilisez les liens ci-dessous pour accéder facilement à chaque section des protocoles.

Table des matières

  • Préface
  • Introduction
  • Qui sont les anciens ?
  • Protocole I La doctrine de base
  • Protocole II Guerres économiques
  • Protocole III – Méthodes de conquête
  • Protocole IV : le matérialisme remplace la religion
  • Protocole V Despotisme et progrès moderne
  • Protocole VI – Technique de reprise
  • Protocole VII – Guerres mondiales
  • Protocole VIII Gouvernement provisoire
  • Protocole IX Rééducation
  • Protocole X Préparation au pouvoir
  • Protocole XI L’État totalitaire
  • Protocole XII Contrôle de la presse  
  • Protocole XIII Distractions
  • Protocole XIV – Atteintes à la religion
  • Protocole XV – Suppression impitoyable
  • Protocole XVI – Lavage de cerveau
  • Protocole XVII Abus d’autorité
  • Protocole XVIII Arrestation d’opposants
  • Protocole XIX Dirigeants et peuples
  • Programme financier du protocole XX
  • Protocole XXI Prêts et crédits
  • Protocole XXII Le pouvoir de l’or
  • Protocole XXIII Instiller l’obéissance
  • Protocole XXIV Qualités du dirigeant

 

PRÉFACE

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(Traduit par Victor E. Marsden)

L’auteur de cette traduction des célèbres Protocoles a lui-même été victime de la Révolution. Il avait vécu de nombreuses années en Russie et était marié à une dame russe. Parmi ses autres activités en Russie, il avait été pendant plusieurs années correspondant russe du POSTE DU MATIN, poste qu’il occupait lorsque la Révolution a éclaté, et ses descriptions vivantes des événements en Russie resteront dans les mémoires de nombreux lecteurs de ce Journal. Naturellement, il a été montré du doigt pour la colère des Soviétiques. Le jour où le capitaine Cromie fut assassiné par des Juifs, Victor Marsden fut arrêté et jeté dans la prison de Peter-Paul, s’attendant chaque jour à ce que son nom soit appelé pour être exécuté. Mais il s’échappa et fut finalement autorisé à rentrer en Angleterre, où il fut très mal en point. Cependant, il s’est rétabli sous et les soins dévoués de sa femme et de ses amis. L’une des premières choses qu’il a entreprises, dès qu’il en a été capable, a été cette traduction des protocoles. M. Marsden était éminemment qualifié pour ce travail. Sa connaissance intime de la Russie, de la vie russe et de la langue russe, d’une part, et sa maîtrise d’un style littéraire anglais laconique, d’autre part, le plaçaient dans une position avantageuse que peu d’autres pouvaient revendiquer. La conséquence est que nous avons dans sa version une œuvre éminemment lisible, et bien que le sujet soit quelque peu informe, la touche littéraire de M. Marsden révèle le fil conducteur des vingt-quatre protocoles.

On peut dire avec vérité que ce travail a été effectué au prix du sang de M. Marsden lui-même. Il a dit à l’auteur de cette Préface qu’il ne pouvait pas supporter plus d’une heure de travail au British Museum, car l’esprit diabolique de la matière qu’il était obligé de transformer en anglais le rendait positivement malade.

Le lien de M. Marsden avec le MORNING POST n’a pas été rompu par son retour en Angleterre, et il a été suffisamment bien pour accepter le poste de correspondant spécial de ce journal dans la suite de S.A.R., le Prince de Galles lors de sa tournée dans l’Empire. De là, il revint avec le Prince, apparemment en bien meilleure santé, mais quelques jours après son débarquement, il tomba soudainement malade, et mourut après une très brève maladie.

Que cette œuvre soit son monument de couronnement ! Il y a rendu un immense service au monde anglophone, et il ne fait aucun doute qu’il prendra sa place au premier rang des versions anglaises de “THE PROTOCOLS of the Meetings of the LEARNED ELDERS OF ZION”.

 

INTRODUCTION

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Il n’est pas nécessaire de présenter les protocoles eux-mêmes. Le livre dans lequel ils sont incorporés a été publié pour la première fois en 1897 par Philip Stepanov pour une diffusion privée parmi ses amis intimes. La première fois que Nilus les a publiés, c’était en 1901 dans un livre intitulé The Great Within the Small et réimprimé en 1905. Un exemplaire de ce livre se trouve au British Museum et porte la date de sa réception, le 10 août 1906. Tous les exemplaires connus en Russie ont été détruits sous le régime de Kerensky, et sous ses successeurs, la possession d’un exemplaire par quiconque en terre soviétique était un crime suffisant pour assurer à son propriétaire d’être abattu à vue. Ce fait est en soi une preuve suffisante de l’authenticité des protocoles. Les journaux juifs, bien sûr, disent qu’ils sont une contrefaçon, laissant entendre que le professeur Nilus, qui les a incorporés dans une œuvre de son cru, les avait concoctés pour ses propres fins.

  1. Henry Ford, dans une interview publiée dans le New York WORLD, le 17 février 1921, a déclaré le cas de Nilus de manière laconique et convaincante :

“La seule déclaration que je souhaite faire à propos des PROTOCOLES est qu’ils s’inscrivent dans le cadre de ce qui se passe. Ils ont seize ans, et ils ont adapté la situation mondiale jusqu’à ce jour. ILS S’Y ADAPTENT MAINTENANT”.

En effet, ils le font !

Le mot “protocole” signifie un précis collé sur le devant d’un document, un projet de document, un procès-verbal. En l’occurrence, le terme “protocole” désigne les procès-verbaux des réunions des sages de Sion. Ces protocoles donnent la substance des allocutions prononcées devant le cercle le plus intime des Sages de Sion. Ils révèlent le plan d’action converti de la nation juive développé à travers les âges et mis à jour par les Sages eux-mêmes. Des parties et des résumés de ce plan ont été publiés de temps à autre au cours des siècles, au fur et à mesure que les secrets des anciens ont été révélés. L’affirmation des Juifs selon laquelle les Protocoles sont des faux est en soi un aveu de leur authenticité, car ils n’ont JAMAIS tenté de répondre aux faits correspondant aux MENACES que contiennent les Protocoles, et, en effet, la correspondance entre la prophétie et l’accomplissement est trop flagrante pour être mise de côté ou obscurcie. Les Juifs le savent bien et s’y dérobent donc.

Le capitaine A.H.M. Ramsay consigne dans son classique, The Nameless War : “Selon une lettre publiée dans “Plain English” (une revue hebdomadaire publiée par la North British Publishing Co. et éditée par feu Lord Alfred Douglas) le 3 septembre 1921:-

“Les Anciens ont une existence bien plus longue qu’ils ne le soupçonnent peut-être. Mon ami, M. L. D. van Valckert, d’Amsterdam, m’a récemment envoyé une lettre contenant deux extraits de la synagogue de Mulheim. Le volume dans lequel ils sont contenus a été perdu à un moment donné pendant les guerres napoléoniennes et est récemment entré en possession de M. van Valckert. Il est écrit en allemand et contient des extraits de lettres envoyées et reçues par les autorités de la synagogue de Mulheim. La première entrée qu’il m’envoie est celle d’une lettre reçue :-

16 juin 1647.

De O.C. (i.e. Oliver Cromwell), par Ebenezer Pratt.

“En échange d’un soutien financier, préconisera l’admission des Juifs en Angleterre : Cela est cependant impossible tant que Charles vivra.

Charles ne peut être exécuté sans procès, pour lequel il n’existe pas de motifs adéquats à l’heure actuelle. Il faut donc conseiller que Charles soit assassiné, mais n’aura rien à voir avec les dispositions prises pour se procurer un assassin, même s’il est prêt à aider à sa fuite”.

En réponse a été envoyé le suivant : –

12 juillet 1647.

A O.C. par E. Pratt.

“Accordera une aide financière dès que Charles sera expulsé et que les Juifs seront admis. Assassinat trop dangereux. Charles aura la possibilité de s’échapper : sa capture rendra possible le procès et l’exécution. L’aide sera libérale, mais inutile de discuter des conditions avant le début du procès”.

Le capitaine Ramsay cite Isaac Disraeli, père de Benjamin, comte de Beaconsfield, le premier Premier ministre juif de Grande-Bretagne, dans son livre en deux volumes “Life of Charles I”, publié en 1851 : “La révolution anglaise sous Charles Ier ne ressemblait à aucune des précédentes… A partir de cette époque et de cet événement, nous contemplons dans notre histoire les phases de la révolution”. De nombreuses autres suivront dans la même voie, notamment en France. En 1897, un autre indice important de ces événements mystérieux est tombé entre les mains des Gentils sous la forme des Protocoles des Sages de Sion.

Dans ce document, nous lisons cette phrase remarquable : “Souvenez-vous de la Révolution française, les secrets de sa préparation nous sont bien connus car elle a été entièrement l’œuvre de nos mains.” (Voir Protocole n° III, XIV).

En 1865, un certain rabbin juif nommé Rzeichorn a prononcé un discours à Prague. Il s’agit d’un résumé très précis de nombreux aspects des protocoles qui seront mis en lumière plusieurs décennies plus tard. Il a été publié onze ans plus tard par Sir John Radcliff, qui a été assassiné peu de temps après, témoignant des pouvoirs de l’organisation secrète de l’élite juive intérieure, même à cette époque.

On présume fortement que les protocoles ont été publiés, ou réédités, lors du premier congrès sioniste tenu à Bâle en 1897 sous la présidence du père du sionisme moderne, feu Théodore Herzl.

Un volume du “Journal de Herzl” a été récemment publié, une traduction de certains passages parus dans la CHRONIQUE JUIVE du 14 juillet 1922. Herzl y relate sa première visite en Angleterre en 1895, et sa conversation avec le colonel Goldsmid, un juif élevé comme chrétien, officier dans l’armée anglaise et, dans le fond, nationaliste juif tout le temps. Goldsmid a suggéré à Herzl que la meilleure façon d’exproprier l’aristocratie anglaise, et donc de détruire son pouvoir de protéger le peuple d’Angleterre contre la domination juive, était de mettre des taxes excessives sur les terres. Herzl trouva cette idée excellente, et elle est maintenant définitivement inscrite dans le protocole VI !

L’extrait ci-dessus du journal de Herzl est une preuve extrêmement importante de l’existence du complot du monde juif et de l’authenticité des protocoles, mais tout lecteur de renseignements pourra, grâce à sa propre connaissance de l’histoire récente et à sa propre expérience, confirmer l’authenticité de chaque ligne, et c’est à la lumière de ce commentaire VIVANT que tous les lecteurs sont invités à étudier la traduction de M. Marsden de ce document terriblement inhumain.

Voici ce que le Dr. Ehrenpreis, Grand Rabbin de Suède, a dit en 1924, à propos des Protocoles : “Je connais bien le contenu des Protocoles depuis longtemps, en fait depuis de nombreuses années avant qu’ils ne soient publiés dans la presse chrétienne. Les Protocoles des Sages de Sion n’étaient en fait pas du tout les Protocoles originaux, mais un extrait compressé de ceux-ci. Sur les 70 Sages de Sion, en ce qui concerne l’origine et l’existence des Protocoles originaux, il n’y a que dix hommes dans le monde entier qui le savent.

J’ai participé avec le Dr Herzl au premier congrès sioniste qui s’est tenu à Bâle en 1897. Herzl était la figure la plus importante du Congrès juif mondial. Herzl a prévu, vingt ans avant que nous ne les connaissions, la révolution qui a amené la Grande Guerre, et il nous a préparés à ce qui allait se produire. Il avait prévu la scission de la Turquie, que l’Angleterre obtiendrait le contrôle de la Palestine. Nous pouvons nous attendre à des développements importants dans le monde”.

Et voici une autre circonstance très significative : l’actuel successeur de Herzl, en tant que chef du mouvement sioniste, le Dr Weizmann, a cité l’un de ces dictons lors du banquet d’adieu donné au grand rabbin Hertz le 6 octobre 1920. Le Grand Rabbin était sur le point de partir pour sa tournée de l’Empire de S.A.R., le Prince de Galles. Et c’est le “dicton” des Sages que le Dr Weizmann a cité : “Une protection bienfaisante que Dieu a instituée dans la vie du Juif est qu’Il l’a dispersé dans le monde entier.” (GARDIEN JUIF, 8 octobre 1920).

Comparons maintenant cela avec la dernière clause de l’avant-dernier protocole XI.

“Dieu nous a accordé, à nous, Son peuple élu, le don de la dispersion, et de là, qui apparaît à tous les yeux comme notre faiblesse, est sortie toute notre force, qui nous a maintenant amenés au seuil de la souveraineté sur le monde entier.”

La correspondance remarquable entre ces passages prouve plusieurs choses. Elle prouve l’existence des Anciens. Elle prouve que le docteur Weizmann sait tout d’eux. Elle prouve que le désir d’un “Foyer national” en Palestine n’est qu’un camouflage et une partie infinitésimale de l’objet réel du Juif. Elle prouve que les Juifs du monde n’ont aucune intention de s’installer en Palestine ou dans un autre pays et que leur prière annuelle pour qu’ils puissent tous se retrouver “l’année prochaine à Jérusalem” n’est qu’une partie de leur imaginaire caractéristique. Elle prouve également que les Juifs sont désormais une menace mondiale et que les races aryennes devront les domicilier en dehors de l’Europe de façon permanente.

QUI SONT LES ANCIENS ?

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C’est un secret qui n’a pas été révélé. C’est la Main Cachée. Ce n’est pas le “Board of Deputies” (le Parlement juif en Angleterre) ou l'”Alliance israélite universelle” qui siège à Paris. Mais feu Walter Rathenau de l’Allgemeiner Electricitaets Gesellschaft a jeté un peu de lumière sur le sujet et il était sans doute en possession de leurs noms, étant, selon toute vraisemblance, l’un des principaux dirigeants lui-même. Dans un article paru dans le WIENER FREIE PRESSE du 24 décembre 1912, il a déclaré

“Trois cents hommes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent le destin du continent européen, et ils élisent leurs successeurs dans leur entourage.”

En 1844, à la veille de la Révolution juive de 1848, Benjamin Disraeli, de son vrai nom Israël, et qui était un juif “mouillé” ou baptisé, a publié son roman, CONINGSBY, dans lequel se produit ce passage inquiétant :

“Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas dans les coulisses.”

Et il a poursuivi en montrant que ces personnages étaient tous juifs.

Maintenant que la Providence a mis au jour ces protocoles secrets, tous les hommes peuvent clairement voir les personnages cachés spécifiés par Disraeli à l’œuvre “dans les coulisses” de tous les gouvernements. Cette révélation implique pour tous les peuples la grave responsabilité d’examiner et de réviser AU FOND leur attitude envers la Race et la Nation qui se vante de sa survie sur tous les Empires.

Notes I. – “Agentur” et “The Political”.

Il y a deux mots inhabituels dans cette traduction, le mot “AGENTUR” et “politique” utilisé comme substantif, AGENTUR semble être un mot adopté de l’original et il désigne l’ensemble des agents et agences utilisés par les Anciens, qu’il s’agisse des membres de la tribu ou de leurs outils Gentils.

Par “le politique”, M. Marsden entend non pas exactement le “corps politique”, mais l’ensemble de l’appareil politique.

Notes II – Le serpent symbolique du judaïsme.

Le protocole III s’ouvre sur une référence au serpent symbolique du judaïsme. Dans son épilogue à l’édition de 1905 des protocoles, Nilus donne le compte rendu intéressant suivant de ce symbole :

“Selon les archives du sionisme juif secret, Salomon et d’autres hommes de science juifs avaient déjà, en 929 avant J.-C., élaboré un plan théorique pour une conquête pacifique de l’univers entier par Sion. Au fur et à mesure de l’évolution de l’histoire, ce plan a été élaboré en détail et complété par des hommes qui ont ensuite été initiés à cette question. Ces hommes savants ont décidé par des moyens pacifiques de conquérir le monde pour Sion avec la ruse du Serpent symbolique, dont la tête devait représenter ceux qui ont été initiés aux plans de l’administration juive, et le corps du Serpent pour représenter le peuple juif – l’administration a toujours été tenue secrète, MÊME DE LA NATION JUIVE EN SOI. En pénétrant dans le cœur des nations qu’il rencontrait, ce Serpent a miné et dévoré toute la puissance non juive de ces États. Il est prédit que le Serpent doit encore terminer son travail, en respectant strictement le plan conçu, jusqu’à ce que le cours qu’il doit suivre soit fermé par le retour de sa tête à Sion et jusqu’à ce que, par ce moyen, le Serpent ait achevé son tour de l’Europe et l’ait encerclé – et jusqu’à ce que, à force d’enchaîner l’Europe, il ait englobé le monde entier. Elle doit y parvenir en mettant tout en œuvre pour soumettre les autres pays à une CONQUÊTE ÉCONOMIQUE. Le retour de la tête du Serpent à Sion ne pourra s’accomplir qu’après que la puissance de tout le Souverain de l’Europe aura été mise à bas, c’est-à-dire que par 10 moyens de crises économiques et de destructions massives effectuées partout, il y aura eu une démoralisation spirituelle et une corruption morale, principalement avec l’aide de femmes juives se faisant passer pour des Français, des Italiens, etc. Ce sont là les plus sûrs propagateurs de la licence dans la vie des hommes à la tête des nations. Voici une carte du parcours du Serpent symbolique : – Sa première étape en Europe a eu lieu en 429 av. J.-C. en Grèce, où, vers l’époque de Périclès, le Serpent a commencé à ronger le pouvoir de ce pays. La deuxième étape a eu lieu à Rome au temps d’Auguste, vers 69 avant J.-C. La troisième à Madrid, à l’époque de Charles Quint, en 1552 après J.-C. La quatrième à Paris vers 1790, à l’époque de Louis XVI. Le cinquième à Londres à partir de 1814 (après la chute de Napoléon). Le sixième à Berlin en 1871 après la guerre franco-prussienne. Le septième à Saint-Pétersbourg, sur lequel est dessinée la tête du Serpent sous la date de 1881. [Ce “Serpent” est maintenant tiré à travers les Amériques et aux États-Unis d’Amérique, il a été partiellement identifié comme le “Council on Foreign Relations” (C.F.R.) et la “Trilateral Commission”]. Tous ces États que le Serpent a traversés ont vu les fondements de leur constitution ébranlés, l’Allemagne, avec sa puissance apparente, ne faisant pas exception à la règle. Dans les conditions économiques, l’Angleterre et l’Allemagne sont épargnées, mais seulement jusqu’à la conquête de la Russie par le Serpent, sur laquelle, à l’heure actuelle [c’est-à-dire en 1905], tous ses efforts sont concentrés. La suite du parcours du Serpent n’est pas indiquée sur cette carte, mais des flèches indiquent son prochain mouvement vers Moscou, Kieft et Odessa. Nous savons maintenant à quel point ces dernières villes constituent les centres de la race juive militante. Constantinople est indiquée comme la dernière étape du parcours du Serpent avant qu’il n’atteigne Jérusalem. (Cette carte a été dessinée des années avant l’apparition de la révolution “jeune Turc” – c’est-à-dire juive – en Turquie).

Notes III. – Le terme “Goyim”, qui signifie gentil ou non-juif, est utilisé tout au long des protocoles et est retenu par M. Marsden.

 

PROTOCOLES DES RÉUNIONS DES SAGES DE SION

 

PROTOCOLE No. 1

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  1. ….Au-delà des belles phrases, nous parlerons de la signification de chaque pensée : par des comparaisons et des déductions, nous éclairerons les faits environnants.
  2. Ce que je vais vous présenter, c’est notre système à partir des deux points de vue, celui de nous-mêmes et celui des GOYIM [c’est-à-dire des non-juifs].
  3. Il faut noter que les hommes ayant de mauvais instincts sont plus nombreux que les bons, et que par conséquent les meilleurs résultats pour les gouverner sont obtenus par la violence et la terreur, et non par des discussions académiques. Chaque homme vise le pouvoir, chacun voudrait devenir un dictateur si seulement il le pouvait, et rares sont les hommes qui ne seraient pas prêts à sacrifier le bien-être de tous pour assurer leur propre bien-être.
  4. Qu’est-ce qui a retenu les bêtes de proie que l’on appelle les hommes ? Qu’est-ce qui a servi à les guider jusqu’à présent ?
  5. Au début de la structure de la société, ils ont été soumis à une force brutale et aveugle ; par la suite – au Droit, qui est la même force, seulement déguisée. J’en tire la conclusion que, par la loi de la nature, le droit est en vigueur.
  6. La liberté politique est une idée mais pas un fait. Cette idée, il faut savoir l’appliquer chaque fois qu’il apparaît nécessaire avec cet appât d’une idée pour attirer les masses populaires à son parti dans le but d’écraser un autre qui est au pouvoir. Cette tâche est facilitée si l’adversaire a lui-même été infecté par l’idée de liberté, le LIBÉRALISME, et s’il est prêt à céder une partie de son pouvoir pour une idée. C’est précisément là qu’apparaît le triomphe de notre théorie ; les rênes relâchées du gouvernement sont immédiatement, par la loi de la vie, rattrapées et rassemblées par une nouvelle main, car la puissance aveugle de la nation ne peut pas un seul jour exister sans direction, et la nouvelle autorité ne fait que prendre la place de l’ancienne déjà affaiblie par le libéralisme.

GOLD

  1. De nos jours, le pouvoir qui a remplacé celui des dirigeants libéraux est le pouvoir L’or. C’était l’époque où la Foi régnait. L’idée de liberté est impossible à réaliser car personne ne sait l’utiliser avec modération. Il suffit de livrer un peuple à l’autonomie pendant un certain temps pour que ce peuple se transforme en une foule désorganisée. À partir de ce moment, nous avons des conflits internes qui se transforment rapidement en batailles entre classes, au milieu desquelles les États brûlent et leur importance est réduite à celle d’un tas de cendres.
  1. Qu’un État s’épuise dans ses propres convulsions, que sa discorde interne le soumette à la puissance d’ennemis extérieurs – en tout cas, on peut dire qu’il est irrémédiablement perdu : IL EST EN NOTRE POUVOIR. Le despotisme du Capital, qui est entièrement entre nos mains, lui tend une paille que l’État, bon gré mal gré, doit saisir : sinon – il va au fond.
  2. Si quelqu’un d’esprit libéral devait dire que de telles réflexions sont immorales, je lui poserais les questions suivantes : Si chaque État a deux ennemis et si, en ce qui concerne l’ennemi extérieur, il est permis et non considéré comme immoral d’utiliser toutes les manières et tous les arts du conflit, comme par exemple de maintenir l’ennemi dans l’ignorance des plans d’attaque et de défense, de l’attaquer de nuit ou en nombre supérieur, alors de quelle manière peut-on qualifier d’immoral et non permis le même moyen en ce qui concerne un ennemi pire, le destructeur de la structure de la société et du bien commun ?
  3. Est-il possible pour un esprit logique sain d’espérer réussir à guider les foules à l’aide de conseils et d’arguments raisonnables, lorsqu’une objection ou une contradiction, aussi insensée soit-elle, peut être faite et lorsque cette objection peut trouver plus de faveur auprès du peuple, dont les pouvoirs de raisonnement sont superficiels ? Les hommes des masses et les hommes des masses, guidés uniquement par des passions mesquines, des croyances dérisoires, des traditions et des théorèmes sentimentaux, sont en proie à des dissensions entre partis, qui empêchent tout type d’accord, même sur la base d’un argument parfaitement raisonnable. Toute résolution d’une foule dépend d’une chance ou d’une majorité écrasante qui, dans son ignorance des secrets politiques, propose une résolution ridicule qui jette dans l’administration un germe d’anarchie.
  4. Le politique n’a rien de commun avec le moral. Le dirigeant qui est gouverné par la morale n’est pas un politicien compétent, et est donc instable sur son trône. Celui qui veut gouverner doit avoir recours à la fois à la ruse et à l’illusion. Les grandes qualités nationales, comme la franchise et l’honnêteté, sont des vices en politique, car elles font tomber les dirigeants de leur trône plus efficacement et plus sûrement que l’ennemi le plus puissant. Ces qualités doivent être les attributs des royaumes des GOYIM, mais nous ne devons en aucun cas nous laisser guider par elles

LE DROIT, C’EST LE DROIT

  1. Notre droit est en vigueur. Le mot “droit” est une pensée abstraite et n’est prouvé par rien. Le mot ne signifie rien de plus : Donne-moi ce que je veux pour que je puisse ainsi avoir la preuve que je suis plus fort que toi.
  2. Où commence le droit ? Où se termine-t-il ?
  3. Dans tout État où il y a une mauvaise organisation de l’autorité, une impersonnalité des lois et des gouvernants qui ont perdu leur personnalité au milieu du flot de droits qui se multiplient sans cesse hors du libéralisme, je trouve un nouveau droit : celui d’attaquer par la droite du plus fort, et de disperser aux vents toutes les forces d’ordre et de régulation existantes, de reconstruire toutes les institutions et de devenir le seigneur souverain de ceux qui nous ont laissé les droits de leur pouvoir en les inscrivant volontairement dans leur libéralisme.
  4. Dans l’état actuel de vacillement de toutes les formes de pouvoir, notre pouvoir sera plus invincible que tout autre, car il restera invisible jusqu’au moment où il aura acquis une force telle qu’aucune ruse ne pourra plus le saper.
  5. Du mal temporaire que nous sommes maintenant contraints de commettre émergera le bien d’une règle inébranlable, qui rétablira le cours régulier des rouages de la vie nationale, mis à mal par le libéralisme. Le résultat justifie les moyens. Mais, dans nos projets, concentrons notre attention non pas tant sur ce qui est bon et moral que sur ce qui est nécessaire et utile.
  6. Nous avons devant nous un plan dans lequel est fixée stratégiquement la ligne dont nous ne pouvons pas nous écarter sans courir le risque de voir le travail de plusieurs siècles réduit à néant.
  7. Pour élaborer des formes d’action satisfaisantes, il est nécessaire de tenir compte de la racaille, du laxisme, de l’instabilité de la foule, de son manque de capacité à comprendre et à respecter les conditions de sa propre vie ou de son propre bien-être. Il faut comprendre que la puissance d’une foule est une force aveugle, insensée et déraisonnable, toujours à la merci d’une suggestion de quelque côté que ce soit. L’aveugle ne peut pas diriger l’aveugle sans l’entraîner dans l’abîme ; par conséquent, les membres de la foule, qui sont des arrivistes du peuple alors qu’ils devraient être des génies de la sagesse, mais qui n’ont aucune compréhension de la politique, ne peuvent pas se présenter comme chefs de la foule sans entraîner la ruine de toute la nation.
  8. Seule une personne formée dès l’enfance à l’autonomie peut comprendre les mots qui composent l’alphabet politique.
  9. Un peuple livré à lui-même, c’est-à-dire à ses arrières, se ruine par des dissensions de partis excités par la poursuite du pouvoir et des honneurs et les désordres qui en découlent. Est-il possible pour les masses populaires de se faire une opinion dans le calme et sans jalousies mesquines, de s’occuper des affaires du pays, qui ne peuvent être confondues avec l’intérêt personnel ? Peuvent-ils se défendre contre un ennemi extérieur ? C’est impensable, car un plan découpé en autant de parties qu’il y a de têtes dans la foule, perd toute homogénéité, et devient ainsi inintelligible et impossible à exécuter.

NOUS SOMMES DESPOTES

  1. Ce n’est qu’avec un dirigeant despotique que les plans peuvent être élaborés de manière extensive et claire de manière à répartir correctement l’ensemble entre les différentes parties de l’appareil de l’État : Il est donc inévitable de conclure qu’une forme de gouvernement satisfaisante pour tout pays est celle qui se concentre dans les 14 mains d’une seule personne responsable. Sans un despotisme absolu, il ne peut y avoir de civilisation qui soit portée non par les masses mais par leur guide, quel qu’il soit. La foule est sauvage, et affiche sa sauvagerie à chaque occasion. Dès que la foule prend la liberté entre ses mains, elle se tourne rapidement vers l’anarchie, qui est en soi le degré le plus élevé de sauvagerie.
  1. Voyez les animaux alcoolisés, abreuvés, dont le droit à un usage immodéré va de pair avec la liberté. Ce n’est pas à nous et aux nôtres de suivre cette voie. Les peuples du GOYIM sont abasourdis par les liqueurs alcoolisées ; leur jeunesse est devenue stupide sur le classicisme et sur l’immoralité primitive, dans laquelle elle a été induite par nos agents spéciaux – par des tuteurs, des laquais, des gouvernantes dans les maisons des riches, par des commis et autres, par nos femmes dans les lieux de dissipation fréquentés par le GOYIM. Dans le nombre de ces derniers, je compte aussi les soi-disant “dames de la société”, adeptes volontaires des autres dans la corruption et le luxe.
  2. Notre contre-signal est – Force et faux-semblant. Seule la force l’emporte dans les affaires politiques, surtout si elle est dissimulée dans les talents essentiels des hommes d’État. La violence doit être le principe, et la ruse et l’illusion la règle pour les gouvernements qui ne veulent pas déposer leur couronne aux pieds des agents d’un nouveau pouvoir. Ce mal est le seul et unique moyen d’atteindre la fin, le bien. C’est pourquoi nous ne devons pas nous arrêter à la corruption, à la tromperie et à la trahison alors qu’elles devraient servir à atteindre notre fin. En politique, il faut savoir saisir sans hésitation les biens d’autrui si cela nous permet d’assurer notre soumission et notre souveraineté.
  3. Notre État, en marche sur la voie de la conquête pacifique, a le droit de remplacer les horreurs de la guerre par des condamnations à mort moins perceptibles et plus satisfaisantes, nécessaires pour maintenir la terreur qui tend à produire une soumission aveugle. La sévérité juste mais impitoyable est le plus grand facteur de force de l’État : non seulement au nom du gain, mais aussi au nom du devoir, au nom de la victoire, nous devons nous en tenir au programme de violence et de faux-semblants. La doctrine de la quadrature du cercle est précisément aussi forte que les moyens qu’elle utilise. Ce n’est donc pas tant par les moyens eux-mêmes que par la doctrine de la sévérité que nous triompherons et que nous soumettrons tous les gouvernements à notre super-gouvernement. Il leur suffit de savoir que nous sommes trop impitoyables pour que toute désobéissance cesse.

NOUS METTRONS FIN À LA LIBERTÉ

  1. Dans les temps anciens, nous avons été les premiers à crier parmi les masses populaires les mots “Liberté, Égalité, Fraternité”, mots maintes fois répétés depuis ces jours par de stupides perroquets de sondage qui, de tous les côtés, se sont envolés sur ces appâts et ont emporté avec eux le bien-être du monde, la vraie liberté de l’individu, autrefois si bien protégé contre la pression de la foule. Les soi-disant sages du GOYIM, les intellectuels, ne pouvaient rien faire des mots prononcés dans leur abstractivité ; ils ne voyaient pas que dans la nature il n’y a pas d’égalité, ne peut être la liberté : que la Nature elle-même a établi l’inégalité des esprits, des Elle n’a jamais cessé de penser que la foule est aveugle, que les élites élues parmi elle pour la diriger sont, en ce qui concerne le politique, les mêmes aveugles que la foule elle-même, que l’adepte, bien qu’il soit un idiot, peut encore diriger, tandis que le non-adepte, même s’il est un génie, ne comprend rien au politique – à toutes ces choses, le GOYIM n’a pas fait attention ; pourtant, c’est sur ces choses qu’a reposé tout le temps le pouvoir dynastique : le père transmettait au fils une connaissance du cours des affaires politiques telle que personne ne devait la connaître, sauf les membres de la dynastie et que personne ne pouvait la trahir aux gouvernés. Avec le temps, le sens du transfert dynastique de la véritable position des affaires dans le domaine politique s’est perdu, ce qui a contribué au succès de notre cause.
  1. Aux quatre coins du monde, les mots “Liberté, Égalité, Fraternité” ont fait monter dans nos rangs, grâce à nos agents aveugles, des légions entières qui ont porté nos bannières avec enthousiasme. Et pendant tout ce temps, ces mots étaient des chancres à l’œuvre qui ennuyaient le bien-être des GOYIM, mettant fin partout à la paix, au calme, à la solidarité et détruisant tous les fondements des États GOY. Comme vous le verrez plus tard, cela nous a aidés à triompher : cela nous a donné la possibilité, entre autres, de mettre entre nos mains la carte maîtresse – la destruction des privilèges, ou en d’autres termes de l’existence même de l’aristocratie des GOYIM, cette classe qui était la seule défense que les peuples et les pays avaient contre nous. Sur les ruines de l’aristocratie naturelle et généalogique du GOYIM, nous avons installé l’aristocratie de notre classe instruite, dirigée par l’aristocratie de l’argent. Les qualifications pour cette aristocratie que nous avons établies dans la richesse, qui dépend de nous, et dans la connaissance, dont nos aînés cultivés fournissent la force motrice.
  2. Notre triomphe a été facilité par le fait que, dans nos relations avec les hommes que nous voulions, nous avons toujours travaillé sur les cordes les plus sensibles de l’esprit humain, sur le compte en espèces, sur la cupidité, sur l’insatiabilité des besoins matériels de l’homme ; et chacune de ces faiblesses humaines, prise isolément, suffit à paralyser l’initiative, car elle remet la volonté des hommes à la disposition de celui qui a acheté leurs activités.
  3. L’abstraction de la liberté nous a permis de persuader la foule dans tous les pays que leur gouvernement n’est rien d’autre que l’intendant des personnes qui sont les propriétaires du pays, et que l’intendant peut être remplacé comme un gant usé.
  4. C’est cette possibilité de remplacer les représentants du peuple qui a mis à notre disposition, et en quelque sorte, nous a donné le pouvoir de nomination.

 

PROTOCOLE n° 2

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  1. Il est indispensable pour notre objectif que les guerres, dans la mesure du possible, n’aboutissent pas les gains territoriaux : la guerre sera ainsi amenée sur le terrain économique, où les nations ne manqueront pas de percevoir dans l’assistance que nous leur apportons la force de notre prédominance, et cet état de choses mettra les deux parties à la merci de notre AGENTUR international ; qui possède des millions d’yeux toujours aux aguets et ne connaît aucune limite. Nos droits internationaux anéantiront alors les droits nationaux, au sens propre du terme, et régneront sur les nations exactement comme le droit civil des États régit les relations de leurs sujets entre eux.
  2. Les administrateurs, que nous choisirons parmi le public, en tenant strictement compte de leurs capacités d’obéissance servile, ne seront pas des personnes formées aux arts du gouvernement, et deviendront donc facilement des pions dans notre jeu entre les mains d’hommes savants et géniaux qui seront leurs conseillers, des spécialistes élevés et élevés dès la petite enfance pour diriger les affaires du monde entier. Comme vous le savez, nos spécialistes ont puisé dans nos projets politiques, dans les leçons de l’histoire, dans les observations faites sur les événements de chaque instant, les informations dont ils ont besoin pour gouverner. Les GOYIM ne sont pas guidés par l’utilisation pratique d’une observation historique sans préjugés, mais par une routine théorique sans aucun regard critique sur les résultats qui en découlent. Il n’est donc pas nécessaire d’en tenir compte, de les laisser s’amuser jusqu’à ce que l’heure sonne, ou de vivre de l’espoir de nouvelles formes de passe-temps entreprenants, ou du souvenir de tout ce dont ils ont joui. Pour eux, que cela joue le rôle principal que nous les avons persuadés d’accepter comme les diktats de la science (théorie). C’est dans cette optique que nous ne cessons, par le biais de notre presse, de susciter une confiance aveugle dans ces théories. Les intellectuels du GOYIM vont se gonfler de leurs connaissances et, sans aucune vérification logique de celles-ci, vont mettre en oeuvre toutes les informations disponibles de la science, que nos spécialistes de l’AGENTUR ont astucieusement rassemblées dans le but d’éduquer leurs esprits dans la direction que nous voulons.

L’ÉDUCATION DESTRUCTRICE

  1. Ne croyez pas un seul instant que ces déclarations soient des mots vides de sens : pensez bien aux succès que nous avons obtenus avec le darwinisme (évolution), le marxisme (communisme), le nietzschéisme (socialisme). Pour nous, Juifs, en tout cas, il devrait être évident de voir l’importance désintégrante que ces directives ont eue dans l’esprit du GOYIM.
  2. Il est indispensable que nous tenions compte des pensées, des caractères, des tendances des nations afin d’éviter les dérapages dans les affaires politiques et dans la direction des affaires administratives. Le triomphe de notre système, dont les éléments constitutifs peuvent être disposés différemment selon le tempérament des peuples rencontrés sur notre route, échouera si son application pratique ne repose pas sur une synthèse des leçons du passé à la lumière du présent.
  3. Dans les mains des États d’aujourd’hui, il existe une grande force qui crée le mouvement de la pensée dans le peuple, et c’est la presse. Le rôle de la presse est de continuer à mettre en avant nos exigences supposées indispensables, de faire entendre les plaintes du peuple, d’exprimer et de créer le mécontentement. C’est dans la presse que le triomphe de la liberté d’expression trouve son incarnation. Mais les Etats du GOYIM n’ont pas su en faire usage ; et elle est tombée entre nos mains. Grâce à la presse, nous avons acquis le pouvoir d’influencer tout en restant nous-mêmes dans l’ombre ; grâce à la presse, nous avons l’OR entre nos mains, même si nous avons dû le recueillir dans les océans de sang et de larmes. Mais elle nous a payé, même si nous avons sacrifié beaucoup de nos concitoyens. Chaque victime de notre côté vaut aux yeux de Dieu mille GOYIM.

 

PROTOCOLE n° 3

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  1. Aujourd’hui, je peux vous dire que notre objectif n’est plus qu’à quelques pas. Il reste un petit espace à traverser et tout le long chemin que nous avons parcouru est maintenant prêt à fermer son cycle du serpent symbolique, par lequel nous symbolisons notre peuple. Lorsque cet anneau se refermera, tous les États d’Europe seront enfermés dans son serpentin comme dans un puissant étau
  2. Les balances de constitution de ces jours vont bientôt s’effondrer, car nous les avons établies avec un certain manque d’équilibre précis afin qu’elles puissent osciller sans cesse jusqu’à ce qu’elles s’usent à travers le pivot sur lequel elles tournent. Les GOYIM ont l’impression de les avoir soudées suffisamment fort et ils ont toujours attendu que les balances s’équilibrent. Mais les pivots – les rois sur leurs trônes – sont enserrés par leurs représentants, qui jouent les imbéciles, affolés par leur propre pouvoir incontrôlé et irresponsable. Ce pouvoir, ils le doivent à la terreur qui a été insufflée dans les palais. Comme ils n’ont aucun moyen d’atteindre leur peuple, au sein même de celui-ci, les rois sur leurs trônes ne sont plus capables de s’entendre avec eux et de se renforcer contre ceux qui cherchent à s’emparer du pouvoir. Nous avons creusé un fossé entre la puissance souveraine et la force aveugle du peuple, de sorte que les deux ont perdu tout sens, car comme l’aveugle et son bâton, les deux sont impuissants à part.
  3. Afin d’inciter les chercheurs de pouvoir à un abus de pouvoir, nous avons mis toutes les forces en opposition les unes avec les autres, en brisant leurs tendances libérales vers l’indépendance. À cette fin, nous avons suscité toutes les formes d’entreprise, nous avons armé tous les partis, nous avons fait de l’autorité une cible pour toutes les ambitions. Nous avons fait des États des arènes de gladiateurs où se disputent beaucoup de questions confuses… Un peu plus, et les désordres et la faillite seront universels…
  4. Les babillages, inépuisables, ont transformé en concours oratoires les séances du Parlement et des conseils d’administration. Chaque jour, des journalistes audacieux et des pamphlétaires sans scrupules tombent sur des fonctionnaires de l’exécutif. Les abus de pouvoir mettront la touche finale à la préparation de toutes les institutions à leur renversement et tout s’envolera sous les coups de la foule en colère.

LA PAUVRETÉ, NOTRE ARME

  1. Tous les gens sont plus que jamais enchaînés à un lourd fardeau par la pauvreté. Ils ont été enchaînés par l’esclavage et le servage ; de ceux-ci, d’une manière ou d’une autre, ils pourraient se libérer. Ils pourraient s’en accommoder, mais ils ne s’en sortiront jamais. Nous avons inclus dans la constitution des droits des masses qui semblent fictifs et non réels. Tous ces soi-disant “droits des peuples” ne peuvent exister que dans l’idée, une idée qui ne peut jamais être réalisée dans la vie pratique. Qu’est-ce que cela signifie pour le travailleur du prolétariat, courbé par deux fois devant son lourd labeur, écrasé par son sort dans la vie, si les bavards ont le droit de babiller, si les journalistes ont le droit de griffonner n’importe quelle absurdité à côté de bonnes choses, une fois que le prolétariat n’a plus d’autre profit à tirer de la constitution que ces miettes pitoyables que nous leur jetons de notre table en échange de leur vote en faveur de ce que nous leur dictons, en faveur des hommes que nous mettons au pouvoir, les serviteurs de notre AGENTUR … Les droits républicains pour un pauvre homme ne sont qu’une amère ironie, car la nécessité de travailler presque toute la journée ne lui en donne pas l’usage actuel, mais d’autre part lui vole toute garantie de gains réguliers et certains en le rendant dépendant des grèves de ses camarades ou des lock-out de ses maîtres.

NOUS SOUTENONS LE COMMUNISME

  1. Le peuple, sous notre direction, a anéanti l’aristocratie, qui était sa seule et unique défense et sa seule mère nourricière pour le bien de son propre intérêt qui est inséparablement lié au bien-être du peuple. Aujourd’hui, avec la destruction de l’aristocratie, le peuple est tombé aux mains d’impitoyables canailles qui ont mis un joug impitoyable et cruel sur le cou des travailleurs.
  2. Nous apparaissons sur la scène en tant que prétendus sauveurs du travailleur de cette oppression lorsque nous lui proposons d’entrer dans les rangs de nos forces combattantes – socialistes, anarchistes, communistes – auxquelles nous apportons toujours notre soutien conformément à une prétendue règle fraternelle (de la solidarité de toute l’humanité) de notre MASONNERIE SOCIALE. L’aristocratie, qui jouit par la loi du travail des ouvriers, s’intéresse à ce que les ouvriers soient bien nourris, en bonne santé et forts. Nous sommes intéressés par le contraire – par la diminution, la destruction du GOYIM. Notre pouvoir réside dans la pénurie chronique de nourriture et la faiblesse physique du travailleur, car par tout ce que cela implique, il est fait l’esclave de notre volonté, et il ne trouvera dans ses propres autorités ni la force ni l’énergie pour s’opposer à notre volonté. La faim crée le droit du capital de diriger le travailleur plus sûrement qu’il n’a été donné à l’aristocratie par l’autorité légale des rois.
  3. Par la misère, l’envie et la haine qu’elle engendre, nous déplacerons les foules et de leurs mains nous anéantirons tous ceux qui nous gênent sur notre route.
  4. LORSQUE L’HEURE VIENDRA POUR NOTRE SEIGNEUR SOUVERAIN DU MONDE ENTIER D’ÊTRE COURONNÉ, CE SONT CES MÊMES MAINS QUI BALAIERONT TOUT CE QUI POURRAIT Y FAIRE OBSTACLE. (L'”Anti-Christ” biblique ?)
  5. Les GOYIM ont perdu l’habitude de penser, sauf si les suggestions de nos spécialistes les y incitent. C’est pourquoi ils ne voient pas l’urgence de ce que nous adopterons immédiatement, à l’avènement de notre royaume, à savoir qu’IL EST ESSENTIEL D’ENSEIGNER DANS LES ECOLES NATIONALES UN SEUL ET UNIQUE VRAI SAVOIR, LA BASE DE TOUTE CONNAISSANCE – LA CONNAISSANCE DE LA STRUCTURE DE LA VIE HUMAINE, DE L’EXISTENCE SOCIALE, QUI EXIGE LA DIVISION DU TRAVAIL ET, PAR CONSÉQUENT, LA DIVISION DES HOMMES EN CLASSES ET EN CONDITIONS. Il est essentiel que tous sachent que le DIFFÉRENT DANS LES OBJECTIFS DE L’ACTIVITÉ HUMAINE NE PEUT ÊTRE AUCUNE ÉGALITÉ, que celui qui, par un acte quelconque de ses compromis, compromet toute une classe, ne peut être responsable devant la loi au même titre que celui qui n’affecte personne mais seulement son propre honneur. La véritable connaissance de la structure de la société, dans les secrets de laquelle nous n’admettons pas les GOYIM, démontrerait à tous les hommes que les positions et le travail doivent être maintenus dans un certain cercle, qu’ils ne peuvent devenir une source de souffrance humaine, découlant d’une éducation qui ne correspond pas au travail que les individus sont appelés à faire. Après une étude approfondie de ces connaissances, les peuples se soumettront volontairement à l’autorité et accepteront la position qui leur sera assignée dans l’État. Dans l’état actuel des connaissances et dans l’orientation que nous avons donnée à leur développement, le peuple, croyant aveuglément aux choses imprimées, nourrit – grâce à des incitations destinées à l’induire en erreur et à sa propre ignorance – une haine aveugle envers toutes les conditions qu’il considère comme supérieures à lui-même, car il ne comprend pas le sens de la classe et de la condition.

LES JUIFS SERONT EN SÉCURITÉ

  1. CETTE HATERNITÉ SERA ENCORE MAGNIFIÉE PAR LES EFFETS D’UNE CRISE ÉCONOMIQUE, qui cessera d’agir sur les échanges et paralysera l’industrie. Nous créerons par tous les moyens souterrains secrets qui nous sont ouverts et avec l’aide de l’or, qui est entre nos mains, UNE CRISE ÉCONOMIQUE UNIVERSELLE PAR LAQUELLE NOUS FERONS PARTIR DANS LES RUES TOUS LES MOUVEMENTS DE TRAVAILLEURS SIMULTANÉMENT DANS TOUS LES PAYS D’EUROPE. Ces foules se précipiteront avec joie pour verser le sang de ceux que, dans la simplicité de leur ignorance, ils ont enviés depuis leur berceau, et dont ils pourront ensuite piller les biens.
  2. ILS NE TOUCHERONT PAS AUX “NÔTRES”, CAR LE MOMENT DE L’ATTAQUE NOUS SERA CONNU ET NOUS PRENDRONS DES MESURES POUR PROTÉGER LES NÔTRES.
  3. Nous avons démontré que le progrès amènera tous les GOYIM à la souveraineté de la raison. Notre despotisme sera précisément cela ; car il saura, par de sages sévérités, pacifier toute agitation, cautériser le libéralisme hors de toute institution.
  4. Lorsque la population a vu que toutes sortes de concessions et d’indulgences lui sont faites, en le même nom de liberté qu’il s’est imaginé être le seigneur souverain et a pris d’assaut son chemin vers le pouvoir, mais, naturellement comme tout autre aveugle, il s’est heurté à une foule d’obstacles. Il s’est empressé de trouver un guide, il n’a jamais eu le sentiment de revenir à l’ancien État et il a déposé ses pouvoirs plénipotentiaires à nos pieds. Souvenez-vous de la Révolution française, à laquelle nous avons donné le nom de “Grande” : les secrets de sa préparation nous sont bien connus car elle a été entièrement l’œuvre de nos mains.
  1. Depuis lors, nous conduisons les peuples d’un désenchantement à l’autre, afin qu’à la fin, ils se détournent aussi de nous en faveur de ce ROI-DESSOUS DU SANG DE LA ZONE, QUE NOUS PRÉPARONS POUR LE MONDE.
  2. Aujourd’hui, nous sommes, en tant que force internationale, invincibles, car si 21 sont attaqués par certains, nous sommes soutenus par d’autres États. C’est la racaille sans fond des peuples GOYIM, qui rampent sur le ventre pour forcer, mais qui sont impitoyables envers la faiblesse, peu soucieux des fautes et indulgents envers les crimes, peu disposés à supporter les contradictions d’un système social libre mais patients jusqu’au martyre sous la violence d’un despotisme audacieux – ce sont ces qualités qui nous aident à l’indépendance. Des premiers dictateurs d’aujourd’hui, les peuples GOYIM souffrent patiemment et supportent de tels abus que pour le moindre d’entre eux ils auraient décapité vingt rois.
  3. Quelle est l’explication de ce phénomène, de cette curieuse inconséquence des masses populaires dans leur attitude face à ce qui semble être des événements du même ordre ?
  4. Cela s’explique par le fait que ces dictateurs chuchotent aux peuples, par l’intermédiaire de leurs agents, que par ces abus ils portent atteinte aux États dans le but le plus élevé – assurer le bien-être des peuples, la fraternité internationale de tous, leur solidarité et l’égalité des droits. Naturellement, ils ne disent pas aux peuples que cette unification ne doit se faire que sous notre souveraineté.
  5. Ainsi, le peuple condamne les honnêtes gens et acquitte les coupables, persuadé de plus en plus qu’il peut faire ce qu’il veut. Grâce à cet état de choses, le peuple détruit toute forme de stabilité et crée des désordres à chaque étape.
  6. Le mot “liberté” amène les communautés d’hommes à lutter contre toute sorte de force, contre toute sorte d’autorité même contre Dieu et les lois de la nature. C’est pourquoi, lorsque nous entrerons dans notre royaume, nous devrons effacer ce mot du lexique de la vie comme impliquant un principe de force brute qui transforme les foules en bêtes assoiffées de sang.
  7. Ces bêtes, il est vrai, s’endorment à nouveau chaque fois qu’elles ont bu leur dose de sang, et peuvent alors facilement être rivetées à leurs chaînes. Mais si on ne leur donne pas de sang, elles ne dormiront pas et continueront à se débattre. 

PROTOCOLE n° 4

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  1. Chaque république passe par plusieurs étapes. La première est celle des premiers jours de la folle rage de la foule aveugle, ballottée ici et là, à droite et à gauche : la seconde est celle de la démagogie, d’où naît l’anarchie, et qui conduit inévitablement au despotisme – non plus un despotisme légal et manifeste, donc responsable, mais un despotisme invisible et secrètement caché, mais néanmoins ressenti avec bon sens entre les mains de telle ou telle organisation secrète, 22 dont les actes sont d’autant plus peu scrupuleux qu’elle travaille derrière un écran, dans le dos de toutes sortes d’agents, dont le changement non seulement ne nuit pas à la force secrète mais l’aide en fait en la sauvant, grâce à des changements continus, de la nécessité d’accroître ses ressources sur la récompense de longs services.
  2. Qui et quoi est en mesure de renverser une force invisible ? Et c’est précisément ce qu’est notre force. La maçonnerie de GENTILE sert aveuglément d’écran pour nous et nos objets, mais le plan d’action de notre force, même son lieu de séjour, reste pour tout le monde un mystère inconnu.

NOUS DÉTRUIRONS DIEU

  1. Mais même la liberté pourrait être inoffensive et avoir sa place dans l’économie de l’Etat sans nuire au bien-être des peuples si elle reposait sur le fondement de la foi en Dieu, sur la fraternité de l’humanité, sans lien avec la conception de l’égalité, qui est négativement influencée par les lois mêmes de la création, car elles ont établi la subordination. Avec une telle foi, un peuple pourrait être gouverné par une tutelle de paroisses, et marcherait avec contentement et humilité sous la direction de son pasteur spirituel en se soumettant aux dispositions de Dieu sur terre. C’est la raison pour laquelle il nous est INDISPENSABLE DE SOUS-MENTIONNER TOUTE FOI, D’ESSORER DE L’ESPRIT DU “GOYIM” LE TRES PRINCIPE DE LA TETE DE DIEU ET DE L’ESPRIT, ET DE METTRE A SA PLACE LES CALCULS ARITHMETIQUES ET LES BESOINS MATERIAUX.
  2. Afin de ne pas laisser aux GOYIM le temps de réfléchir et de prendre des notes, il faut détourner leur esprit vers l’industrie et le commerce. Ainsi, toutes les nations seront englouties dans la poursuite du gain et dans la course car elles ne prendront pas note de leur ennemi commun. Mais encore une fois, pour que la liberté puisse une fois pour toutes se désintégrer et ruiner les communautés du GOYIM, il faut mettre l’industrie sur une base spéculative : le résultat en sera que ce qui sera retiré de la terre par l’industrie passera entre les mains et passera en spéculation, c’est-à-dire à nos classes.
  3. L’intensification de la lutte pour la supériorité et les chocs infligés à la vie économique créeront, voire ont déjà créé, des communautés désenchantées, froides et sans cœur. De telles communautés favoriseront une forte aversion envers les hautes sphères politiques et la religion. Leur seul guide est le gain, c’est-à-dire l’or, qu’elles érigeront en un véritable culte, pour le bien de ces des plaisirs qu’elle peut donner. Alors viendra l’heure où, non pas pour atteindre le bien, ni même pour gagner de la richesse, mais uniquement par haine envers les privilégiés, les classes inférieures du GOYIM suivront notre exemple contre nos rivaux pour le pouvoir, les intellectuels du GOYIM.

PROTOCOLE n° 5

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  1. Quelle forme de règle administrative peut-on donner à des communautés dans lesquelles la corruption a pénétré partout, des communautés où les richesses ne sont atteintes que par la tactique de surprise astucieuse de tours de passe-passe à demi réduits ; où la perte règne : où la moralité est maintenue par des mesures pénales et des lois sévères mais non par des principes volontairement acceptés : où les sentiments envers la foi et la patrie sont obligés par des convictions cosmopolites ? Quelle forme de règle donner à ces communautés si ce n’est ce despotisme que je vous décrirai plus tard ? Nous allons créer une centralisation intensifiée du gouvernement afin de tenir entre nos mains toutes les forces de la communauté. Nous allons réglementer mécaniquement toutes les actions de la vie politique de nos sujets par de nouvelles lois. Ces lois retireront une à une toutes les indulgences et les libertés qui ont été permises par le GOYIM, et notre royaume se distinguera par un despotisme d’une ampleur telle qu’il sera à tout moment et en tout lieu en mesure d’anéantir tout GOYIM qui s’opposerait à nous par ses actes ou ses paroles.
  2. On nous dira qu’un tel despotisme dont je parle n’est pas compatible avec les progrès de ces temps, mais je vous prouverai qu’il l’est.
  3. À l’époque où les peuples considéraient les rois sur leurs trônes comme une pure manifestation de la volonté de Dieu, ils se soumettaient sans un murmure au pouvoir despotique des rois : mais à partir du jour où nous avons insinué dans leur esprit la conception de leurs propres droits, ils ont commencé à considérer les occupants des trônes comme de simples mortels ordinaires. La sainte onction de l’Oint du Seigneur est tombée de la tête des rois aux yeux du peuple, et lorsque nous les avons également privés de leur foi en Dieu, la puissance du pouvoir a été jetée dans les rues sur le lieu de propriété publique et nous nous en sommes emparés.

DES MASSES MENÉES PAR DES MENSONGES

  1. De plus, l’art de diriger les masses et les individus au moyen d’une théorie et d’un verbiage savamment manipulés, par des réglementations de la vie en commun et toutes sortes d’autres bizarreries, dans tout ce que les GOYIM ne comprennent pas, appartient également aux spécialistes de notre cerveau administratif. Nés de l’analyse, de l’observation, de la finesse du calcul, nous n’avons pas de rivaux dans cette espèce de compétence, pas plus que dans l’élaboration de plans d’actions politiques et de solidarité. A cet égard, les jésuites auraient pu être les seuls à nous comparer, mais nous avons inventé

 

 

 

 

pour les discréditer aux yeux de la foule irréfléchie en tant qu’organisation ouverte, alors que nous-mêmes avons tout le temps gardé notre organisation secrète dans l’ombre. Cependant, c’est probablement du pareil au même pour le monde qui est son seigneur souverain, qu’il s’agisse du chef du catholicisme ou de notre despote du sang de Sion ! Mais pour nous, le Peuple élu, c’est loin d’être une question d’indifférence.

  1. POUR UN TEMPS, NOUS POURRONS ETRE TRAITES AVEC SUCCESSION PAR UNE COALITION DU “GOYIM” DE TOUTE LA MONDE : mais de ce danger, nous sommes protégés par la discorde qui existe entre eux et dont les racines sont si profondément ancrées qu’elles ne peuvent plus être arrachées. Nous avons mis en opposition les comptes personnels et nationaux des GOYIM, les haines religieuses et raciales, que nous avons encouragés à se développer considérablement au cours des vingt derniers siècles. C’est la raison pour laquelle il n’y a pas un seul État qui serait soutenu s’il levait le bras, car chacun d’entre eux doit garder à l’esprit que tout accord conclu contre nous ne serait pas rentable pour lui. Nous sommes trop forts – il n’y a pas moyen de se soustraire à notre pouvoir. LES NATIONS NE PEUVENT PAS PARVENIR À UN ACCORD PRIVÉ, MÊME INSIGNIFIANT, SANS QUE NOUS Y SOYONS SECRÈTEMENT MÊLÉS.
  2. PER ME REGES REGNANT. “C’est à travers moi que les Rois règnent.” Et il a été dit par les prophètes que nous avons été choisis par Dieu lui-même pour régner sur toute la terre. Dieu nous a dotés de génie pour que nous soyons à la hauteur de notre tâche. Si le génie était dans le camp opposé, il nous combattrait toujours, mais même ainsi, un nouveau venu ne peut pas faire le poids face à un colon établi depuis longtemps : la lutte serait sans merci entre nous, une lutte comme le monde n’en a jamais vu. Oui, et le génie de leur camp serait arrivé trop tard. Toutes les roues de la machine de tous les États sont entraînées par la force du moteur, qui est entre nos mains, et ce moteur de la machine des États est – l’or. La science de l’économie politique inventée par nos savants aînés donne depuis longtemps un prestige royal au capital.

LE CAPITAL MONOPOLISTIQUE

  1. Le capital, s’il veut coopérer sans entrave, doit être libre d’établir un monopole de l’industrie et du commerce : c’est ce qu’une main invisible est déjà en train de mettre en œuvre dans tous les coins du monde. Cette liberté donnera une force politique à ceux qui sont engagés dans l’industrie, et cela contribuera à opprimer le peuple. Aujourd’hui, il est plus important de désarmer les peuples que de les conduire à la guerre : plus important d’utiliser à notre avantage les passions qui se sont enflammées que d’éteindre leur feu : plus important de les éradiquer. L’OBJET PRINCIPAL DE NOTRE DIRECTION CONSISTE EN CELA : DÉBILITER L’ESPRIT PUBLIC PAR LA CRITIQUE ; L’ÉLOIGNER DES RÉFLEXIONS SÉRIEUSES DESTINÉES À SUSCITER LA RÉSISTANCE ; DÉTOURNER LES FORCES DE L’ESPRIT VERS UN FAUX COMBAT D’ÉLOQUENCE VIDE.
  2. À tous les âges, les peuples du monde, à égalité avec les individus, ont accepté des mots pour des actes, car ILS SONT CONTENUS PAR UN SPECTACLE et s’arrêtent rarement pour noter, dans l’arène publique, si les promesses sont suivies d’une exécution. C’est pourquoi nous mettrons en place des institutions du spectacle qui donneront une preuve éloquente de leur utilité pour le progrès.
  3. Nous nous approprierons la physionomie libérale de toutes les parties, de toutes les directions, et nous donnerons à cette physionomie une VOIX DANS LES ORATEURS QUI PARLERONT TELLEMENT QU’ILS EXHAUSTERONT LA PATIENCE DE LEURS AUDITEURS ET PRODUIRONT UNE ABHORRENCE D’ORATOIRE.
  4. POUR METTRE L’OPINION PUBLIQUE ENTRE NOS MAINS, NOUS DEVONS LA METTRE DANS UN ÉTAT DE CONFUSION EN EXPRIMANT DE TOUTES PARTS TANT D’OPINIONS CONTRADICTOIRES ET PENDANT UNE DURÉE SUFFISANTE POUR FAIRE PERDRE LA TÊTE AUX “GOYIM” DANS LE LABYRINTHE ET LEUR FAIRE COMPRENDRE QUE LE MIEUX EST DE N’AVOIR AUCUNE OPINION D’AUCUNE SORTE EN MATIÈRE POLITIQUE, qu’il n’est pas donné au public de comprendre, car ils ne sont compris que par celui qui guide le public. C’est le premier secret.
  5. Le deuxième secret nécessaire au succès de notre gouvernement est le suivant : Multiplier à un tel point les défaillances nationales, les habitudes, les passions, les conditions de vie civile, qu’il sera impossible pour quiconque de savoir où il se trouve dans le chaos qui en résulte, de sorte que les gens ne se comprendront pas. Cette mesure nous servira également d’une autre manière, à savoir, semer la discorde dans toutes les parties, disloquer toutes les forces collectives qui ne veulent pas encore se soumettre à nous, et décourager toute sorte d’initiative personnelle qui pourrait, à un degré ou à un autre, entraver notre affaire. IL N’Y A RIEN DE PLUS DANGEREUX QUE L’INITIATIVE PERSONNELLE : si elle est géniale, une telle initiative peut faire plus que ce que peuvent faire des millions de personnes parmi lesquelles nous avons semé la discorde. Nous devons orienter l’éducation des communautés GOYIM de telle sorte que, chaque fois qu’elles sont confrontées à une question nécessitant une initiative, elles puissent tomber dans une impuissance désespérée. La tension qui résulte de la liberté d’action épuise les forces lorsqu’elle rencontre la liberté d’un autre. De cette collision naissent de graves chocs moraux, des désenchantements, des échecs. PAR TOUS CES MOYENS, NOUS USERONS TELLEMENT LES “GOYIM” QU’ILS SERONT CONTRAINTS DE NOUS OFFRIR UNE PUISSANCE INTERNATIONALE D’UNE NATURE QUI, PAR SA POSITION, NOUS PERMETTRA, SANS AUCUNE VIOLENCE, D’ABSORBER PROGRESSIVEMENT TOUTES LES FORCES ÉTATIQUES DU MONDE ET DE FORMER UN SUPER-GOUVERNEMENT. À la place des dirigeants actuels, nous mettrons en place un bogey qui s’appellera l’Administration du super-gouvernement. Ses mains tendront dans toutes les directions comme des pinces et son organisation sera d’une dimension si colossale qu’elle ne pourra manquer de soumettre toutes les nations du monde. (Société des Nations et Organisation des Nations Unies qui suivra – Ed.).

 

PROTOCOLE No. 6

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  1. nous allons bientôt commencer à établir d’énormes monopoles, des réservoirs de richesses colossales, dont même les grandes fortunes des GOYIM dépendront à tel point qu’elles iront au fond ainsi que le crédit des États au lendemain du choc politique … (Retraite obligatoire, Sécurité sociale).
  1. Vous, messieurs ici présents qui êtes économistes, faites une estimation de la signification de cette combinaison ! …
  2. De toutes les manières possibles, nous devons développer la signification de notre SuperGouvernement en le représentant comme le protecteur et le bienfaiteur de tous ceux qui se soumettent volontairement à nous.
  3. L’aristocratie des GOYIM en tant que force politique est morte – nous n’avons pas besoin d’en tenir compte ; mais en tant que propriétaires terriens, ils peuvent encore nous être préjudiciables du fait qu’ils s’autosuffisent en ressources sur lesquelles ils vivent. Il est donc essentiel pour nous de les priver à tout prix de leurs terres. Le meilleur moyen d’atteindre cet objectif est d’accroître les charges qui pèsent sur les propriétés foncières, en les chargeant de dettes. Ces mesures permettront de contrôler la propriété foncière et de la maintenir dans un état de soumission humble et inconditionnelle.
  4. Les aristocrates du GOYIM, étant héréditairement incapables de se contenter de peu, vont rapidement s’épuiser et s’éteindre.

NOUS ASSERVIRONS LES GENTILS

  1. En même temps, nous devons faire preuve d’une intense condescendance à l’égard du commerce et de l’industrie, mais avant tout de la spéculation, dont le rôle est de fournir un contrepoids à l’industrie : l’absence d’industrie spéculative multipliera les capitaux en mains privées et servira à restaurer l’agriculture en libérant la terre de l’endettement envers les banques foncières. Ce que nous voulons, c’est que l’industrie draine de la terre à la fois le travail et le capital et que, par le biais de la spéculation, elle transfère entre nos mains tout l’argent du monde, et jette ainsi tous les GOYIM dans les rangs du prolétariat. Alors les GOYIM se prosterneront devant nous, ne serait-ce que pour obtenir le droit d’exister.
  2. Pour achever la ruine de l’industrie du GOYIM nous apporterons à l’aide de la spéculation le luxe que nous avons développé chez les GOYIM, cette demande gourmande de luxe qui engloutit tout. NOUS AUGMENTERONS LE TAUX DES SALAIRES QUI, CEPENDANT, N’APPORTERA AUCUN AVANTAGE AUX TRAVAILLEURS, CAR, EN MÊME TEMPS, NOUS PRODUIRONS UNE HAUSSE DES PRIX DES PREMIERS PRODUITS DE PREMIÈRE NÉCESSITÉ DE LA VIE, ALLÉGUANT QU’ELLE PROVIENT DU DÉCLIN DE L’AGRICULTURE ET DE L’ÉLEVAGE : NOUS MINERONS DAVANTAGE LES SOURCES DE PRODUCTION, ARTISTIQUEMENT ET PROFONDÉMENT, EN HABITUANT LES TRAVAILLEURS À L’ANARCHIE ET À L’IVRESSE ET EN PRENANT, À CÔTÉ DE CELA, TOUTES LES MESURES NÉCESSAIRES POUR FAIRE DISPARAÎTRE DE LA SURFACE DE LA TERRE TOUTES LES FORCES INSTRUITES DES “GOYIM”.
  3. AFIN QUE LE VRAI SENS DES CHOSES NE FRAPPE PAS LE “GOYIM” AVANT LE MOMENT OPPORTUN, NOUS LE MASQUERONS SOUS UN PRÉTENDU DÉSIR ARDENT DE SERVIR LE LES CLASSES OUVRIÈRES ET LES GRANDS PRINCIPES DE L’ÉCONOMIE POLITIQUE SUR LESQUELS NOS THÉORIES ÉCONOMIQUES FONT UNE PROPAGANDE ÉNERGIQUE.

 

PROTOCOLE No. 7

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  1. L’intensification de l’armement, l’augmentation des forces de police – sont toutes essentielles pour la réalisation des plans susmentionnés. Ce à quoi nous devons tendre, c’est qu’il n’y ait dans tous les États du monde, outre nous-mêmes, que les masses du prolétariat, quelques millionnaires dévoués à nos intérêts, des policiers et des soldats.
  2. Dans toute l’Europe, et par le biais des relations avec l’Europe, dans les autres continents également, nous devons créer des ferments, des discordes et de l’hostilité. Nous y gagnerons un double avantage. D’abord, nous contrôlons tous les pays, car ils sauront que nous avons le pouvoir de créer des désordres ou de rétablir l’ordre chaque fois que nous le voulons. Tous ces pays sont habitués à voir en nous une force de coercition indispensable. En second lieu, par nos intrigues, nous emmêlerons tous les fils que nous avons tendus dans les cabinets de tous les États par le biais des obligations politiques, économiques ou de prêts. Pour y parvenir, nous devons faire preuve de beaucoup de ruse et de pénétration lors des négociations et des accords, mais, en ce qui concerne ce que l’on appelle la “langue officielle”, nous nous en tiendrons à la tactique inverse et assumerons le masque de l’honnêteté et de la complaisance. De cette façon, les peuples et les gouvernements du GOYIM, à qui nous avons appris à ne regarder que l’extérieur quoi que nous leur présentions, continueront à nous accepter comme les bienfaiteurs et les sauveurs de la race humaine.

GUERRE UNIVERSELLE

  1. Nous devons être en mesure de répondre à tout acte d’opposition par la guerre avec les voisins du pays qui ose s’opposer à nous : mais si ces voisins doivent aussi s’aventurer à se dresser collectivement contre nous, alors nous devons offrir une résistance par une guerre universelle.
  2. Le principal facteur de succès du politique est le secret de ses entreprises : la parole ne doit pas être en accord avec les actes du diplomate.
  3. Nous devons contraindre les gouvernements du GOYIM à agir dans le sens favorisé par notre plan largement conçu, déjà proche de la consommation souhaitée, par ce que nous représenterons comme opinion publique, secrètement promue par nous par le biais de cette soi-disant “Grande Puissance” – LA PRESSE, QUI, AVEC QUELQUES EXCEPTIONS QUI PEUVENT ÊTRE MENACÉES, EST DÉJÀ ENTIÈREMENT DANS NOS MAINS.
  4. En un mot, pour résumer notre système de contrôle des gouvernements des goyim en Europe, nous montrerons notre force à l’un d’entre eux par des tentatives terroristes et à tous, si nous laissons la possibilité d’un soulèvement général contre nous, nous répondrons avec les armes de l’Amérique ou de la Chine ou du Japon. (La guerre russo-japonaise de 1904-1905 – Ed.).

 

PROTOCOLE No. 8

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  1. Nous devons nous armer de toutes les armes que nos adversaires pourraient utiliser contre nous. Nous devons rechercher dans les plus fines nuances d’expression et les points noueux du lexique juridique la justification des cas où nous aurons à prononcer des jugements qui pourraient paraître anormalement audacieux et injustes, car il est important que ces résolutions soient énoncées dans des expressions qui sembleront être les principes moraux les plus exaltés mis en forme juridique. (Convention sur le génocide ? Déclaration des droits de l’enfant de l’ONU ?) Notre direction doit s’entourer de toutes ces forces de civilisation parmi lesquelles elle devra travailler. Elle s’entourera de publicistes, de juristes pratiques, d’administrateurs, de diplomates et, enfin, de personnes préparées par une formation super-scolaire spéciale DANS NOS ECOLES SPECIALES (Rhodes Scholars ? London School of Economics ?) Ces personnes auront la consonance de tous les secrets de la structure sociale, elles connaîtront toutes les langues que peuvent constituer les alphabets et les mots politiques ; elles seront familiarisées avec tout le dessous de la nature humaine, avec tous ses accords sensibles sur lesquels elles auront à jouer. Ces accords sont le reflet de l’esprit du GOYIM, de ses tendances, de ses lacunes, de ses vices et de ses qualités, des particularités des classes et des conditions. Il va sans dire que les talentueux assistants de l’autorité, dont je parle, ne seront pas pris parmi les GOYIM, qui ont l’habitude d’effectuer leur travail administratif sans se donner la peine de réfléchir à son but, et de ne jamais considérer ce pour quoi il est nécessaire. Les administrateurs du GOYIM signent des papiers sans les lire, ( Comme Margaret Thatcher a signé la souveraineté britannique par le traité de Maastricht ? Comme les parlementaires australiens ont signé plus de 2 000 traités des Nations unies… non lus…) et ils servent soit pour des raisons mercenaires, soit par ambition.
  2. Nous allons entourer notre gouvernement de tout un monde d’économistes. C’est la raison pour laquelle les sciences économiques constituent la matière principale de l’enseignement donné aux Juifs. Autour de nous, il y aura encore toute une constellation de banquiers, d’industriels, de capitalistes et – LA CHOSE PRINCIPALE – DE MILLIONS D’AIRES, PARCE QUE TOUT SERA RÉGLÉ PAR LA QUESTION DES CHIFFRES.
  3. Pour un temps, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de risque à confier des postes responsables dans notre État à nos frères juifs, nous les mettrons entre les mains de personnes dont le passé et la réputation sont tels qu’entre elles et le peuple se trouve un abîme, des personnes qui, en cas de désobéissance à nos instructions, doivent faire face à des accusations pénales ou disparaître – ceci afin de leur faire défendre nos intérêts jusqu’à leur dernier souffle.

 

PROTOCOLE n° 9

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  1. Dans l’application de nos principes, faites attention au caractère des personnes dans le pays où vous vivez et agissez ; une application générale et identique de ces principes, jusqu’à ce que les personnes aient été rééduquées à notre modèle, ne peut pas avoir de succès. Mais en abordant leur application avec prudence, vous verrez qu’il ne se passera pas une décennie avant que le caractère le plus obstiné ne change et que nous ajoutions un nouveau peuple au rang de ceux que nous avons déjà soumis.
  2. Les mots du libéral, qui sont en fait les mots de notre mot d’ordre maçonnique, à savoir “Liberté, Égalité, Fraternité”, seront, lorsque nous entrerons dans notre royaume, changés par nous en mots qui ne sont plus un mot d’ordre, mais seulement une expression d’idéalisme, à savoir “Le droit de liberté, le devoir d’égalité, l’idéal de fraternité”. C’est ainsi que nous le dirons, et nous prendrons le taureau par les cornes… DE FACTO, nous avons déjà éliminé toutes les règles, sauf les nôtres, bien que DE JURE, il en reste encore bon nombre. De nos jours, si un État élève une protestation contre nous, ce n’est que PRO FORMA, à notre discrétion et selon nos directives, car LEUR ANTI-SEMITISME NOUS EST INDISPENSABLE POUR LA GESTION DE NOS MOINS BRETERNES. Je n’entrerai pas dans d’autres explications, car cette question a fait l’objet de discussions répétées entre nous.

SUPER-ÉTAT JUIF

  1. Pour nous, il n’y a pas de contrôles pour limiter la portée de notre activité. Notre SuperGouvernement subsiste dans des conditions extra-légales qui sont décrites dans la terminologie acceptée par le mot énergique et forcé – Dictature. Je suis en mesure de vous dire en toute bonne conscience qu’au moment opportun, nous, les législateurs, exécuterons le jugement et la sentence, nous tuerons et nous épargnerons, nous, en tant que chef de toutes nos troupes, sommes montés sur le cheval du chef. Nous gouvernons par la force de la volonté, car nous avons entre les mains les fragments d’un parti autrefois puissant, aujourd’hui vaincu par nous. ET LES ARMES ENTRE NOS MAINS SONT DES AMBITIONS SANS LIMITES, UNE CUPIDITÉ BRÛLANTE, UNE VENGEANCE SANS PITIÉ, DE LA HAINE ET DE LA MALICE.
  2. C’EST DE NOUS QUE PROCÈDE LA TERREUR OMNIPRÉSENTE. NOUS AVONS À NOTRE SERVICE DES PERSONNES DE TOUTES OPINIONS, DE TOUTES DOCTRINES, DES MONARCHISTES RESTAURATEURS, DES DÉMAGOGUES, DES SOCIALISTES, DES COMMUNISTES ET DES RÊVEURS UTOPIQUES DE TOUTES SORTES. Nous les avons tous mobilisés pour cette tâche : CHACUN D’ENTRE EUX, À SON PROPRE COMPTE, S’ENNUIE AVEC LES DERNIERS VESTIGES DE L’AUTORITÉ, S’EFFORCE DE RENVERSER TOUTE FORME D’ORDRE ÉTABLI. Par ces actes, tous les États sont dans la torture ; ils exhortent à la tranquillité, sont prêts à tout sacrifier pour la paix : MAIS NOUS NE LEUR DONNERONS PAS LA PAIX TANT QU’ILS NE RECONNAÎTRONT PAS OUVERTEMENT NOTRE SUPER-GOUVERNEMENT INTERNATIONAL, ET AVEC SOUMISSION.
  3. Le peuple a hurlé sur la nécessité de régler la question du socialisme par d’un accord international. LA DIVISION EN PARTIS FRACTIONNAIRES NOUS LES A REMIS ENTRE LES MAINS, CAR, POUR MENER UNE LUTTE CONTESTÉE, IL FAUT AVOIR DE L’ARGENT, ET TOUT L’ARGENT EST ENTRE NOS MAINS.
  1. Nous pourrions avoir des raisons d’appréhender une union entre la force “clairvoyante” des rois Goy sur leurs trônes et la force “aveugle” des foules Goy, mais nous avons pris toutes les mesures nécessaires contre une telle éventualité : entre l’une et l’autre force, nous avons érigé un rempart sous la forme d’une terreur mutuelle entre elles. Ainsi, la force aveugle du peuple reste notre soutien et nous, et nous seuls, lui fournirons un chef et, bien sûr, l’orienterons sur la route qui mène à notre objectif.
  2. Pour que la main de la foule aveugle ne se libère pas de notre main directrice, nous devons de temps à autre entrer en étroite communion avec elle, sinon en personne, du moins par l’intermédiaire de certains de nos frères les plus fidèles. Lorsque nous serons reconnus comme la seule autorité, nous discuterons personnellement avec les gens sur le marché, les places, et nous leur donnerons des instructions sur les recherches du politique dans le sens qui nous convient.
  3. Qui va vérifier ce qui est enseigné dans les écoles de village ? Mais ce que peut dire un envoyé du gouvernement ou un roi sur son trône lui-même ne peut qu’être immédiatement connu de tout l’État, car il sera diffusé à l’étranger par la voix du peuple.
  4. Afin d’anéantir les institutions du GOYIM avant qu’il ne soit temps, nous les avons touchées avec artisanat et délicatesse, et nous nous sommes emparés des extrémités des ressorts qui actionnent leur mécanisme. Ces ressorts étaient dans un ordre strict mais juste ; nous les avons remplacés par la licence chaotique du libéralisme. Nous avons mis la main sur l’administration de la loi, sur le déroulement des élections, sur la presse, sur la liberté de la personne, MAIS PRINCIPALEMENT SUR L’ÉDUCATION ET LA FORMATION COMME ÉLÉMENTS DE BASE D’UNE EXISTENCE LIBRE.

LA JEUNESSE CHRÉTIENNE DÉTRUITE

  1. NOUS AVONS TROMPÉ, DÉCONCERTÉ ET CORROMPU LA JEUNESSE DES “GOYIM” EN LES ÉLEVANT DANS DES PRINCIPES ET DES THÉORIES QUI NOUS SONT CONNUS POUR ÊTRE FAUX BIEN QU’ILS LEUR AIENT ÉTÉ INCULQUÉS.
  2. Au-dessus des lois existantes, sans les modifier substantiellement, et en les tordant simplement en contradictions d’interprétation, nous avons érigé quelque chose de grandiose dans la voie des résultats. Ces résultats ont trouvé leur expression dans le fait que les INTERPRÉTATIONS MASQUENT LE DROIT : par la suite, elles les ont entièrement cachées aux yeux des gouvernements en raison de l’impossibilité de faire quoi que ce soit de l’enchevêtrement des législations.
  3. C’est l’origine de la théorie du cours d’arbitrage
  4. Vous pouvez dire que le GOYIM se lèvera sur nous, bras dessus bras dessous, s’il devine ce qui se passe avant le moment venu ; mais en Occident, nous avons contre cela une manoeuvre d’une terreur si effroyable que les coeurs les plus robustes caillent – les souterrains, les métropolitains, ces couloirs souterrains qui, avant le moment venu, seront chassés sous toutes les capitales et d’où ces capitales seront soufflées en l’air avec toutes leurs organisations et leurs archives.

 

PROTOCOLE N° 10

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  1. Aujourd’hui, je commence par répéter ce que j’ai déjà dit, et je vous ai fait comprendre que les gouvernements et les personnes ont un contenu politique avec des apparences extérieures. Et comment, en effet, les GOYIM peuvent-ils percevoir le sens sous-jacent des choses lorsque leurs représentants donnent le meilleur d’eux-mêmes pour s’amuser ? Pour notre politique, il est de la plus haute importance de prendre connaissance de ce détail ; il nous sera utile lorsque nous en viendrons à envisager le partage de l’autorité de la propriété, de l’habitation, de la fiscalité (l’idée d’impôts cachés), de la force réflexe des lois. Toutes ces questions sont telles qu’elles ne doivent pas être abordées directement et ouvertement devant le peuple. Dans les cas où il est indispensable de les aborder, elles ne doivent pas être nommées de façon catégorique, il faut simplement déclarer sans exposition détaillée que les principes du droit contemporain sont reconnus par nous. La raison de garder le silence à cet égard est qu’en ne nommant pas un principe, nous nous laissons la liberté d’agir, de laisser tomber tel ou tel sans attirer l’attention ; s’ils étaient tous nommés catégoriquement, ils sembleraient tous avoir déjà été donnés.
  2. La foule éprouve une affection et un respect particuliers pour les génies du pouvoir politique et accepte tous leurs actes de violence avec la plus grande admiration : “C’est de la friponnerie, oui, c’est de la friponnerie, mais c’est malin ! … une ruse, si vous voulez, mais quelle habileté, quelle magnificence, quelle audace impudente ! …

NOTRE OBJECTIF – LA PUISSANCE MONDIALE

  1. Nous comptons attirer toutes les nations à la tâche d’ériger la nouvelle structure fondamentale, dont nous avons élaboré le projet. C’est pourquoi, avant tout, il nous est indispensable de nous armer et d’emmagasiner en nous cette audace absolument téméraire et cette force d’âme irrésistible qui, dans la personne de nos travailleurs actifs, fera tomber tous les obstacles sur notre route.
  2. LORSQUE NOUS AURONS ACCOMPLI NOTRE COUP D’ÉTAT, NOUS DIRONS ALORS AUX DIFFÉRENTS PEUPLES “TOUT S’EST TERRIBLEMENT MAL PASSÉ, TOUT S’EST ÉPUISÉ DANS LA SOUFFRANCE. NOUS DÉTRUISONS LES CAUSES DE VOS TOURMENTS – LES NATIONALITÉS, LES FRONTIÈRES, LES DIFFÉRENCES DE MONNAIES. VOUS ÊTES BIEN SÛR LIBRE DE NOUS PRONONCER UNE SENTENCE, MAIS CELLE-CI PEUT-ELLE ÊTRE JUSTE SI VOUS LA CONFIRMEZ AVANT DE JUGER CE QUE NOUS VOUS PROPOSONS ? … ALORS LA FOULE NOUS EXALTERA ET NOUS PORTERA DANS SES MAINS DANS UN TRIOMPHE UNANIME D’ESPOIRS ET D’ATTENTES. LE VOTE, DONT NOUS AVONS FAIT L’INSTRUMENT QUI NOUS PLACERA SUR LE TRÔNE DU MONDE EN APPRENANT AUX PLUS PETITES UNITÉS DE MEMBRES DE L’ESPÈCE HUMAINE À VOTER PAR LE BIAIS DE RÉUNIONS ET D’ACCORDS DE GROUPES, AURA ALORS ATTEINT SES OBJECTIFS ET JOUERA SON RÔLE POUR LA DERNIÈRE FOIS PAR UNE UNANIMITÉ DE DÉSIR DE FAIRE NOTRE CONNAISSANCE AVANT DE NOUS CONDAMNER.
  1. Pour garantir cela, nous devons avoir le droit de vote de tout le monde, sans distinction de classes et de qualifications, afin d’établir une majorité absolue, qui ne peut être obtenue des classes propres instruites. De cette façon, en inculquant à tous le sens de l’importance de soi, nous détruirons chez les Goyim l’importance de la famille et sa valeur éducative et nous supprimerons la possibilité d’une scission des esprits individuels, car la foule, manipulée par nous, ne les laissera pas venir au front ni même les écouter ; elle est habituée à n’écouter que ceux qui la payent pour leur obéissance et leur attention. Nous créerons ainsi une force aveugle et puissante qui ne sera jamais en mesure d’avancer dans une direction quelconque sans la direction de nos agents que nous lui avons confiée en tant que chefs de la foule. Le peuple se soumettra à ce régime car il saura que de ces dirigeants dépendront ses gains, ses gratifications et la réception de toutes sortes d’avantages.
  2. Un projet de gouvernement doit être élaboré à partir d’un seul cerveau, car il ne sera jamais solidement ancré s’il peut être divisé en plusieurs parties dans l’esprit de beaucoup. Il nous est donc permis de connaître le plan d’action, mais pas d’en discuter, de crainte de perturber son ingéniosité, l’interdépendance de ses composantes, la force pratique du sens secret de chaque clause. Discuter et modifier un travail de ce genre par le biais de nombreux votes, c’est lui imprimer le sceau de toutes les ratiocinations et de tous les malentendus qui n’ont pas réussi à pénétrer la profondeur et le lien de ses tracés. Nous voulons que nos plans soient forcés et convenablement concoctés. C’est pourquoi NOUS NE PORTONS PAS LE TRAVAIL DE GENIUS DE NOTRE GUIDE aux crocs de la foule ou même d’une entreprise choisie.
  3. Ces régimes ne bouleverseront pas encore les institutions existantes. Ils ne feront que modifier leur économie et, par conséquent, l’ensemble du mouvement combiné de leurs progrès, qui seront ainsi orientés dans les directions prévues par nos régimes.

LE POISON DU LIBÉRALISME

  1. Sous différents noms, il existe dans tous les pays à peu près une seule et même chose. Représentation, Ministère, Sénat, Conseil d’État, Corps législatif et exécutif. Je n’ai pas besoin de vous expliquer le mécanisme de la relation de ces institutions entre elles, car vous sont conscients de tout cela ; prenez seulement note du fait que chacune des institutions susmentionnées correspond à une fonction importante de l’État, et je vous prie de noter que le mot “important” ne s’applique pas à l’institution mais à la fonction, par conséquent ce ne sont pas les institutions qui sont importantes mais leurs fonctions. Ces institutions ont réparti entre elles toutes les fonctions de l’État – administratives, législatives, exécutives – et elles en sont venues à fonctionner comme les organes du corps humain. Si nous blessons une partie de l’appareil d’État, l’État tombe malade, comme un corps humain, et … meurt.
  1. Lorsque nous avons introduit dans l’organisme d’État le poison du libéralisme, toute sa physionomie politique a changé. Les États ont été saisis d’une maladie mortelle – l’empoisonnement du sang. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de leur agonie.
  2. Le libéralisme a produit des États constitutionnels, qui ont remplacé ce qui était la seule sauvegarde du GOYIM, à savoir le despotisme ; et UNE CONSTITUTION, comme vous le savez bien, N’EST RIEN D’AUTRE qu’une école de discordes, de malentendus, de querelles, de désaccords, d’agitations infructueuses au sein des partis, de caprices des partis – en un mot, une école de tout ce qui sert à détruire la personnalité de l’activité de l’État. LA TRIBUNE DES “TALKERIES” A, NON MOINS EFFICACE QUE LA PRESSE, CONDAMNÉ LES REGLES À L’INACTIVITÉ ET À L’IMPOTENCE, les rendant ainsi inutiles et superflues, raison pour laquelle elles ont d’ailleurs été déposées dans de nombreux pays. C’EST ALORS QUE L’ÈRE DES RÉPUBLIQUES EST DEVENUE POSSIBLE DE RÉALISATION ; ET C’EST ALORS QUE NOUS AVONS REMPLACÉ LE SOUVERAIN PAR UNE CARICATURE D’UN GOUVERNEMENT – PAR UN PRÉSIDENT, PRIS DANS LA FOULE, AU MILIEU DE NOS CRÉATURES FANTOCHES, OU ESCLAVES. Ce fut la base de la mine que nous avons posée sous le peuple GOY, je devrais plutôt dire, sous les peuples GOY.

NOUS NOMMONS LES PRÉSIDENTS

  1. Dans un avenir proche, nous établirons la responsabilité des présidents.
  2. D’ici là, nous serons en mesure de faire abstraction des formes pour mener à bien des affaires dont notre marionnette impersonnelle sera responsable. Que nous importe que les rangs de ceux qui luttent pour le pouvoir s’amenuisent, que l’impossibilité de trouver des présidents provoque une impasse, une impasse qui finira par désorganiser le pays ? …
  3. Afin que notre projet puisse aboutir à ce résultat, nous organiserons des élections en faveur des présidents qui, dans leur passé, ont eu une tache sombre et non découverte, un “Panama” ou autre – ils seront alors des agents dignes de confiance pour la réalisation de nos projets, par peur des révélations et du désir naturel de tous ceux qui ont atteint le pouvoir, à savoir la conservation des privilèges, des avantages et de l’honneur liés à la fonction de président. La chambre des députés assurera la couverture, protégera, élira les présidents, mais nous lui retirerons le droit de proposer de nouvelles lois ou de modifier les lois existantes, car ce droit sera donné par nous à la président responsable, une marionnette dans nos mains. Naturellement, l’autorité des présidents deviendra alors une cible pour toute forme d’attaque possible, mais nous lui fournirons un moyen d’autodéfense dans le droit d’appel au peuple, pour la décision du peuple par-dessus la tête de ses représentants, c’est-à-dire un appel à ce même esclave aveugle que nous sommes – la majorité de la foule. Indépendamment de cela, nous investirons le président du droit de déclarer l’état de guerre. Nous justifierons ce dernier droit par le fait que le président, en tant que chef de toute l’armée du pays, doit avoir à sa disposition, en cas de besoin de défense de la nouvelle constitution républicaine, le droit de défendre qui lui appartiendra en tant que représentant responsable de cette constitution. (Iran ? Grenade ? Koweït ? Irak ? Panama ? Somalie ? Bosnie ? Kosovo ? Indonésie ?)
  1. Il est facile de comprendre que dans ces conditions, la clé du sanctuaire sera entre nos mains, et que personne en dehors de nous ne dirigera plus la force de la législation.
  2. En outre, avec l’introduction de la nouvelle constitution républicaine, nous retirerons à la Chambre le droit d’interpolation sur les mesures gouvernementales, sous prétexte de préserver le secret politique, et, de plus, nous réduirons par la nouvelle constitution le nombre de représentants à un minimum, réduisant ainsi proportionnellement les passions politiques et la passion pour la politique. Si, toutefois, ils devaient, ce qui est peu probable, s’enflammer, même dans ce minimum, nous les annulerons par un appel vibrant et une référence à la majorité du peuple tout entier … Du président dépendra la nomination des présidents et des vice-présidents de la Chambre et du Sénat. Au lieu de sessions constantes des Parlements, nous réduirons leurs séances à quelques mois. En outre, le président, en tant que chef du pouvoir exécutif, aura le droit de convoquer et de dissoudre le Parlement et, dans ce dernier cas, de prolonger le délai de nomination d’une nouvelle assemblée parlementaire. Mais pour que les conséquences de tous ces actes, qui sont en substance illégaux, ne tombent pas prématurément, pour nos projets, sur la responsabilité que nous avons établie du président, NOUS INSTITUERONS DES MINISTRES ET AUTRES FONCTIONNAIRES DE L’ADMINISTRATION SUPÉRIEURE AUPRÈS DU PRÉSIDENT POUR ÉVALUER SES DISPOSITIONS EN PRENANT DES MESURES QU’ILS PRÉSENTENTENT, Ce rôle, nous recommandons particulièrement qu’il soit joué par le Sénat, le Conseil d’État ou le Conseil des ministres, mais pas par un fonctionnaire en particulier.
  3. Le président interprétera, à notre discrétion, le sens de telles ou telles lois existantes comme admettant diverses interprétations ; il les annulera en outre lorsque nous lui en indiquerons la nécessité, outre cela, il aura le droit de proposer des lois temporaires, et même de nouveaux départs dans le fonctionnement constitutionnel du gouvernement 36, le prétexte tant pour l’une que pour l’autre étant les exigences du bien-être suprême de l’Etat. (Des décrets présidentiels tels que le F.D.R. utilisés pour dévaluer le dollar américain et voler l’or et pour placer les États-Unis sous un état d’urgence et de guerre permanent contre leurs propres citoyens) ?

NOUS DÉTRUIRONS

  1. Par cette mesure, nous obtiendrons le pouvoir de détruire peu à peu, pas à pas, tout ce Au début, lorsque nous faisons valoir nos droits, nous sommes obligés d’introduire dans constitutions des États pour préparer la transition vers une abolition imperceptible de tout type de constitution, et ensuite le moment est venu de transformer toute forme de gouvernement en NOTRE DESPOTISME.
  1. La reconnaissance de notre despote peut également précéder la destruction de la constitution ; le moment de cette reconnaissance viendra lorsque les peuples, complètement lassés par les irrégularités et l’incompétence – que nous allons régler – de leurs dirigeants, clameront : “Lâchez-les et donnez-nous un roi sur toute la terre qui nous unira et anéantira les causes des désordres – frontières, nationalités, religions, dettes de l’État – qui nous donnera la paix et la tranquillité que nous ne pouvons trouver sous nos dirigeants et représentants”.
  2. Mais vous-mêmes savez parfaitement que POUR PRODUIRE LA POSSIBILITE DE L’EXPRESSION DE TELS SOUHAITS PAR TOUTES LES NATIONS, IL EST INDISPENSABLE DE DIFFUSER DANS TOUS LES PAYS LES RELATIONS DES PERSONNES AVEC LEURS GOUVERNEMENTS DE MANIÈRE A EXHAITER UNE HUMANITE DISSENSIONNELLE, LA HAINE, LA LUTTE, L’ENVIE ET MÊME PAR L’USAGE DE LA TORTURE, PAR LA FAMINE, PAR L’INOCULATION DE MALADIES, PAR LE MANQUE, DE SORTE QUE LES “GOYIM” NE VOIENT PAS D’AUTRE ISSUE QUE DE SE RÉFUGIER DANS NOTRE SOUVERAINETÉ TOTALE EN MATIÈRE D’ARGENT ET DE TOUT LE RESTE.
  3. Mais si nous donnons aux nations du monde un répit, le moment que nous désirons n’arrivera probablement jamais.

 

PROTOCOLE n° 11

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  1. Le Conseil d’État a été, en quelque sorte, l’expression emphatique de l’autorité du souverain : il sera, en tant que partie “spectacle” du Corps législatif, ce que l’on peut appeler le comité de rédaction des lois et décrets du souverain.
  2. Tel est donc le programme de la nouvelle constitution. Nous ferons le Droit, le Droit et la Justice (1) sous forme de propositions au Corps Législatif, (2) par des décrets du président sous forme de règlements généraux, des ordres du Sénat et des résolutions du Conseil d’Etat sous forme d’ordres ministériels, (3) et en cas d’occasion appropriée – sous forme de révolution dans l’Etat.
  3. Après avoir établi approximativement l’AGENDA MODUS, nous nous occuperons des détails des combinaisons par lesquelles nous devons encore achever la révolution dans le cours de l’appareil d’Etat dans la direction déjà indiquée. Par ces combinaisons, j’entends la liberté de la presse, le droit d’association, la liberté de conscience, le principe du vote, et bien d’autres qui doivent disparaître à jamais de la mémoire de l’homme, ou subir une altération radicale le lendemain de la promulgation de la nouvelle constitution. Ce n’est qu’à ce moment que nous pourrons annoncer immédiatement tous nos ordres, car, par la suite, toute modification notable sera dangereuse, pour les raisons suivantes : si cette altération est apportée avec une grande sévérité et dans un sens de sévérité et de limites, elle peut entraîner un sentiment de désespoir causé par la crainte de nouvelles altérations dans le même sens ; si, au contraire, elle est introduite dans un sens d’indulgence supplémentaire, on dira que nous avons reconnu notre propre faute et cela détruira le prestige de l’infaillibilité de notre autorité, ou bien on dira que nous sommes alarmés et que nous sommes obligés de faire preuve d’une disposition cédante, ce dont nous ne serons pas remerciés parce que cela sera censé être obligatoire … L’un et l’autre sont préjudiciables au prestige de la nouvelle constitution. Ce que nous voulons, c’est que dès le premier instant de sa promulgation, alors que les peuples du monde sont encore abasourdis par le fait accompli de la révolution, toujours dans la terreur et l’incertitude, ils reconnaissent une fois pour toutes que nous sommes si forts, si inexpugnables, si surabondants de pouvoir, qu’en aucun cas nous ne devons en tenir compte, et loin de prêter attention à leurs opinions ou à leurs souhaits, nous sommes prêts et capables d’écraser avec une force irrésistible toute expression ou manifestation de ceux-ci à tout moment et en tout lieu, que nous avons saisi d’un seul coup tout ce que nous voulions et ne partagerons en aucun cas notre pouvoir avec eux … Alors, dans la peur et le tremblement, ils fermeront les yeux sur tout, et se contenteront d’attendre ce qui sera la fin de tout cela.

NOUS SOMMES DES LOUPS

  1. Les GOYIM sont un troupeau de moutons, et nous sommes leurs loups. Et vous savez ce qui se passe quand les loups s’emparent du troupeau ? ….
  2. Il y a aussi une autre raison pour laquelle ils fermeront les yeux : car nous continuerons à leur promettre de leur rendre toutes les libertés que nous leur avons enlevées dès que nous aurons réprimé les ennemis de la paix et dompté toutes les parties ….
  3. Il n’est pas utile de dire combien de temps ils seront tenus d’attendre ce retour de leurs libertés ….
  4. Dans quel but avons-nous donc inventé toute cette politique et l’avons-nous insinuée dans l’esprit des GOY sans leur donner la moindre chance d’en examiner le sens sous-jacent ? Pour quoi, en effet, sinon pour obtenir de manière détournée ce qui est pour notre tribu dispersée inaccessible par la route directe ? C’est ce qui a servi de base à notre organisation de la MASONNERIE SECRETE QUI N’EST PAS CONNUE, ET DES OBJECTIFS QUI NE SONT PAS MÊME SI IMPORTANTS QUE CEUX QUI SONT SUSPENSÉS PAR CETTE CATALOGUE DE “GOY”, ATTRACTÉS PAR NOUS DANS L’ARMÉE “SHOW” DES LOGES MASONIQUES POUR ENVOYER DE LA POUDRE DANS LES YEUX DE LEURS FOLLOWS.
  5. Dieu nous a accordé, à nous, Son peuple élu, le don de la dispersion, et en cela, qui apparaît à tous les yeux comme notre faiblesse, est sortie toute notre force, qui nous a maintenant amenés au seuil de la souveraineté sur le monde entier.
  6. Il ne nous reste plus grand-chose à construire sur les fondations que nous avons posées.

 

PROTOCOLE n° 12

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  1. Le mot “liberté”, qui peut être interprété de diverses manières, est défini par nous comme suit –
  2. La liberté est le droit de faire ce que la loi permet. Cette interprétation du mot nous sera utile le moment venu, car toute liberté sera ainsi entre nos mains, puisque les lois n’aboliront ou ne créeront que ce qui est souhaitable pour nous selon le programme précité.
  3. Nous traiterons de la presse de la manière suivante : quel est le rôle joué par la presse aujourd’hui ? Elle sert à exciter et à enflammer les passions qui sont nécessaires à notre objectif ou bien elle sert les intérêts égoïstes des partis. Elle est souvent insipide, injuste, mensongère, et la majorité du public n’a pas la moindre idée de ce que la presse sert réellement. Nous allons la mettre en selle et la brider avec un frein serré : nous ferons de même avec toutes les productions de l’imprimerie, car où serait le sens de se débarrasser des attaques de la presse si nous restons des cibles pour les pamphlets et les livres ? Le produit de la publicité, qui est aujourd’hui une source de lourdes dépenses en raison de la nécessité de le censurer, sera transformé par nous en une source de revenus très lucrative pour notre État : nous y imposerons un droit de timbre spécial et exigerons des dépôts de caution avant d’autoriser la création de tout organe de presse ou d’imprimerie ; ceux-ci devront alors garantir notre gouvernement contre toute forme d’attaque de la part de la presse. Pour toute tentative d’attaque contre nous, si cela est encore possible, nous infligerons des amendes sans pitié. Des mesures telles que le droit de timbre, le dépôt de l’argent de caution et les amendes garanties par ces dépôts, rapporteront un revenu énorme au gouvernement. Il est vrai que les organes du parti n’épargneront peut-être pas d’argent pour la publicité, mais nous les ferons taire lors de la deuxième attaque contre nous. Personne ne pourra impunément mettre le doigt sur l’auréole de l’infaillibilité de notre gouvernement. Le prétexte pour arrêter toute publication sera le prétendu argument selon lequel elle agite l’esprit du public sans occasion ou justification. JE VOUS PRIE DE NOTER QUE PARMI CEUX QUI NOUS ATTAQUENT, IL Y AURA AUSSI DES ORGANES ÉTABLIS PAR NOUS, MAIS ILS S’ATTAQUERONT EXCLUSIVEMENT À DES POINTS QUE NOUS AVONS PRÉDÉTERMINÉ DE MODIFIER.

NOUS CONTRÔLONS LA PRESSE

  1. PAS UNE SEULE ANNONCE NE PARVIENDRA AU PUBLIC SANS NOTRE CONTRÔLE. Nous y parvenons déjà dans la mesure où toutes les nouvelles sont reçues par quelques agences, dans les bureaux desquelles elles sont concentrées, en provenance de toutes les parties du monde. Ces agences seront alors déjà entièrement à nous et ne donneront de la publicité qu’à ce que nous leur dicterons.
  2. Si déjà maintenant nous nous sommes arrangés pour nous approprier l’esprit des communautés GOY à tel point qu’elles s’approchent toutes en regardant les événements du monde à travers les lunettes colorées de ces lunettes que nous leur mettons sous le nez ; si déjà maintenant il n’y a pas un seul État où il existe pour nous des barrières à l’admission de ce que la stupidité GOY appelle des secrets d’État : quelles seront alors nos positions, lorsque nous serons reconnus seigneurs suprêmes du monde en la personne de notre roi du monde entier ….
  3. Revenons à l’AVENIR DE LA PRESSE D’IMPRESSION. Toute personne désireuse d’être éditeur, bibliothécaire ou imprimeur, sera tenue de se munir du diplôme institué à cet effet, qui, en cas de faute, sera immédiatement saisi. Avec de telles mesures, L’INSTRUMENT DE PENSÉE DEVRAIT DEVENIR UN MOYEN ÉDUCATIF DE NOTRE GOUVERNEMENT, QUI NE PERMETTRA PLUS LONGT QUE LA MASSE DE LA NATION SOIT DITES PAR LES VOIES ET LES FANTASIES SUR LES BÉNÉFICES DU PROGRÈS. Y a-t-il quelqu’un parmi nous qui ne sache pas que ces bénédictions fantômes sont les chemins directs vers des imaginations folles qui donnent naissance à des relations anarchiques des hommes entre eux et vers l’autorité, parce que le progrès, ou plutôt l’idée de progrès, a introduit la conception de toute sorte d’émancipation, mais n’a pas su en établir les limites …. Tous les soi-disant libéraux sont anarchistes, sinon en fait, en tout cas en pensée. Chacun d’entre eux chasse les fantômes de la liberté, et tombe exclusivement dans la licence, c’est-à-dire dans l’anarchie de la protestation pour le plaisir de la protestation….

LA PRESSE LIBRE DÉTRUITE

  1. Nous nous tournons vers la presse périodique. Nous lui imposerons, comme à tous les imprimés, des droits de timbre par feuille et des dépôts d’argent de caution, et les livres de moins de 30 feuilles paieront le double. Nous les considérerons comme des pamphlets afin, d’une part, de réduire le nombre de magazines, qui sont la pire forme de poison imprimé, et, d’autre part, afin que cette mesure puisse contraindre les écrivains à des productions si longues qu’elles seront peu lues, d’autant plus qu’elles seront coûteuses. En même temps, ce que nous publierons nous-mêmes pour influencer le développement mental dans le sens prévu pour notre profit sera bon marché et sera lu avec voracité. L’impôt mettra les ambitions littéraires vaines dans les limites du possible et l’assujettissement à des pénalités rendra les hommes de lettres dépendants de nous. Et s’il s’en trouve qui désirent écrire contre nous, ils ne trouveront personne désireux d’imprimer leurs productions. Avant d’accepter toute production pour la publication sous forme imprimée, l’éditeur ou l’imprimeur devra demander aux autorités l’autorisation de le faire. Ainsi, nous connaîtrons à l’avance toutes les ruses qui se préparent contre nous et nous les annulerons en avançant des explications sur le sujet traité.
  2. La littérature et le journalisme sont deux des forces éducatives les plus importantes, et par conséquent notre gouvernement deviendra propriétaire de la majorité des revues. Cela neutralisera l’influence préjudiciable de la presse privée et nous permettra d’exercer une influence considérable sur l’opinion publique …. Si nous accordons des autorisations pour dix revues, nous en trouverons nous-mêmes trente, et ainsi de suite dans la même proportion. Le public ne doit cependant en aucun cas s’en douter. C’est pourquoi toutes les revues que nous publions seront, en apparence, des plus opposées, des tendances et des opinions, créant ainsi une confiance en nous et nous amenant des opposants peu méfiants, qui tomberont ainsi dans notre piège et seront rendus inoffensifs.
  1. Au premier rang se trouveront les organes à caractère officiel. Ils veilleront toujours à nos intérêts, et leur influence sera donc relativement insignifiante.
  2. Au second rang, on trouve les organes semi-officiels, dont la fonction sera d’attaquer les tièdes et les indifférents.
  3. Au troisième rang, nous mettrons en place notre propre opposition, à toute apparence, qui, dans au moins un de ses organes, présentera ce qui nous semble être les antipodes mêmes. Nos vrais adversaires de cœur accepteront cette opposition simulée comme la leur et nous montreront leurs cartes.
  4. Tous nos journaux seront de toutes les teintes possibles – aristocratiques, républicains, révolutionnaires, voire anarchiques – aussi longtemps, bien sûr, que la constitution existera …. Comme l’idole indienne “Vishnu”, ils auront cent mains, et chacun d’entre eux aura un doigt sur l’une des opinions publiques comme il se doit. Lorsqu’un pouls s’accélère, ces mains conduiront l’opinion dans la direction de nos objectifs, car un patient excité perd tout pouvoir de jugement et cède facilement à la suggestion. Ces imbéciles qui penseront qu’ils répètent l’opinion d’un journal de leur propre camp répéteront notre opinion ou toute opinion qui nous semble souhaitable. Dans la vaine croyance qu’ils suivent l’organe de leur parti, ils suivront en fait le drapeau que nous accrochons pour eux.
  5. Afin de diriger notre milice des journaux dans ce sens, nous devons prendre un soin particulier et minutieux dans l’organisation de cette affaire. Sous le titre de département central de la presse, nous instituerons des rassemblements littéraires au cours desquels nos agents, sans attirer l’attention, donneront les ordres et les mots d’ordre du jour. En discutant et en controversant, mais toujours superficiellement, sans toucher à l’essentiel, nos organes mèneront un simulacre de combat fusillade avec les journaux officiels dans le seul but de nous donner l’occasion de nous exprimer plus complètement que ce qui pourrait être fait d’emblée dans les annonces officielles, chaque fois, bien sûr, que cela est à notre avantage.
  6. CES ATTENTES SUR NOUS SERONT ÉGALEMENT DESTINÉES À UN AUTRE OBJECTIF, NOMMÉMENT, QUE NOS SUJETS SERONT CONVAINCUS DE L’EXISTENCE D’UNE PLEINE LIBERTÉ DE PARLER ET DONNERONT À NOS AGENTS L’OCCASION D’AFFIRMER QUE TOUS LES ORGANISMES QUI NOUS OPPOSENT SONT DES BABLETS VIDES, puisqu’ils sont incapables de trouver des objections substantielles à nos ordres.

NE SE TROUVE IMPRIMÉ

  1. Des méthodes d’organisation comme celles-ci, imperceptibles aux yeux du public mais absolument sûres, sont les mieux calculées pour réussir à attirer l’attention et la confiance du public aux côtés de notre gouvernement. Grâce à ces méthodes, nous serons en mesure, comme cela peut être nécessaire de temps en temps, d’exciter ou de tranquilliser l’esprit du public sur les questions politiques, de persuader ou à confondre, en imprimant maintenant la vérité, maintenant les mensonges, les faits ou leurs contradictions, selon qu’ils soient bien ou mal reçus, en tâtant toujours très prudemment le terrain avant de le fouler …. NOUS AVONS UN TRIUMPHAGE SÛR SUR NOS OPPOSANTS DEPUIS QU’ILS N’ONT PAS A LEUR DISPOSITION DES ORGANES DE PRESSE DANS LESQUELS ILS PEUVENT DONNER UNE EXPRESSION COMPLETE ET FINALE A LEURS VUES en raison des méthodes de traitement de la presse susmentionnées. Nous n’aurons même pas besoin de les réfuter, sauf de manière très superficielle.
  1. Des tirs d’essai comme ceux-ci, tirés par nous au troisième rang de notre presse, en cas de besoin, seront énergiquement réfutés par nous dans nos organes semi-officiels.
  2. Aujourd’hui déjà, pour ne prendre que la presse française, il existe des formes qui révèlent une solidarité maçonnique dans l’action sur le mot d’ordre : tous les organes de presse sont liés par le secret professionnel ; comme les augures d’autrefois, aucun d’entre eux ne livrera le secret de ses sources d’information à moins qu’il ne soit résolu à en faire l’annonce. Aucun journaliste ne s’aventurera à trahir ce secret, car aucun d’entre eux n’est jamais admis à pratiquer la littérature, à moins que tout son passé ne soit marqué par une plaie honteuse ou autre …. Ces plaies seraient immédiatement révélées. Tant qu’elles restent le secret de quelques-uns, le prestige du journaliste s’attaque à la majorité du pays – la foule le suit avec enthousiasme.
  3. Nos calculs sont surtout étendus aux provinces. Il nous est indispensable d’y enflammer les espoirs et les impulsions qui pourraient à tout moment s’abattre sur la capitale, et nous représenterons aux capitales que ces expressions sont les espoirs et les impulsions indépendantes des provinces. Naturellement, leur source sera toujours la même – la nôtre. CE DONT NOUS AVONS BESOIN, C’EST QUE, TANT QUE NOUS NE SERONS PAS AU POUVOIR DE LA PLÉNITUDE, LES CAPITALES SE TROUVENT ÉTOUFFÉES PAR L’OPINION PROVINCIALE DES NATIONS, C’EST-À-DIRE D’UNE MAJORITÉ ARRANGÉE PAR NOTRE AGENTUR. Ce qu’il faut, c’est qu’au moment psychologique, les capitales ne soient pas en mesure de discuter un fait accompli pour la simple raison, si ce n’est pour une autre, qu’il a été accepté par l’opinion publique d’une majorité dans les provinces.
  4. LORSQUE NOUS SOMMES DANS LA PÉRIODE DU NOUVEAU RÉGIME TRANSITOIRE À CELLE DE NOTRE ACCESSION À LA PLEINE SOUVERAINETÉ, NOUS NE DEVONS ADMETTRE AUCUNE RÉVÉLATION PAR LA PRESSE D’UNE QUELCONQUE FORME DE MALHONNÊTETÉ PUBLIQUE ; IL EST NÉCESSAIRE QUE LE NOUVEAU RÉGIME SOIT PENSE À AVOIR PERFECTIVEMENT CONTROLÉ CHAQUE PERSONNE QUI A DISPARU MÊME DE LA CRIMINALITÉ … Les cas de manifestation de la criminalité ne doivent rester connus que de leurs victimes et des témoins fortuits – pas plus.

 

PROTOCOLE n° 13

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  1. Le besoin de pain quotidien oblige les GOYIM à garder le silence et à être nos humbles serviteurs. Les agents recrutés dans la presse parmi les GOYIM discuteront à nos ordres de tout ce qu’il ne nous convient pas de publier directement dans des documents officiels, et nous, pendant ce temps, tranquillement au milieu du vacarme de la discussion ainsi soulevée, prendrons et exécuterons simplement les mesures que nous souhaitons et les proposerons ensuite au public comme un fait accompli. Personne n’osera exiger l’abrogation d’une affaire une fois réglée, d’autant plus qu’elle sera présentée comme une amélioration … Et immédiatement, la presse détournera le courant de pensée vers de nouvelles questions (n’avons-nous pas formé des personnes toujours à la recherche de quelque chose de nouveau ?) Dans les discussions de ces nouvelles questions se jetteront celles des distributeurs de fortunes sans cervelle qui ne sont pas capables, même maintenant, de comprendre qu’ils n’ont pas la moindre conception des sujets qu’ils entreprennent de discuter. Les questions de politique sont inaccessibles à tous, sauf à ceux qui la guident depuis longtemps déjà, les créateurs.
  2. Vous verrez qu’en obtenant l’avis de la foule, nous ne faisons que faciliter le fonctionnement de nos machines, et vous remarquerez peut-être que ce n’est pas pour des actions mais pour des paroles émises par nous sur telle ou telle question que nous semblons vouloir obtenir une approbation. Nous ne cessons de déclarer publiquement que nous sommes guidés dans toutes nos entreprises par l’espoir, joint à la conviction, que nous servons le bien commun.

NOUS TROMPONS LES TRAVAILLEURS

  1. Afin de distraire les personnes qui pourraient être trop gênantes des discussions sur les questions politiques, nous avançons maintenant ce que nous prétendons être de nouvelles questions politiques, à savoir des questions industrielles. Dans ce domaine, qu’ils discutent bêtement ! Les masses sont d’accord pour rester inactives, pour se reposer de ce qu’elles supposent être politique (ce à quoi nous les avons formées afin de les utiliser comme moyen de lutte contre les gouvernements GOY) à la seule condition de trouver de nouveaux emplois, dans lesquels nous leur prescrivons quelque chose qui ressemble au même objet politique. Pour que les masses elles-mêmes ne devinent pas ce qu’elles sont, nous les DISTRACTONS EN OUTRE AVEC DES AMUSEMENTS, JEUX, PASTIMES, PASSIONS, PALAIS DE PERSONNES …. Bientôt, nous commencerons à proposer, à travers la presse, des concours d’art, de sport en tous genres : ces intérêts finiront par détourner leur attention des questions auxquelles nous devrions nous trouver contraints de nous opposer. De plus en plus peu habitués à réfléchir et à se forger leurs propres opinions, les gens commenceront à parler sur le même ton que nous car nous serons les seuls à leur offrir de nouvelles pistes de réflexion… bien sûr par l’intermédiaire de personnes qui ne seront pas soupçonnées d’être solidaires avec nous.
  2. Le rôle joué par les libéraux, rêveurs utopiques, sera enfin joué lorsque notre gouvernement est reconnu. En attendant, ils continueront à nous rendre service. C’est pourquoi nous continuerons à orienter leur esprit vers toutes sortes de vaines conceptions de théories fantastiques, nouvelles et apparemment progressistes : car n’avons-nous pas, avec un succès complet, fait tourner la tête des sans cervelle du GOYIM avec le progrès, jusqu’à ce qu’il n’y ait pas parmi les GOYIM un seul esprit capable de percevoir que sous ce mot se cache une déviation de la vérité dans tous les cas où il ne s’agit pas d’inventions matérielles, car la vérité est une, et en elle il n’y a pas de place pour le progrès. Le progrès, comme une idée fallacieuse, sert à obscurcir la vérité afin que personne ne puisse la connaître, sauf nous, les élus de Dieu, ses gardiens.
  1. Lorsque nous entrerons dans notre royaume, nos orateurs exposeront les grands problèmes qui ont bouleversé l’humanité afin de l’amener à la fin sous notre règne bienfaisant.
  2. Qui pourra alors se douter que TOUTES CES PERSONNES ÉTAIENT GÉRÉES PAR NOUS SELON UN PLAN POLITIQUE QUE PERSONNE N’A COMME ON LE CONSTATE AU COURS DE PLUSIEURS SIÈCLES ?

 

PROTOCOLE n° 14

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  1. Lorsque nous entrerons dans notre royaume, il ne sera pas souhaitable pour nous qu’il existe une autre religion que la nôtre, celle du Dieu unique avec lequel notre destin est lié à notre position de peuple élu et par lequel notre même destin est uni aux destinées du monde. Nous devons donc balayer toutes les autres formes de croyance. Si cela donne naissance aux athées que nous voyons aujourd’hui, ce ne sera pas, n’étant qu’une étape transitoire, une ingérence dans nos vues, mais un avertissement pour les générations qui écouteront notre prédication de la religion de Moïse, qui, par son système stable et minutieusement élaboré, a amené tous les peuples du monde à nous être soumis. Nous y soulignerons son droit mystique, sur lequel, comme nous le dirons, repose toute sa puissance éducative …. Puis, à chaque occasion, nous publierons des articles dans lesquels nous établirons des comparaisons entre notre règle bienfaisante et celles des âges passés. La bénédiction de la tranquillité, bien qu’elle soit une tranquillité obtenue par la force des siècles d’agitation, mettra en relief les bienfaits que nous mettrons en évidence. Les erreurs des gouvernements du GOYIM seront représentées par nous dans les tons les plus vifs. Nous leur inculquerons une telle aversion que les peuples préféreront la tranquillité en état de servitude à ces droits de liberté tant vantés qui ont torturé l’humanité et épuisé les sources mêmes de l’existence humaine, sources qui ont été exploitées par une foule d’aventuriers racailleux qui ne savent pas ce qu’ils font …. LES CHANGEMENTS INUTILES DE FORMES DE GOUVERNEMENT AUXQUELS NOUS AVONS INCITÉ LES “GOYIM” LORSQUE NOUS SAPIONS LES STRUCTURES DE LEUR ÉTAT, AURONT TELLEMENT LASSÉ LES PEUPLES À CE MOMENT-LÀ QU’ILS PRÉFÉRERONT SOUFFRIR SOUS NOS ORDRES PLUTÔT QUE DE COURIR LE RISQUE DE SUBIR À NOUVEAU TOUTES LES AGITATIONS ET LES MISÈRES QU’ILS ONT CONNUES.

 NOUS INTERDISONS LE CHRIST

  1. En même temps, nous n’omettrons pas de souligner les erreurs historiques des gouvernements GOY qui ont tourmenté l’humanité pendant tant de siècles par leur incompréhension de tout ce qui constitue le vrai bien de l’humanité dans leur poursuite de fantastiques projets de bénédictions sociales, et qui n’ont jamais remarqué que ces projets continuaient à produire un état pire et jamais meilleur des relations universelles qui sont la base de la vie humaine…
  2. Toute la force de nos principes et de nos méthodes résidera dans le fait que nous les présenterons et les exposerons comme un splendide contraste avec l’ancien ordre des choses, mort et décomposé, de la vie sociale.
  3. Nos philosophes discuteront de tous les défauts des différentes croyances du “GOYIM”, mais personne ne discutera jamais de notre foi à partir de son véritable point de vue, car celui-ci sera entièrement appris par ceux qui n’ont pas sauvé la nôtre et qui n’oseront jamais transgresser ses secrets. 5. DANS LES PAYS DITS PROGRESSISTES ET ÉCLAIRÉS, NOUS AVONS CRÉÉ UNE LITTÉRATURE INSENSÉE, DÉGOÛTANTE ET ABOMINABLE. Pendant un certain temps après notre arrivée au pouvoir, nous continuerons à encourager son existence afin de lui apporter un soulagement éloquent, contrairement aux discours, au programme du parti, qui seront distribués depuis nos hautes sphères …. Nos sages, formés pour devenir des leaders du GOYIM, composeront des discours, des projets, des mémoires, des articles, qui seront utilisés par nous pour influencer les esprits du GOYIM, en les orientant vers la compréhension et les formes de connaissance que nous aurons déterminées.

 

PROTOCOLE n° 15

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  1. Lorsque nous entrerons enfin définitivement dans notre royaume grâce aux COUPS D’ETAT préparés partout pour un seul et même jour, après avoir été définitivement reconnus (et il ne se passera pas beaucoup de temps avant que cela n’arrive, peut-être même un siècle entier), nous nous ferons un devoir de faire en sorte que les complots contre nous n’existent plus. Dans ce but, nous tuerons sans pitié tous ceux qui prendront les armes (en main, comme Waco ? Randy Weaver ? Port Arthur ? Oklahoma ?) pour s’opposer à notre venue dans notre royaume. Toute nouvelle institution, telle qu’une société secrète, sera également punie de mort ; celles qui existent déjà, que nous connaissons, qui nous servent et nous ont servies, nous les dissolvons et les envoyons en exil sur des continents éloignés de l’Europe. C’est ainsi que nous procéderons avec ces maçons qui savent beaucoup de choses ; ceux qui, pour une raison ou une autre, nous seront épargnés seront maintenus dans la peur constante de l’exil. Nous allons promulguer une loi rendant tous les anciens 46 membres de sociétés secrètes susceptibles de s’exiler d’Europe comme centre de pouvoir
  2. Les résolutions de notre gouvernement seront définitives, sans appel.
  3. Dans les sociétés GOY, dans lesquelles nous avons implanté et profondément enraciné la discorde et le protestantisme, la seule façon possible de rétablir l’ordre est d’employer des mesures sans pitié qui prouvent la force directe de l’autorité : il ne faut pas se soucier des victimes qui tombent, elles souffrent pour le bien-être de l’avenir. La réalisation de ce bien-être, même au prix de sacrifices, est le devoir de tout type de gouvernement qui reconnaît comme justification de son existence non seulement ses privilèges mais aussi ses obligations. La principale garantie de stabilité du pouvoir est de confirmer l’auréole du pouvoir, et cette auréole n’est atteinte que par une inflexibilité majestueuse de la force qui portera sur son visage les emblèmes de l’inviolabilité des causes mystiques – du choix de Dieu. TELLE ÉTAIT, JUSQU’À UNE ÉPOQUE RÉCENTE, L’AUTOCRATIE RUSSE, LE SEUL ET UNIQUE ENNEMI SÉRIEUX QUE NOUS AVIONS DANS LE MONDE, SANS COMPTER LA PAPAUTÉ. Souvenez-vous de l’exemple de l’Italie, trempée de sang, qui n’a jamais touché un seul cheveu de la tête de Sulla qui avait versé ce sang : Sulla jouissait d’une apothéose de sa puissance en lui, mais son intrépide retour en Italie l’entourait d’une inviolabilité. Le peuple ne pose pas un doigt sur lui qui l’hypnotise par son audace et sa force d’esprit.

SOCIÉTÉS SECRÈTES

  1. Mais en attendant d’entrer dans notre royaume, nous agirons de manière contraire : nous créerons et multiplierons des loges maçonniques libres dans tous les pays du monde, nous y absorberons tous ceux qui pourront devenir ou qui seront importants dans l’activité publique, pour ces loges nous trouverons notre principal bureau de renseignements et des moyens d’influence. Toutes ces loges seront regroupées sous une administration centrale, connue de nous seuls et de toutes les autres absolument inconnues, qui sera composée de nos savants aînés. Les loges auront leurs représentants qui serviront à filtrer l’administration de MASONRY mentionnée ci-dessus et de qui émaneront le mot d’ordre et le programme. Dans ces loges, nous nouerons le noeud qui lie tous les éléments révolutionnaires et libéraux. Leur composition sera composée de toutes les couches de la société. Les complots politiques les plus secrets nous seront connus et tomberont sous nos mains directrices le jour même de leur conception. ENTRE LES MEMBRES DE CES LOGES SERONT TOUS LES AGENTS DE LA POLICE INTERNATIONALE ET NATIONALE, car leur service est pour nous irremplaçable dans la mesure où la police est en mesure non seulement d’utiliser ses propres mesures particulières avec les insoumis, mais aussi de filtrer nos activités et de fournir des prétextes pour les mécontentements, ET CETERA.
  2. La classe de personnes qui s’engagent le plus volontiers dans les sociétés secrètes sont les 47 qui vivent de leur esprit, les carriéristes, et en général les gens, pour la plupart légers d’esprit, avec lesquels nous n’aurons aucune difficulté à traiter et à utiliser pour remonter le mécanisme de la machine que nous avons conçue. Si ce monde s’agite, c’est le sens que nous aurons dû lui donner pour briser sa trop grande solidarité. MAIS SI UN COMPLOT DEVAIT SURGIR EN SON SEIN, ALORS À LA TÊTE DE CE COMPLOT NE SERA AUTRE QU’UN DE NOS PLUS FIDÈLES SERVITEURS. Il est naturel que ce soit nous et personne d’autre qui dirigions les activités MASONIQUES, car nous savons où nous allons, nous connaissons le but final de toute forme d’activité alors que les GOYIM ont connaissance rien, pas même de l’effet immédiat de l’action ; ils mettent devant eux, le plus souvent, le compte momentané de la satisfaction de leur propre opinion dans l’accomplissement de leur pensée sans même remarquer que la conception même n’a jamais appartenu à leur initiative mais à notre instigation de leur pensée …

LES GENTILS SONT STUPIDES

  1. Les GOYIM entrent dans les loges par curiosité ou dans l’espoir de grignoter par leurs moyens la tarte du public, et certains d’entre eux pour obtenir une audience devant le public pour leurs fantasmes irréalisables et sans fondement : ils ont soif de l’émotion du succès et des applaudissements, dont nous sommes remarquablement généreux. Et la raison pour laquelle nous leur donnons ce succès est d’utiliser la haute vanité d’eux-mêmes à laquelle il donne naissance, car cela les dispose insensiblement à assimiler nos suggestions sans être sur leurs gardes dans la plénitude de leur confiance que c’est leur propre infaillibilité qui donne corps à leurs propres pensées et qu’il leur est impossible d’emprunter celles des autres …. Vous ne pouvez imaginer à quel point les plus sages des GOYIM peuvent être amenés à un état de naïveté inconsciente en présence de cette condition de haute vanité d’eux-mêmes, et en même temps combien il est facile de leur arracher le cœur par le moindre malheur, ne serait-ce que l’arrêt des applaudissements qu’ils ont eus, et de les réduire à une soumission servile au nom de la conquête d’un nouveau succès …. DANS LA MESURE OÙ LES NÔTRES IGNORENT LE SUCCÈS SI SEULEMENT ILS PEUVENT MENER À BIEN LEURS PLANS, DANS LA MESURE OÙ LES “GOYIM” SONT PRÊTS À SACRIFIER N’IMPORTE QUEL PLAN POUR AVOIR DU SUCCÈS. Cette psychologie qui est la leur nous facilite matériellement la tâche de les orienter dans la direction requise. Ces tigres en apparence ont une âme de mouton et le vent souffle librement dans leur tête. Nous les avons mis sur le cheval de bataille d’une idée sur l’absorption de l’individualité par l’unité symbolique du COLLECTIVISME …. Ils n’ont jamais encore et n’auront jamais le sentiment de refléter que ce hobby-horse est une violation manifeste de la loi la plus importante de la nature, qui a établi dès la création du monde une unité différente de l’autre et précisément dans le but d’instituer l’individualité ….
  2. Si nous avons pu les amener à un tel degré de cécité stupide, n’est-ce pas une preuve, et une preuve étonnamment claire, du degré de sous-développement de l’esprit du GOYIM par rapport à notre esprit ? C’est cela, principalement, qui garantit notre succès. LES GENTILS SONT DU BÉTAIL
  3. Et quelle était la clairvoyance de nos anciens lorsqu’ils disaient que pour atteindre une fin sérieuse, il ne faut s’arrêter à aucun moyen ni compter les victimes sacrifiées au nom de cette fin …. Nous n’avons pas compté les victimes de la semence du bétail GOY, bien que nous ayons sacrifié beaucoup des nôtres, mais pour cela nous leur avons déjà donné une position sur la terre dont ils ne pouvaient même pas rêver. Le nombre relativement faible des victimes par rapport au nombre des nôtres a préservé notre nationalité de la destruction.
  4. La mort est la fin inévitable pour tous. Il est préférable de rapprocher cette fin de ceux qui entravent notre que pour nous-mêmes, pour les fondateurs de cette affaire. NOUS EXÉCUTONS LES MAÇONS DE TELLE MANIÈRE QUE PERSONNE, SAUF LA FRATERNITÉ, NE PEUT JAMAIS AVOIR DE SOUPÇON À SON ÉGARD, PAS MÊME LES VICTIMES ELLES-MÊMES DE NOTRE CONDAMNATION À MORT, ELLES MEURENT TOUTES QUAND IL LE FAUT COMME D’UNE MALADIE NORMALE ….. Sachant cela, même la confrérie n’ose pas protester à son tour. Par de telles méthodes, nous avons arraché au milieu de la MASONRY la racine même de la protestation contre notre disposition. Tout en prêchant le libéralisme aux GOY, nous maintenons notre propre peuple et nos agents dans un état de soumission inconditionnelle.
  1. Sous notre influence, l’exécution des lois du GOYIM a été réduite au minimum. Le prestige de la loi a été explosé par les interprétations libérales introduites dans ce domaine. Dans les affaires et les questions les plus importantes et les plus fondamentales, les JUGES DÉCIDENT COMME NOUS LES DICTONS, voient les choses à la lumière de ce que nous les englobons pour l’administration du GOYIM, bien sûr, par l’intermédiaire de personnes qui sont nos outils bien que nous ne semblions pas avoir quelque chose en commun avec elles – par l’opinion des journaux ou par d’autres moyens …. Même les sénateurs et l’administration supérieure acceptent nos conseils. L’esprit purement brutal du GOYIM est incapable de servir à l’analyse et à l’observation, et encore plus à la prévision de ce à quoi peut tendre une certaine manière de poser une question.
  2. Dans cette différence de capacité de réflexion entre le GOYIM et nous-mêmes, on peut clairement discerner le sceau de notre position en tant que Peuple élu et de notre qualité supérieure d’humanité, en contradiction avec l’esprit brut du GOYIM. Leurs yeux sont ouverts, mais ne voient rien devant eux et n’inventent pas (sauf peut-être des choses matérielles). Il est donc évident que la nature elle-même nous a destinés à guider et à gouverner le monde.

NOUS EXIGEONS LA SOUMISSION

  1. Quand viendra le temps de notre règle ouverte, le temps de manifester sa bénédiction, nous refaireons toutes les législatures, toutes nos lois seront brèves, simples, stables, sans aucune sorte d’interprétation, de sorte que quiconque sera en mesure de les connaître parfaitement. La principale caractéristique qui les traversera est la soumission aux ordres, et ce principe sera porté à une hauteur grandiose. Tout abus disparaîtra alors en conséquence de la responsabilité de tous jusqu’à l’unité la plus basse devant l’autorité supérieure du représentant du pouvoir. Les abus de pouvoir subordonnés à cette dernière instance seront punis de façon si impitoyable que nul ne sera jugé désireux de tenter des expériences avec ses propres pouvoirs. Nous suivrons jalousement toute action de l’administration dont dépend le bon fonctionnement de l’appareil de l’Etat, car le relâchement en la matière produit partout du relâchement ; pas un seul cas d’illégalité ou d’abus de pouvoir ne sera laissé sans sanction exemplaire.
  2. La dissimulation de la culpabilité, la connivence entre ceux qui sont au service de l’administration – tout ce genre de mal disparaîtra après les premiers exemples de punition sévère. L’auréole de notre pouvoir exige des punitions appropriées, c’est-à-dire cruelles, pour la moindre atteinte, au nom du gain, à son suprême prestige. Le malade, bien que sa punition puisse dépasser sa faute, va comptent comme un soldat tombant sur le champ de bataille administratif dans l’intérêt de l’autorité, des principes et du droit, qui ne permettent pas que ceux qui tiennent les rênes de l’autocar public se détournent de la voie publique pour se diriger vers leurs propres chemins privés. PAR EXEMPLE, NOS JUGES SAURONT QUE CHAQUE FOIS QU’ILS SE SENTENT DISPOSÉS À SE PILLER PAR UNE CLÉMENCE INSENSÉE, ILS VIOLENT LA LOI DE LA JUSTICE QUI EST INSTITUÉE POUR L’ÉDIFICATION EXEMPLAIRE DES HOMMES PAR DES SANCTIONS POUR DÉCHÉANCE ET NON POUR L’ÉTALAGE DES QUALITÉS SPIRITUELLES DES JUGES …. Ces qualités, il convient de les montrer dans la vie privée, mais pas sur une place publique qui est la base éducative de la vie humaine.
  1. Notre personnel juridique ne dépassera pas l’âge de 55 ans, d’une part parce que les hommes âgés s’en tiennent plus obstinément à des opinions préconçues et sont moins capables de se soumettre à de nouvelles orientations, et d’autre part parce que cela nous donnera la possibilité par cette mesure d’assurer une élasticité dans le changement de personnel, qui pourra ainsi plus facilement plier sous notre pression : celui qui souhaite garder sa place devra donner une obéissance aveugle pour la mériter. En général, nos juges ne seront élus par nous que parmi ceux qui comprennent parfaitement que le rôle qu’ils ont à jouer est de punir et d’appliquer les lois et non de rêver aux manifestations du libéralisme aux dépens du schéma éducatif de l’État, comme l’imagine le GOYIM de nos jours …. Cette méthode de brassage du personnel servira aussi à faire exploser toute solidarité collective de ceux qui sont dans le même service et liera tous aux intérêts du gouvernement dont leur sort dépendra. La jeune génération de juges sera formée à certaines conceptions concernant l’inadmissibilité de tout abus qui pourrait perturber l’ordre établi de nos sujets entre eux.
  2. De nos jours, les juges du GOYIM créent des indulgences pour toutes sortes de crimes, n’ayant pas une juste compréhension de leur fonction, parce que les dirigeants de l’époque actuelle, en nommant les juges à leur poste, ne prennent pas soin de leur inculquer le sens du devoir et la conscience de la matière qui leur est demandée. Comme une bête brute laisse sortir ses petits à la recherche d’une proie, de même les GOYIM leur donnent le but pour lequel un tel lieu a été créé. C’est la raison pour laquelle leurs gouvernements sont ruinés par leurs propres forces par les actes de leur propre administration. 1
  3. Prenons l’exemple des résultats de ces actions pour en tirer une autre leçon pour notre gouvernement.
  4. Nous éradiquerons le libéralisme de tous les postes stratégiques importants de notre gouvernement dont dépend la formation des subordonnés pour notre structure étatique. Ces postes relèveront exclusivement de ceux qui ont été formés par nous pour le pouvoir administratif. À l’objection éventuelle selon laquelle la retraite des vieux fonctionnaires coûtera cher au Trésor, je réponds, premièrement, qu’ils bénéficieront d’un certain service privé à la place de ce qu’ils perdent et, deuxièmement, que tout l’argent du monde sera concentré entre nos mains, par conséquent ce n’est pas notre gouvernement qui doit craindre les dépenses.

NOUS SERONS CRUELS

  1. Notre absolutisme sera en toutes choses logiquement consécutif et donc dans chacun de ses décrets notre volonté suprême doit être respectée et incontestablement accomplie : elle ignorera tous les murmures, tous les mécontentements de toute sorte et détruira à la racine toute manifestation de ceux-ci en acte par une punition de caractère exemplaire.
  2. Nous abolirons le droit de recours, qui sera transféré exclusivement à notre disposition – à la connaissance de celui qui gouverne, car nous ne devons pas permettre la conception parmi les gens d’une pensée selon laquelle il pourrait y avoir une décision qui ne serait pas du droit des juges que nous avons mis en place. Si, toutefois, une telle chose devait se produire, nous annulerions nous-mêmes la décision, mais nous infligerions au juge, par manque de compréhension de son devoir et de l’objet de sa nomination, une sanction exemplaire qui empêcherait que de tels cas ne se reproduisent …. Je répète qu’il faut garder à l’esprit que nous connaîtrons chaque étape de notre administration qui n’a besoin d’être surveillée de près que pour que le peuple soit satisfait de nous, car il a le droit d’exiger d’un bon gouvernement un bon fonctionnaire.
  3. NOTRE GOUVERNEMENT AURA L’APPARENCE D’UNE TUTELLE PATERNELLE PATRIARCALE DE LA PART DE NOTRE DIRIGEANT. Notre propre nation et nos sujets discerneront en sa personne un père qui s’occupera de tous leurs besoins, de tous leurs actes, de toutes leurs interrelations en tant que sujets les uns avec les autres, ainsi que de leurs relations avec le dirigeant. Ils seront alors si profondément imprégnés de la pensée qu’il leur est impossible de se passer de cette tutelle et de cette guidance, s’ils veulent vivre en paix et en tranquillité, qu’ils reconnaîtront l’autorité de notre souverain avec une révocation à la limite de l'”apothéose”, surtout lorsqu’ils sont convaincus que ceux que nous avons mis en place ne mettent pas la leur à la place de l’autorité, mais exécutent seulement aveuglément ses diktats. Ils se réjouiront que nous ayons tout réglé dans leur vie comme le font les parents sages qui veulent former leurs enfants à la cause du devoir et de la soumission. Car les peuples du monde, en ce qui concerne les secrets de notre politique, ne sont jamais, à travers les âges, que des enfants mineurs, tout comme leurs gouvernements.
  4. Comme vous le voyez, j’ai trouvé notre despotisme sur le droit et le devoir : le droit de contraindre à l’exécution du devoir est l’obligation directe d’un gouvernement qui est un père pour ses sujets. Il a le droit du plus fort de l’utiliser au profit de l’orientation de l’humanité vers cet ordre qui est défini par la nature, à savoir la soumission. Tout dans le monde est en état de soumission, si ce n’est à l’homme, alors aux circonstances ou à son propre caractère intérieur, dans tous les cas, à ce qui est plus fort. Et c’est ainsi que nous serons ce quelque chose de plus fort pour le bien.
  5. Nous sommes obligés de sacrifier sans hésitation les individus qui commettent une infraction à l’ordre établi, car dans la punition exemplaire du mal se trouve un grand problème d’éducation.
  6. Lorsque le roi d’Israël posera sur sa tête sacrée la couronne que lui a offerte l’Europe, il deviendra patriarche du monde. Les victimes indispensables offertes par lui en conséquence de leur convenance n’atteindront jamais le nombre de victimes offertes au cours des siècles par la manie de la magnificence, l’émulation entre les gouvernements GOY.
  7. Notre Roi sera en communion constante avec les peuples, leur faisant de la tribune des discours que la renommée distribuera à cette même heure dans le monde entier.

 

PROTOCOLE n° 16

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  1. Afin de détruire toutes les forces collectives, sauf les nôtres, nous émasculerons la première étape du collectivisme – les UNIVERSITÉS – en les rééduquant dans une nouvelle direction. LEURS FONCTIONNAIRES ET PROFESSEURS SERONT PRÉPARÉS À LEURS AFFAIRES PAR DES PROGRAMMES D’ACTION SECRETS DÉTAILLÉS DONT ILS NE POURRONT PAS S’ÉCARTER EN TOUTE IMMUNITÉ, PAS D’UN IOTA. ILS SERONT NOMMÉS AVEC UNE PRÉCAUTION PARTICULIÈRE ET SERONT PLACÉS DE MANIÈRE À DÉPENDRE ENTIÈREMENT DU GOUVERNEMENT.
  2. Nous exclurons du cours de droit de l’État tout ce qui concerne la question politique. Ces matières seront enseignées à quelques dizaines de personnes choisies pour leurs capacités prépondérantes parmi le nombre des initiés. LES UNIVERSITÉS NE DOIVENT PLUS ENVOYER DE LEURS SALLES DES SUCETTES DE LAIT CONCOCTANT DES PLANS POUR UNE CONSTITUTION, COMME UNE COMÉDIE OU UNE TRAGÉDIE, S’AFFAIRANT À DES QUESTIONS DE POLITIQUE DANS LESQUELLES MÊME LEURS PROPRES PÈRES N’ONT JAMAIS EU DE POUVOIR DE RÉFLEXION.
  3. La connaissance malavisée d’un grand nombre de personnes avec les questions de politique crée des rêveurs utopiques et de mauvais sujets, comme vous pouvez le voir par vous-même à partir de l’exemple de l’éducation universelle dans cette direction du GOYIM. Nous devons introduire dans leur éducation tous ces principes qui ont si brillamment brisé leur ordre. Mais lorsque nous serons au pouvoir, nous retirerons de l’enseignement toute sorte de sujets dérangeants et nous ferons de la jeunesse des enfants obéissants de l’autorité, aimant celui qui gouverne comme le soutien et l’espoir de la paix et de la tranquillité.

NOUS ALLONS CHANGER L’HISTOIRE

  1. Le classicisme comme aussi toute forme d’étude de l’histoire ancienne, dans laquelle il y a plus de mauvais que de bons exemples, nous le remplacerons par l’étude du programme du futur. Nous effacerons de la mémoire des hommes tous les faits des siècles précédents qui nous sont indésirables, et ne laisserons que ceux qui dépeignent toutes les erreurs du gouvernement du GOYIM. L’étude de la vie pratique, des obligations de l’ordre, des relations des gens entre eux, de la nécessité d’éviter les exemples mauvais et égoïstes, qui propagent l’infection du mal, et des questions similaires de nature éducative, sera au premier plan du programme d’enseignement, qui sera établi sur un plan séparé pour chaque vocation ou état de vie, sans généraliser l’enseignement. Ce traitement de la question revêt une importance particulière.
  2. Chaque état de vie doit être formé dans des limites strictes correspondant à sa destination et à son travail dans la vie. Le GÉNIE OCCASIONNEL A TOUJOURS GÉRÉ ET GÉRERA TOUJOURS DE PASSER DANS 53 AUTRES ÉTATS DE VIE, MAIS C’EST LA PLUS PARFAITE DES FOLIES QUE DE LAISSER PASSER DANS DES RANGS QUI LEUR SONT ÉTRANGERS LES SANS-TALENT QUI VOLENT AINSI LEUR PLACE À CEUX QUI APPARTIENNENT À CES RANGS PAR NAISSANCE OU PAR EMPLOI. VOUS SAVEZ VOUS-MÊMES CE QUE TOUT CELA A DONNÉ AUX “GOYIM” QUI ONT PERMIS CETTE ABSURDITÉ CRIANTE.
  3. Pour que celui qui gouverne soit bien ancré dans le coeur et l’esprit de ses sujets, il est nécessaire, le temps de son activité, d’instruire toute la nation dans les écoles et sur les places de marché sur cette signification et sur ses actes et toutes ses initiatives bénéfiques.
  4. Nous abolirons toute forme de liberté d’enseignement. Les apprenants de tous âges ont le droit de se réunir avec leurs parents dans les établissements d’enseignement comme dans un club : au cours de ces réunions, les jours fériés, les enseignants liront ce qui passera pour des conférences gratuites sur des questions de relations humaines, de lois d’exemples, de philosophie de nouvelles théories non encore déclarées au monde. Ces théories seront élevées par nous au rang de dogme de la foi, comme une étape traditionnelle vers notre foi. A l’issue de cet exposé de notre programme d’action dans le présent et l’avenir, je vous lirai les principes de ces théories.
  5. En un mot, sachant par l’expérience de nombreux siècles que les gens vivent et sont guidés par des idées, que ces idées ne sont imprégnées par les gens que grâce à une éducation dispensée avec un succès égal pour tous les âges de la croissance, mais bien sûr par des méthodes variées, nous allons avaler et confisquer à notre propre usage la dernière parcelle d’indépendance de la pensée, que nous avons depuis longtemps orientée vers des sujets et des idées qui nous sont utiles. Le système de bridage de la pensée est déjà à l’œuvre dans le système dit d’enseignement par LEÇONS D’OBJECTIFS, dont le but est de transformer les GOYIM en brutes soumises et irréfléchies qui attendent que les choses leur soient présentées pour se faire une idée d’elles …. En France, l’un de nos meilleurs agents, Bourgeois, a déjà rendu public un nouveau programme d’enseignement par leçons d’objets.

 

PROTOCOLE n° 17

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  1. La pratique de l’advocacy produit des hommes froids, cruels, persistants, sans principes, qui dans tous les cas adoptent un point de vue impersonnel, purement juridique. Ils ont l’habitude invétérée de tout ramener à sa valeur pour la défense et non au bien-être public de ses résultats. Ils ne refusent généralement pas d’entreprendre la moindre défense, ils s’efforcent à tout prix d’obtenir un acquittement, en fouillant dans les moindres recoins de la jurisprudence et, ce faisant, ils démoralisent la justice. C’est pourquoi nous allons encadrer cette profession de manière à la maintenir dans cette sphère de service public exécutif. Les avocats, au même titre que les juges, seront privés du droit de communication avec les parties au litige ; ils ne recevront d’affaires que du tribunal et les étudieront par des notes de rapport et des documents, défendant leurs clients après avoir été interrogés au tribunal sur des faits qui ont été présentés. Ils recevront des honoraires sans tenir compte de la qualité de la défense. Cela fera d’eux de simples reporters sur les affaires juridiques dans l’intérêt de la justice et en contrepoids au surveillant qui sera le reporter dans l’intérêt de l’accusation ; cela raccourcira les affaires devant les tribunaux. De cette manière, sera établie une pratique de défense honnête et sans préjugés, menée non pas par intérêt personnel mais par conviction. Cela permettra également, soit dit en passant, de mettre fin à la pratique actuelle de marchandage corrompu entre avocats, qui consiste à accepter de ne laisser gagner que le camp qui paie le plus …..

NOUS ALLONS DÉTRUIRE LE CLERGÉ

  1. NOUS AVONS PRIS SOIN DE DISCRÉDIT LES PRÊTRES DU “GOYIM”, et ainsi de ruiner leur mission sur terre qui, de nos jours, pourrait encore être un grand obstacle pour nous. Jour après jour, son influence sur les peuples du monde diminue. LA LIBERTÉ DE CONSCIENCE A ÉTÉ DÉCLARÉE PARTOUT, DE telle sorte qu’il ne nous reste plus que quelques années pour nous éloigner du moment où cette RELIGION CHRÉTIENNE sera complètement détruite : comme pour les autres religions, nous aurons encore moins de difficultés à les traiter, mais il serait prématuré d’en parler maintenant. Nous placerons le cléricalisme et les clercs dans des cadres si étroits que leur influence sera rétrogradée par rapport à ses progrès antérieurs.
  2. Lorsque le moment sera enfin venu de détruire la cour papale, le doigt d’une main invisible pointera les nations vers cette cour. Mais lorsque les nations se jetteront sur elle, nous nous présenterons sous les traits de ses défenseurs, comme pour éviter une effusion de sang excessive. Par cette diversion, nous pénétrerons jusqu’à ses entrailles et nous serons sûrs de ne plus jamais en sortir avant d’avoir rongé toute la force de ce lieu.
  3. LE ROI DES JUIFS SERA LE VRAI PAPE DE L’UNIVERS, LE PATRIARCHE DE L’ÉGLISE INTERNATIONALE
  4. Mais, en même temps que nous rééduquons les jeunes dans les nouvelles religions traditionnelles et ensuite dans les nôtres, nous ne devons pas trop mettre le doigt sur les églises existantes, mais nous devons les combattre par un CRITIQUE CALCULÉ POUR PRODUIRE DES SCHÉMAS…
  5. En général, donc, notre presse contemporaine continuera à CONVICTER les affaires d’État, les religions, les incapacités des GOYIM, en utilisant toujours les expressions les moins scrupuleuses afin de diminuer par tous les moyens leur prestige de la manière qui ne peut être pratiquée que par le génie de notre tribu douée… (Qualifiant le massacre de Jim Jones en Guyane de suicide collectif et non de massacre de la C.I.A./MKULTRA/du gouvernement américain ? Nier le massacre de la secte Branch Dravidian à Waco, Texas, était un massacre inutile et délibéré de la part du B.A.T.F./F.B.I/C.I.A/Gouvernement américain).
  6. Notre royaume sera une apologie de la divinité Vishnu, en qui se trouve sa personnification – dans nos cent mains seront, une dans chacune, les ressorts de la machinerie de la vie sociale. Nous verrons tout sans l’aide de la police officielle qui, dans le cadre de ses droits que nous avons élaborés à l’usage du GOYIM, empêche les gouvernements de voir. Dans nos programmes, UN TIERS DE NOS SUJETS GARDERA LE RESTE SOUS OBSERVATION du sens du devoir, sur le principe du service volontaire à l’État. Ce ne sera donc pas une honte d’être un espion et un informateur, mais un mérite : les dénonciations infondées seront cependant cruellement punies afin qu’il n’y ait pas de développement d’abus de ce droit.
  7. Nos agents seront recrutés dans les rangs supérieurs comme dans les rangs inférieurs de la société, parmi la classe administrative qui passe son temps dans les divertissements, les éditeurs, les imprimeurs et les éditeurs, les libraires, les commis et les vendeurs, les ouvriers, les cochers, les laquais, etc. Cet organisme, qui n’a aucun droit et n’est pas habilité à agir pour son propre compte, et par conséquent une police sans aucun pouvoir, ne fera que témoigner et rapporter : la vérification de leurs rapports et de leurs arrestations dépendra d’un groupe responsable de contrôleurs des affaires de police, tandis que l’acte d’arrestation proprement dit sera effectué par la gendarmerie et la police municipale. Toute personne ne dénonçant pas ce qu’elle a vu ou entendu concernant des questions de politique sera également accusée et rendue responsable de dissimulation, s’il est prouvé qu’elle est coupable de ce crime.
  8. Tout comme nos frères, nous sommes maintenant obligés, à leur propre risque, de dénoncer aux membres du KAHAL de leur propre famille ou aux membres qui ont été remarqués en train de faire quelque chose en opposition au KAHAL, AINSI, DANS NOTRE ROYAUME, PARTOUT DANS LE MONDE, IL SERA OBLIGATOIRE POUR TOUS NOS SUJETS D’OBSERVER LE DEVOIR DE SERVICE À L’ÉTAT DANS CE SENS.
  9. Une telle organisation extirpera les abus d’autorité, de force, de corruption, tout ce que nous avons en fait, par nos conseils, par nos théories des droits surhumains de l’homme, introduit dans les coutumes du GOYIM …. Mais comment faire autrement pour obtenir cette multiplication des causes prédisposant aux troubles au sein de leur administration ? …. Parmi le nombre de ces méthodes, l’une des plus importantes est – les agents de rétablissement de l’ordre, placés de manière à avoir la possibilité, dans leur activité désintégratrice, de développer et de montrer leurs mauvaises inclinations – l’orgueil obstiné, l’exercice irresponsable de l’autorité et, avant tout, la vénalité. (Janet Reno ? B.A.T.F. ? C.I.A. ?)

 

PROTOCOLE n° 18

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  1. Lorsqu’il nous sera nécessaire de renforcer les mesures strictes de défense secrète (le poison le plus mortel pour le prestige de l’autorité), nous organiserons une simulation des troubles ou de quelque manifestation de mécontentement s’exprimant par la coopération de bons orateurs. Autour de ces orateurs se réuniront tous ceux qui sont sensibles à ses propos. Cela nous donnera le prétexte pour des prélèvements et des surveillances domiciliaires de la part de nos agents parmi le nombre de policiers du GOYIM … (Australia’s One Nation Party ? A.D.L./B’nai B’rith activités contre la paix ?)
  1. Comme la majorité des conspirateurs agissent par amour du jeu, pour le plaisir de parler, ainsi, jusqu’à ce qu’ils commettent un acte manifeste, nous ne poserons pas un doigt sur eux mais nous introduirons seulement en leur sein des éléments d’observation …. Il faut se rappeler que le prestige de l’autorité est diminué si elle découvre fréquemment des conspirations contre elle-même : cela implique une présomption de conscience de faiblesse ou, pire encore, d’injustice. Vous savez que nous avons brisé le prestige des rois GOY en attentant fréquemment à leur vie par l’intermédiaire de nos agents, les moutons aveugles de notre troupeau, qui sont facilement déplacés par quelques phrases libérales vers les crimes à condition qu’ils soient seulement peints en couleurs politiques. NOUS AVONS CONTRAINT LES DIRIGEANTS À RECONNAÎTRE LEUR FAIBLESSE EN ANNONÇANT OUVERTEMENT DES MESURES DE DÉFENSE SECRÈTES ET, PAR LÀ MÊME, NOUS MÈNERONS LA PROMESSE DE L’AUTORITÉ À LA DESTRUCTION.
  2. Notre souverain ne sera secrètement protégé que par la garde la plus insignifiante, car nous n’admettrons pas tant qu’il puisse exister contre lui une quelconque sédition à laquelle il n’est pas assez fort pour faire face et qu’il est obligé de dissimuler.
  3. Si nous devions admettre cette pensée, comme l’ont fait et font les GOYIM, nous devrions signer une condamnation à mort de l’IPSO FACTO, si ce n’est pour notre souverain, en tout cas pour sa dynastie, à une date non lointaine.

LE GOUVERNEMENT PAR LA PEUR

  1. Selon des apparences extérieures strictement respectées, notre dirigeant n’utilisera son pouvoir qu’à l’avantage de la nation et en aucun cas pour ses propres profits ou ceux de la dynastie. Par conséquent, avec l’observation de ce décorum, son autorité sera respectée et gardée par les sujets eux-mêmes, elle recevra une apothéose dans l’admission qu’avec elle est lié le bien-être de chaque citoyen de l’État, car de lui dépendra tout l’ordre dans la vie commune de la meute ….
  2. UNE DÉFENSE OUVERTE DU GENRE FAIT VALOIR LA FAIBLESSE DANS L’ORGANISATION DE SA FORCE.
  3. Notre souverain sera toujours parmi le peuple et sera entouré d’une foule d’hommes et de femmes apparemment curieux, qui occuperont les premiers rangs autour de lui, à toute apparence par hasard, et qui restreindront les rangs des autres par respect, comme il apparaîtra pour le bon ordre. Cela semera un exemple de retenue également chez les autres. Si un pétitionnaire apparaît parmi les personnes qui tentent de remettre une pétition et qui forcent son chemin à travers les rangs, les premiers rangs doivent recevoir la pétition et, sous les yeux du pétitionnaire, la transmettre au dirigeant, afin que tous puissent savoir que ce qui est remis arrive à destination, et que par conséquent, il existe un contrôle du dirigeant lui-même. L’auréole du pouvoir exige pour son existence que le peuple puisse dire : “Si le roi le savait”, ou : “le roi l’entendra”.
  4. AVEC L’ÉTABLISSEMENT D’UNE DÉFENSE OFFICIELLE, LA PRESTIGE MYSTIQUE DE L’AUTORITÉ DISPARAÎT : face à une certaine audace, et chacun s’estime maître en la matière, le séditieux est conscient de sa force, et quand l’occasion se présente, il sert pour l’instant de montre pour tenter d’atteindre l’autorité …. Pour les GOYIM, nous avons prêché autre chose, mais par le fait même, nous sommes en mesure de voir quelles mesures de défense ouverte les ont amenés à ….
  5. LES CRIMINELS QUI NOUS SONT ATTENTES SERONT ARRETES A LA PREMIERE SUSPICTION, plus ou moins bien fondée : on ne peut pas permettre que, par crainte d’une éventuelle erreur, une possibilité d’évasion soit donnée à des personnes soupçonnées d’une faute politique, car dans ces affaires nous serons littéralement impitoyables. S’il est encore possible, en étirant un point, d’admettre une reconsidération des causes du mobile dans les crimes simples, il n’y a aucune possibilité d’excuse pour les personnes qui s’occupent de questions dans lesquelles personne, sauf le gouvernement, ne peut rien comprendre …. Et ce ne sont pas tous les gouvernements qui comprennent la vraie politique.

 

PROTOCOLE n° 19

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  1. Si nous ne permettons pas d’intervenir de façon indépendante dans le domaine politique, nous encouragerons en revanche tout type de rapport ou de pétition contenant des propositions que le gouvernement examinera pour toutes sortes de projets d’amélioration de la condition du peuple ; cela nous révélera les défauts ou les fantasmes de nos sujets, auxquels nous répondrons soit en les accomplissant, soit par une sage réfutation pour prouver la myopie de celui qui juge à tort.
  2. La sédition n’est rien d’autre que le jappement d’un chien de salon sur un éléphant. Pour un gouvernement bien organisé, non pas du point de vue de la police mais de celui du public, le chien de salon jappe sur l’éléphant dans l’inconscience totale de sa force et de son importance. Il suffit de prendre un bon exemple pour montrer l’importance relative des deux et les chiens de compagnie cesseront de jacasser et remueront la queue dès qu’ils auront les yeux sur un éléphant.
  3. Afin de détruire le prestige de l’héroïsme pour le crime politique, nous l’enverrons en procès dans la catégorie des vols, des meurtres et de toute sorte de crimes abominables et dégoûtants. L’opinion publique confondra alors dans sa conception cette catégorie de crime avec la disgrâce qui s’attache à toute autre et la marquera du même mépris.
  4. Nous avons fait de notre mieux, et j’espère que nous avons réussi à obtenir que le GOYIM n’arrive pas à ce moyen de lutte contre la sédition. C’est pour cette raison que, par la presse et dans des discours, indirectement – dans des manuels scolaires d’histoire savamment compilés – nous avons fait de la publicité pour le martyre qui aurait été accrédité par des séditieux pour l’idée du commonweal. Cette publicité a accru le contingent des libéraux et a amené des milliers de GOYIM dans les rangs de notre bétail.

 

PROTOCOLE n° 20

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  1. Aujourd’hui, nous allons aborder le programme financier, que j’ai reporté à la fin de mon rapport comme étant le plus difficile, le couronnement et le point décisif de nos projets. Avant d’entrer dans le vif du sujet, je vous rappelle que j’ai déjà dit, à titre indicatif, que la somme de nos actions est réglée par la question des chiffres.
  2. Lorsque nous entrerons dans notre royaume, notre gouvernement autocratique évitera, par principe d’auto-préservation, de faire peser sur les masses populaires un fardeau fiscal raisonnable, en se rappelant qu’il joue le rôle de père et de protecteur. Mais comme l’organisation de l’État coûte cher, il est néanmoins nécessaire d’obtenir les fonds nécessaires à son fonctionnement. Il élaborera donc avec une précaution particulière la question de l’équilibre en la matière.
  3. Notre règle, dans laquelle le roi jouira de la fiction juridique selon laquelle tout dans son État lui appartient (ce qui peut facilement se traduire dans les faits), permettra de recourir à la confiscation légale de toutes les sommes de toute nature pour la régulation de leur circulation dans l’État. Il s’ensuit que l’imposition sera mieux couverte par un impôt progressif sur la propriété. De cette manière, les droits seront payés sans que personne ne soit lésé ou ruiné sous la forme d’un pourcentage du montant des biens. Les riches doivent être conscients qu’il est de leur devoir de mettre une partie de leurs superflus à la disposition de l’État puisque celui-ci leur garantit la sécurité de possession du reste de leurs biens et le droit à des gains honnêtes, je dis honnêtes, car le contrôle des biens supprimera le vol sur une base légale.
  4. Cette réforme sociale doit venir d’en haut, car le moment est venu pour elle – elle est indispensable en tant que gage de paix.

NOUS ALLONS DÉTRUIRE LES CAPITAUX

  1. L’impôt sur le pauvre homme est un germe de révolution et travaille au détriment de l’État qui, en chassant après la bagatelle, manque le gros. Par ailleurs, un impôt sur les capitalistes diminue la croissance de la richesse des mains privées dans lesquelles nous l’avons concentrée ces jours-ci, en contrepoids à la force gouvernementale des GOYIM – leurs finances d’État.
  2. Un impôt augmentant en pourcentage du capital donnera des recettes beaucoup plus importantes que l’impôt actuel sur les personnes physiques ou sur les biens, ce qui nous est utile maintenant pour la seule raison qu’il suscite des troubles et du mécontentement parmi les GOYIM. (Nous connaissons maintenant le but du 16e amendement ! !
  3. La force sur laquelle reposera notre roi consiste dans l’équilibre et la garantie de la paix, pour lesquels il est indispensable que les capitalistes cèdent une partie de leurs revenus au profit du fonctionnement sûr de l’appareil d’État. Les besoins de l’État doivent être payés par ceux qui ne ressentiront pas le fardeau et qui auront assez à prendre.
  4. Une telle mesure détruira la haine du pauvre pour le riche, en qui il verra un soutien financier nécessaire pour l’État, verra en lui l’organisateur de la paix et du bien-être puisqu’il verra que c’est le riche qui paie les moyens nécessaires pour atteindre ces choses.
  5. Afin que les payeurs des classes instruites ne s’inquiètent pas trop des nouveaux paiements, ils disposeront de comptes complets leur indiquant la destination de ces paiements, à l’exception des sommes qui seront affectées aux besoins du trône et des institutions administratives.
  6. Celui qui règne n’aura plus de biens propres une fois que tous dans l’État auront représenté son patrimoine, sinon l’un serait en contradiction avec l’autre ; le fait de détenir des moyens privés détruirait le droit de propriété sur 60 les biens communs de tous.
  7. Les parents de celui qui règne, ses héritiers exceptés, qui seront entretenus par les ressources de l’État, doivent entrer dans les rangs des serviteurs de l’État ou doivent travailler pour obtenir le droit de propriété ; le privilège du sang royal ne doit pas servir à la spoliation du trésor.
  8. L’achat, la réception d’argent ou l’héritage seront soumis au paiement d’un impôt progressif sur les timbres. Tout transfert de biens, en argent ou autre, sans preuve du paiement de cet impôt qui sera strictement nominatif, rendra l’ancien titulaire redevable d’intérêts sur l’impôt à partir du moment du transfert de ces sommes jusqu’à la découverte de sa fraude à la déclaration de transfert. Les documents de transfert doivent être présentés chaque semaine au bureau local du Trésor public avec notification des nom, prénom et domicile permanent de l’ancien et du nouveau détenteur. Ce transfert avec registre des noms doit partir d’une somme déterminée qui dépasse les frais ordinaires d’achat et de vente des biens nécessaires, et ceux-ci ne seront soumis au paiement que par un timbre imposé d’un pourcentage déterminé de l’unité.
  9. Il suffit d’estimer le nombre de fois que ces taxes couvriront les recettes des États du GOYIM.

NOUS PROVOQUONS DES DÉPRESSIONS

  1. Le Trésor public devra maintenir un complément défini de sommes de réserve, et tout ce qui est collecté au-delà de ce complément devra être remis en circulation. Sur ces sommes seront organisés des travaux publics. L’initiative de tels travaux, provenant de sources étatiques, liera fermement la classe ouvrière aux intérêts de l’État et à ceux qui règnent. De ces mêmes sommes, une partie sera également réservée aux récompenses de l’inventivité et de la productivité.
  2. Il ne faut en aucun cas conserver dans les Trésors de l’État une seule unité au-dessus des sommes définies et librement estimées, car l’argent existe pour circuler et toute stagnation de l’argent agit de façon ruineuse sur le fonctionnement de la machine de l’État, dont elle est le lubrifiant ; une stagnation du lubrifiant peut arrêter le fonctionnement régulier du mécanisme.
  3. La substitution du papier portant intérêt à une partie du jeton d’échange a précisément produit cette stagnation. Les conséquences de cette circonstance sont déjà suffisamment perceptibles.
  4. Une cour des comptes sera également instituée par nous, et le souverain y trouvera à tout moment une comptabilité complète des recettes et des dépenses de l’État, à l’exception du compte mensuel courant, non encore établi, et de celui du 61 mois précédent, qui n’aura pas encore été délivré.
  5. La seule et unique personne qui n’aura aucun intérêt à voler l’État est son propriétaire, le dirigeant. C’est pourquoi son contrôle personnel supprimera la possibilité de fuites ou d’extravagances.
  6. La fonction représentative du dirigeant lors des réceptions, par souci d’étiquette, qui absorbe tant de temps précieux, sera supprimée afin que le dirigeant puisse avoir le temps de contrôler et de réfléchir. Son pouvoir ne sera alors plus divisé en fractions entre les favoris qui entourent le trône pour son faste et sa splendeur, et qui ne s’intéressent qu’à leurs propres intérêts et non aux intérêts communs de l’État.
  7. Les crises économiques ont été produites par nous pour le GOYIM par aucun autre moyen que le retrait de l’argent de la circulation. D’énormes capitaux ont stagné, retirant l’argent des États, qui étaient constamment obligés de demander des prêts à ces mêmes capitaux stagnants. Ces prêts ont grevé les finances de l’État avec le paiement des intérêts et en ont fait les esclaves obligataires de ces capitaux …. La concentration de l’industrie entre les mains des capitalistes et celles des petits maîtres a drainé tous les sucs des peuples et avec eux aussi les États …. (Nous connaissons maintenant le but de la Federal Reserve Bank Corporation ! !)
  8. La question de l’argent en général ne correspond pas aux besoins par tête, et ne peut donc pas satisfaire tous les besoins des travailleurs. L’émission de monnaie doit correspondre à la croissance de la population et, par conséquent, les enfants doivent absolument être considérés comme des consommateurs de monnaie dès le jour de leur naissance. La révision de l’émission est une question matérielle pour le monde entier.
  9. VOUS SAVEZ QUE L’ÉTALON-OR A ÉTÉ LA RUINE DES ÉTATS QUI L’ONT ADOPTÉ, CAR IL N’A PAS PU SATISFAIRE LES DEMANDES DE MONNAIE, D’AUTANT PLUS QUE NOUS AVONS RETIRÉ L’OR DE LA CIRCULATION AUTANT QUE POSSIBLE.

LES ÉTATS GENTILS EN FAILLITE

  1. Chez nous, la norme qui doit être introduite est le coût de la force de travail, qu’il On compte en papier ou en bois. Nous procéderons à l’émission de la monnaie selon les besoins normaux de chaque sujet, en ajoutant à la quantité à chaque naissance et en soustrayant à chaque décès.
  1. Les comptes seront gérés par chaque département (la division administrative française), chaque cercle.
  2. Afin qu’il n’y ait pas de retard dans le versement de l’argent pour les besoins de l’État, les sommes et les modalités de ces versements seront fixées par décret du souverain ; cela supprimera la protection d’un ministère d’une institution au détriment des autres.
  3. Les budgets des recettes et des dépenses seront exécutés côte à côte afin qu’ils ne soient pas obscurcis par la distance les uns par rapport aux autres.
  4. Les réformes que nous projetons dans les institutions financières et les principes du GOYIM seront revêtues par nous sous des formes qui n’alarmeront personne. Nous signalerons la nécessité de réformes en conséquence de l’obscurité désordonnée dans laquelle les GOYIM par leurs irrégularités ont plongé les finances. La première irrégularité, comme nous le signalerons, consiste à commencer par l’élaboration d’un budget unique qui, année après année, s’accroît pour la raison suivante : ce budget est reporté à la moitié de l’année, puis on demande un budget de redressement, et on le dépense en trois mois, puis on demande un budget supplémentaire, et tout cela se termine par un budget de liquidation. Mais, comme le budget de l’année suivante est établi en fonction de la somme de l’addition totale, l’écart annuel par rapport à la normale atteint jusqu’à 50 % en un an, et le budget annuel est donc triplé en dix ans. Grâce à de telles méthodes, permises par l’incurie des États GOY, leurs trésoreries sont vides. La période des prêts se prolonge, ce qui a englouti les restes et conduit tous les États GOY à la faillite. (Les Etats-Unis ont été déclarés “en faillite” lors de la Convention de Genève de 1929 ! voir 31 USC 5112, 5118 et 5119).
  5. Vous comprenez parfaitement que des arrangements économiques de ce type, que nous avons suggérés au GOYIM, ne peuvent être poursuivis par nous.
  6. Tout type de prêt prouve une infirmité de l’État et un manque de compréhension des droits de l’État. Les prêts pendent comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête des gouvernants qui, au lieu de prendre à leurs sujets par un impôt temporaire, viennent mendier avec la paume tendue à nos banquiers. Les prêts étrangers sont des sangsues qu’il n’est pas possible de retirer du corps de l’État jusqu’à ce qu’ils tombent d’eux-mêmes ou que l’État les jette. Mais les États GOY ne les arrachent pas, ils s’obstinent à en rajouter sur eux-mêmes pour qu’ils périssent inévitablement, vidés de leur sang par des saignées volontaires.

LA TYRANNIE DE L’USURE

  1. Qu’est-ce qui est aussi, en substance, un prêt, en particulier un prêt étranger ? Un prêt est – une émission de lettres de change du gouvernement contenant une obligation de pourcentage proportionnelle à la somme du capital du prêt. Si le prêt porte une charge de 5 %, l’État paie en vain en vingt ans une somme égale au prêt emprunté, en quarante ans il paie une somme double, en soixante – trois, et tout cela alors que la dette reste impayée.
  2. Il ressort de ce calcul qu’avec toute forme d’imposition par tête, l’État se débarrasse des derniers flics des contribuables pauvres afin de régler les comptes avec les étrangers riches, auxquels il a emprunté de l’argent au lieu de collecter ces flics pour ses propres besoins sans les intérêts supplémentaires.
  3. Tant que les prêts étaient internes, les GOYIM ne faisaient que déplacer leur argent des poches des pauvres vers celles des riches, mais lorsque nous avons acheté les personnes nécessaires pour transférer les prêts dans la sphère externe, (Woodrow Wilson et F.D. Roosevelt), toutes les richesses des États ont afflué dans nos caisses et tous les GOYIM ont commencé à nous payer le tribut des sujets.
  4. Si la superficialité des rois Goy sur leur trône en ce qui concerne les affaires de l’État et la vénalité des ministres ou le manque de compréhension des questions financières de la part d’autres gouvernants ont fait de leur pays un débiteur envers nos trésors à des montants tout à fait impossibles à payer, cela n’a pas été accompli sans, de notre part, de lourdes dépenses d’ennuis et d’argent.
  5. La stagnation de l’argent ne sera pas autorisée par nous et il n’y aura donc pas de papier d’État portant intérêt, sauf une série à un pour cent, de sorte qu’il n’y aura pas de paiement d’intérêts aux sangsues qui aspirent toute la force de l’État. Le droit d’émettre du papier portant intérêt sera accordé exclusivement aux sociétés industrielles qui n’ont aucune difficulté à payer des intérêts sur leurs bénéfices, alors que l’État ne verse pas d’intérêts sur l’argent emprunté comme ces sociétés, pour que l’État emprunte pour le dépenser et non pour l’utiliser dans ses opérations. (Nous savons maintenant pourquoi le président Kennedy a été assassiné en 1963 lorsqu’il a refusé d’emprunter davantage de “billets de banque” aux banquiers de la Banque de la Réserve fédérale et a commencé à faire circuler des “billets” non rémunérés des “États-Unis d’Amérique” !!!).
  6. Les papiers industriels seront également achetés par le gouvernement qui, de papier d’hommage par des opérations de prêt, se transformera en prêteur d’argent à profit. Cette mesure mettra fin à la stagnation de l’argent, aux profits parasitaires et à l’oisiveté, qui nous étaient utiles parmi les GOYIM tant qu’ils étaient indépendants mais qui ne sont pas souhaitables sous notre régime.
  7. Il est clair que les cerveaux purement brutaux des Goyim ont un pouvoir de réflexion inexploité, qui s’exprime par le fait qu’ils nous ont emprunté avec paiement d’intérêts sans jamais penser qu’ils doivent tout de même puiser dans la poche de leur propre État cet argent et un supplément pour le paiement des intérêts afin de régler leurs comptes avec nous. Quoi de plus simple que de prendre l’argent qu’ils voulaient de leur propre peuple
  8. Mais c’est une preuve du génie de notre esprit d’élite que nous avons réussi à leur présenter la question des prêts sous un jour tel qu’ils y ont même vu un avantage pour eux-mêmes.
  9. Nos récits, que nous présenterons le moment venu, à la lumière des siècles d’expérience acquise par les expériences que nous avons faites sur les Etats GOY, se distingueront par leur clarté et leur netteté et montreront d’un seul coup d’oeil à tous les hommes l’intérêt de nos innovations. Elles mettront un terme aux abus auxquels nous devons notre maîtrise des GOYIM, mais qui ne peuvent être admis dans notre royaume.
  10. Nous nous couvrirons de notre système de comptabilité de telle sorte que ni le dirigeant ni le fonctionnaire le plus insignifiant ne seront en mesure de détourner sans détection la moindre somme de sa destination ou de l’orienter dans une autre direction que celle qui sera fixée une fois dans un plan d’action précis. (Est-ce pour cela qu’une “société privée”, appelée “Internal Revenue Service”, est chargée de collecter les “paiements” des “Income Taxes” et que l’IRS dépose toujours ces “paiements” à la banque de la Réserve fédérale et jamais au Trésor des États-Unis ?)
  11. Et sans un plan précis, il est impossible de gouverner. Marcher sur une route indéterminée et avec des ressources indéterminées, c’est ruiner, au passage, les héros et les demi-dieux.
  12. Les souverains GOY, à qui nous avions autrefois conseillé de se distraire des occupations de l’État par des réceptions représentatives, le respect de l’étiquette, des divertissements, n’étaient que des écrans pour notre règle. (Comme la Maison de Windsor (Guelph) et le reste de la “noblesse noire” ?) Les comptes des courtisans favoris qui les remplaçaient dans la sphère des affaires étaient établis pour eux par nos agents, et donnaient chaque fois satisfaction aux esprits myopes par des promesses d’économies et d’améliorations futures …. Des économies de quoi ? De nouvelles taxes ? – étaient des questions qui auraient pu être posées, mais qui ne l’ont pas été par ceux qui ont lu nos comptes et nos projets.
  13. Vous savez à quoi cette insouciance les a conduits, à quel point ils sont arrivés dans le désordre financier, malgré l’étonnante industrie de leurs peuples

 

PROTOCOLE n° 21

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  1. A ce que je vous ai rapporté lors de la dernière réunion, je vais maintenant ajouter une explication détaillée des prêts internes. Pour les prêts étrangers, je ne dirai rien de plus, car ils nous ont alimentés avec les fonds nationaux du GOYIM, mais pour notre État, il n’y aura pas d’étrangers, c’est-à-dire rien d’extérieur.
  2. Nous avons profité de la vénalité des administrateurs et du laxisme des dirigeants pour obtenir deux fois, trois fois et plus, notre argent en prêtant aux gouvernements GOY des fonds dont les États n’avaient pas du tout besoin. Quelqu’un pourrait-il faire la même chose à notre égard ? …. Par conséquent, je ne traiterai que des détails des prêts internes.
  3. Les États annoncent qu’un tel emprunt doit être conclu et ouvrent des souscriptions pour leurs propres lettres de change, c’est-à-dire pour leur papier portant intérêt. Qu’ils puissent être à la portée de tous les prix est déterminé à partir de cent à mille ; et une décote est faite pour les premiers souscripteurs. Le lendemain, par des moyens artificiels, leur prix augmente, la raison alléguée étant que tout le monde se précipite pour les acheter. En quelques jours, les coffres du Trésor débordent, comme on dit, et il y a plus d’argent qu’ils ne peuvent en faire (pourquoi alors le prendre ?). La souscription, dit-on, couvre plusieurs fois le montant total de l’émission de l’emprunt ; c’est là que réside tout l’effet de stade – regardez, dit-on, quelle confiance est accordée aux lettres de change du gouvernement.
  4. Mais lorsque la comédie est jouée, il apparaît qu’un débit et un débit excessivement lourd ont été créés. Pour le paiement des intérêts, il devient nécessaire d’avoir recours à de nouveaux emprunts, qui n’engloutissent pas mais ne font qu’augmenter la dette en capital. Et lorsque ce crédit est épuisé, il devient nécessaire de couvrir par de nouvelles taxes, non pas le prêt, mais SEULEMENT les intérêts sur celui-ci. Ces taxes sont un débit utilisé pour couvrir un débit …. (d’où le CRYE POUR ÉQUILIBRER LE BUDGET !)
  5. Vient ensuite le temps des conversions, mais elles diminuent le paiement des intérêts sans couvrir la dette, et de plus elles ne peuvent être faites sans le consentement des prêteurs ; à l’annonce d’une conversion, il est proposé de rendre l’argent à ceux qui ne sont pas disposés à convertir leur papier. Si chacun exprimait son refus et exigeait le remboursement de son argent, le gouvernement serait pris à son propre piège et se retrouverait insolvable et incapable de payer les sommes proposées. Par chance, les sujets des gouvernements GOY, ne connaissant rien aux affaires financières, ont toujours préféré les pertes de change et la diminution des intérêts au risque de nouveaux investissements de leur argent, et ont ainsi souvent permis à ces gouvernements de se débarrasser d’un débit de plusieurs millions.
  6. Aujourd’hui, avec les prêts extérieurs, ces tours ne peuvent pas être joués par les GOYIM car ils savent que nous allons exiger le remboursement de tout notre argent.
  7. Ainsi, une faillite reconnue prouvera au mieux aux différents pays l’absence de moyens entre les intérêts des peuples et de ceux qui les gouvernent.
  8. Je vous prie de concentrer votre attention sur ce point et sur le suivant : aujourd’hui, tous les prêts internes sont consolidés par ce qu’on appelle des “flying loans”, c’est-à-dire des prêts dont les conditions de paiement sont plus ou moins proches. Ces dettes sont constituées de sommes versées dans les caisses d’épargne et les fonds de réserve. S’ils sont laissés longtemps à la disposition d’un gouvernement, ces fonds s’évaporent dans le paiement des intérêts des prêts étrangers, et sont placés par le dépôt d’un montant équivalent de

LOYERS.

  1. Et ce sont ces derniers qui réparent toutes les fuites dans les trésors de l’Etat du GOYIM.
  2. Lorsque nous monterons sur le trône du monde, tous ces changements financiers et autres, qui ne sont pas conformes à nos intérêts, seront balayés pour ne pas laisser de traces, de même que tous les marchés monétaires, car nous ne permettrons pas que le prestige de notre puissance soit ébranlé par des fluctuations de prix fixées sur nos valeurs, que nous annoncerons par la loi au prix qui représente leur pleine valeur sans possibilité de baisse ou de hausse. (La hausse donne le prétexte à la baisse, ce qui est d’ailleurs le point de départ de notre relation avec les valeurs du GOYIM).
  3. Nous remplacerons les marchés monétaires par de grandioses établissements de crédit publics, dont l’objet sera de fixer le prix des valeurs industrielles conformément aux vues du gouvernement. Ces institutions seront en mesure de lancer sur le marché cinq cent millions de papier industriel en un jour, ou d’acheter pour le même montant. De cette manière, toutes les entreprises industrielles deviendront dépendantes de nous. Vous pouvez vous imaginer l’immense pouvoir que nous nous assurerons ainsi ….

 

PROTOCOLE n° 22

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  1. Dans tout ce que je vous ai rapporté jusqu’à présent, je me suis efforcé de dépeindre avec soin le secret de ce qui va arriver, de ce qui est passé et de ce qui se passe maintenant, en me précipitant dans le flot des grands événements qui vont se produire dans un avenir proche, le secret de nos relations avec le GOYIM et des opérations financières. À ce sujet, il me reste encore un peu à ajouter.
  2. DANS NOS MAINS SE TROUVE LA PLUS GRANDE PUISSANCE DE NOTRE ÉPOQUE – L’OR : EN DEUX JOURS, NOUS POUVONS NOUS PROCURER DANS NOS ENTREPÔTS LA QUANTITÉ QUE NOUS VOULONS.
  3. Il n’est certainement pas nécessaire de chercher d’autres preuves que notre règle est prédestinée par Dieu ? Nous ne manquerons certainement pas, avec une telle richesse, de prouver que tout le mal que nous avons dû commettre pendant tant de siècles a servi, au bout du compte, la cause du véritable bien-être – la mise en ordre de toutes choses ? Même si c’est par l’exercice d’une certaine violence, il sera tout de même établi. (La devise des francs-maçons – “Hors du chaos, ordre”). Nous nous efforcerons de prouver que nous sommes des bienfaiteurs qui ont rendu à la terre déchirée et mutilée le vrai bien et aussi la liberté de la personne, et avec cela nous permettrons d’en jouir dans la paix et la tranquillité, avec la dignité appropriée des relations, à condition, bien sûr, de respecter strictement les lois établies par nous. Nous préciserons par là que la liberté ne consiste pas en une dissipation et en un droit de licence débridé, pas plus que la dignité et la force de l’homme ne consistent dans le droit de chacun de promulguer des principes destructeurs de la nature de la liberté de conscience, de l’égalité et autres, que la liberté de la personne ne consiste en aucun cas dans le droit de s’agiter et d’agiter les autres par des discours abominables devant des foules désordonnées, et que la vraie liberté consiste en l’inviolabilité de la personne qui observe honorablement et strictement toutes les lois de la vie en commun, que la dignité humaine est enveloppée dans la conscience des droits et aussi de l’absence de droits de chacun, et non pas entièrement et uniquement dans des imaginations fantastiques sur le sujet de son Moi.
  1. Une autorité sera glorieuse parce qu’elle sera toute-puissante, qu’elle gouvernera et guidera, et qu’elle ne s’embrouillera pas après que les dirigeants et les orateurs se soient écorchés avec des mots insensés qu’ils appellent de grands principes et qui ne sont rien d’autre, pour parler franchement, qu’une utopie …. Notre autorité sera la couronne de l’ordre, et en cela est inclus tout le bonheur de l’homme. L’auréole de cette autorité inspirera à tous les peuples une révérence mystique et une crainte respectueuse devant elle. La vraie force ne s’accorde avec aucun droit, pas même avec celui de Dieu : personne n’ose s’en approcher au point de lui enlever un seul bras.

 

PROTOCOLE n° 23

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  1. Pour que les peuples s’habituent à l’obéissance, il est nécessaire de leur inculquer des leçons d’humilité et donc de réduire la production d’articles de luxe. Nous améliorerons ainsi la morale qui a été avilie par l’émulation dans le domaine du luxe. Nous allons rétablir la production de petits maîtres, ce qui signifie qu’il faudra poser une mine sous le capital privé des manufactures. C’est indispensable aussi pour la raison que les fabricants à grande échelle déplacent souvent, mais pas toujours consciemment, les pensées des masses dans des directions opposées au gouvernement. Un peuple de petits maîtres ne connaît pas le chômage et cela le lie étroitement à l’ordre existant, et par conséquent à la fermeté de l’autorité. Pour nous, son rôle aura été joué au moment où l’autorité sera transférée entre nos mains. L’ivresse sera également interdite par la loi et punie comme un crime contre l’humanité de l’homme qui est transformé en brute sous l’influence de l’alcool.
  2. Les sujets, je le répète une fois de plus, n’obéissent aveuglément qu’à la main forte qui est absolument indépendante d’eux, car en elle ils sentent l’épée de la défense et du soutien contre les fléaux sociaux …. Que veulent-ils d’un esprit angélique dans un roi ? Ce qu’ils doivent voir en lui, c’est la personnification de la force et du pouvoir.
  3. Le seigneur suprême qui remplacera tous les dirigeants actuels, traînant dans leur existence des sociétés démoralisées par nous, des sociétés qui ont nié même l’autorité de Dieu, au milieu desquelles se développe de tous côtés le feu de l’anarchie, doit d’abord procéder à l’extinction de ce tout… flamme dévorante. Il sera donc obligé de tuer ces sociétés existantes, tout en les arrosant de son propre sang, afin de les ressusciter sous la forme de troupes régulièrement organisées et combattant consciemment tout type d’infection pouvant recouvrir le corps de l’État de plaies.
  1. Cet Élu de Dieu est choisi d’en haut pour démolir les forces insensées mues par l’instinct et non par la raison, par la brutalité et non par l’humanité. Ces forces triomphent maintenant dans des manifestations de vol et de toute sorte de violence sous le masque des principes de liberté et de droits. Elles ont renversé toutes les formes d’ordre social pour ériger sur les ruines le trône du roi des Juifs ; mais leur rôle se jouera dès qu’il entrera dans son royaume. Il faudra alors les écarter de son chemin, sur lequel il ne doit laisser aucun nœud, aucune écharde.
  2. Il nous sera alors possible de dire aux peuples du monde : “Rendez grâce à Dieu et fléchissez le genou devant celui qui porte sur son front le sceau de la prédestination de l’homme, auquel Dieu lui-même a conduit son étoile afin que nul autre que Lui ne nous libère de toutes les forces et de tous les maux mentionnés ci-dessus”.

 

PROTOCOLE n° 24

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  1. Je passe maintenant à la méthode de confirmation des racines dynastiques du roi David jusqu’aux dernières strates de la terre.
  2. Cette confirmation s’inscrira d’abord et avant tout dans celle qui, jusqu’à ce jour, a fait reposer la force du conservatisme de nos savants aînés dans la conduite des affaires du monde, dans la direction de l’éducation de la pensée de toute l’humanité.
  3. Certains membres de la graine de David prépareront les rois et leurs héritiers, en les sélectionnant non par droit d’héritage mais par d’éminentes capacités, en les induisant dans les mystères les plus secrets de la politique, dans les schémas de gouvernement, mais en prévoyant toujours que personne ne puisse avoir connaissance des secrets. L’objectif de ce mode d’action est que tous puissent savoir que le gouvernement ne peut être confié à ceux qui n’ont pas été initiés aux lieux secrets de son art ….
  4. A ces personnes seulement sera enseigné l’application pratique des plans susmentionnés par la comparaison des expériences de plusieurs siècles, toutes les observations sur les mouvements politico-économiques et les sciences sociales – en un mot, tout l’esprit des lois qui ont été inébranlablement établies par la nature elle-même pour la régulation des relations de l’humanité.
  5. Les héritiers directs seront souvent écartés de l’ascension du trône si, au cours de leur formation, ils font preuve de frivolité, de douceur et d’autres qualités qui sont la ruine de l’autorité, ce qui les rend incapable de gouverner et en soi dangereux pour la fonction royale.
  1. Seuls ceux qui sont inconditionnellement capables de gouverner fermement, même si c’est avec cruauté, directement, recevront les rênes du pouvoir de la part de nos aînés.
  2. En cas de maladie due à une faiblesse de la volonté ou à une autre forme d’incapacité, les rois doivent, en vertu de la loi, remettre les rênes du pouvoir à de nouvelles mains compétentes.
  3. Le plan d’action du roi pour le moment présent, et à plus forte raison pour l’avenir, sera inconnu, même de ceux qu’on appelle ses plus proches conseillers.

LE ROI DES JUIFS

  1. Seul le roi et les trois qui l’ont soutenu sauront ce qui va se passer.
  2. En la personne du roi qui, avec une volonté inflexible, est maître de lui-même et de l’humanité, tous discerneront en quelque sorte le destin avec ses voies mystérieuses. Personne ne saura ce que le roi souhaite atteindre par ses dispositions, et donc personne n’osera se tenir sur un chemin inconnu.
  3. Il est entendu que le réservoir cérébral du roi doit correspondre en capacité au plan de gouvernement qu’il doit contenir. C’est pour cette raison qu’il ne montera sur le trône qu’après examen de son esprit par les anciens savants susmentionnés.
  4. Pour que le peuple connaisse et aime son roi, il est indispensable qu’il puisse converser sur les places de marché avec son peuple. Cela permet d’assurer le nécessaire rapprochement des deux forces que la terreur nous sépare désormais l’une de l’autre.
  5. Cette terreur nous était indispensable jusqu’à ce que le moment arrive où ces deux forces séparément tomberont sous notre influence.
  6. Le roi des Juifs ne doit pas être à la merci de ses passions, et surtout de sa sensualité : il ne doit en aucun cas donner à ses instincts brutaux un pouvoir sur son esprit. La sensualité, pire que tout le reste, désorganise les capacités de l’esprit et la clarté des vues, détournant les pensées vers le côté le plus brutal et le plus mauvais de l’activité humaine.
  7. Le soutien de l’humanité en la personne du seigneur suprême de tout le monde de la sainte semence de David doit sacrifier à son peuple toutes les inclinations personnelles.
  8. Notre seigneur suprême doit être d’une irréprochabilité exemplaire. przion7.htm

Signé par le représentant de Sion, du 33e degré

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L’histoire parle

“Une nation peut survivre à ses imbéciles, et même aux ambitieux. Mais elle ne peut pas survivre à une trahison de l’intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, car il est connu et porte ouvertement sa bannière. Mais le traître se déplace librement parmi ceux qui se trouvent à l’intérieur de la porte, ses murmures sournois bruissant à travers… toutes les ruelles, entendus dans les salles mêmes du gouvernement.

Car le traître n’apparaît pas comme un traître ; il parle avec des accents familiers à ses victimes, et il porte leur visage et leurs arguments, il fait appel à la bassesse qui se trouve au fond du cœur de tous les hommes. Il pourrit l’âme d’une nation, il travaille en secret et à l’insu de tous dans la nuit pour saper les piliers de la ville, 71 il infecte le corps politique pour qu’il ne puisse plus résister. Un meurtrier est moins à craindre. Le traître est la peste”. – Marcus Tullius Cicero

 

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