Comment moins d’argent gagné peut-il rembourser plus de dettes ?

Les économies en plein essor produisent des excès

Le dernier chapitre du plus grand bouleversement immobilier

Notre choix détermine l’avenir

 

 

Les bulles éclatent toujours

La dette a augmenté, en raison de programmes de dépenses déficitaires massives qui ont détruit toutes les obligations financières. Il n’y a donc pas d’autre moyen de sortir de cette misère que d’abolir toute monnaie papier !

 

Les gens doivent savoir que le jeu est truqué ; les Banques Centrales détruisent délibérément la foi et la confiance dans leurs monnaies. Cela signifie la fin du système financier mondial.

 

Tant que les gens ne se réveilleront pas et ne reconnaîtront pas ce qui se passe, le monde ne pourra jamais mettre fin à ce jeu ridicule.

 

Père Marché y rajoute son mot. C’est ce qu’il fait toujours. Sous le faux marché, créé par une intervention artificielle, se cache un marché de vrais acheteurs et de vrais vendeurs.

 

À un moment donné, l’offre dépasse la demande. Alors les hommes d’affaires les plus intelligents s’inquiètent. Ils se dirigent tranquillement vers la sortie. Puis les autres très‑futés remarquent que les génies sont partis – et ils commencent eux aussi à se diriger vers la sortie. Puis arrivent les vendeurs à découvert. Les prix baissent. Et bientôt le marché est en chute libre.

 

Cela arrive toujours. Les bulles éclatent sans aucun doute. Cela s’est produit avec les dotcoms, avec le logement, avec les sociétés de crédit hypothécaire à risque, avec le pétrole et avec les dettes pétrolières. Nous sommes maintenant arrivés dans ce qui semble être le dernier souffle. Ça peut durer encore un moment… même aller un peu plus loin. Souvent un boom de cette ampleur a besoin d’une dernière étape dévastatrice de “super-duper” avant d’exploser !

 

Comment moins d’argent gagné peut-il permettre de rembourser plus de dettes ?

On peut présumer – juste une supposition – qu’un autre grand choc pourrait suivre avant que le sommet final de la bulle des actions ne soit atteint. – Attendez-vous à une chute effrayante – une réaction rapide des Banques Centrales – et alors la grande course vers la destruction aura commencé, c’est-à-dire elle aura entamé son “Dernier Tour Solitaire”.

 

Sans une plus grande croissance des revenus réels, l’énorme dette ne pourra pas être remboursée. Donc, au final, tout va s’écrouler. Comment moins d’argent gagné peut-il produire plus d’argent pour payer la dette qui aurait dû conduire à des revenus plus élevés ?

 

Vous pouvez poser la même question aux personnes qui ont acheté 500 milliards de dollars de dettes à risques du secteur de l’énergie, ou à celles qui ont acheté 1 000 milliards d’euros de dettes souveraines périphériques européennes. Ou les “investisseurs” dans 4 000 milliards de dollars de dettes des marchés émergents ? La réponse est la même partout : ils n’y arriveront pas !

 

Presque toutes les économies développées ont suivi le même chemin de dette vers endettement.

 

“Le monde développé a ajouté 50 000 milliards de dollars à sa dette au cours des huit premières années du XXIème siècle. En conséquence, le ratio dette/PIB est monté de 260 % à 390 %.”

 

Les ménages ont essayé de se débarrasser du poids de la dette. Mais le gouvernement et les entreprises ont emprunté plus que jamais. Aujourd’hui, le ratio dette/PIB est de 415 %, ce qui ajoute 15 000 milliards de dollars supplémentaires. La logique, les mathématiques et l’expérience nous disent que de trop lourdes dettes – non soutenues par des revenus réels plus élevés – s’effondreront sur la tête des gens qui se trouvent en dessous. Quand ? C’est la seule question à laquelle il est impossible de répondre maintenant.

 

Mais voici un aperçu de ce à quoi il faut s’attendre dans les mois à venir comme conséquence des faits mentionnés ci-dessus :

 

  • Le marché boursier va chuter fortement et pourrait finalement atteindre 3 300 – 3 800 avant qu’un autre marché haussier prolongé ne commence.
  • Le chômage atteindra 15 % ou plus, car le réservoir de main-d’œuvre continue de rétrécir et les entreprises préfèrent donner priorité aux personnes expérimentées, donc pas aux nouveaux arrivants.
  • Les prix de l’immobilier vont à nouveau chuter, jusqu’à 40%…. la soi-disant “reprise” ralentira plus vite que prévu au fur et à mesure de la hausse des taux hypothécaires et du désintérêt des mauvais investisseurs – également appelés spéculateurs – pour le marché.
  • En raison du déclin démographique actuel, des problèmes économiques et de la crise, recettes et revenus feront défaut dans de nombreux pays et municipalités en particulier aux niveaux inférieurs.
  • Face à d’énormes manques à gagner, les déficits publics augmentent.
  • La crise en Europe ne fait que s’aggraver avec l’éclatement de la bulle immobilière, la multiplication des faillites bancaires dans tous les États membres de l’Union européenne, qui glissent inexorablement vers la falaise démographique et vers un déclin rapide, l’Allemagne étant la plus grande surprise.
  • Malgré les leçons apprises en 2008, les sociétés de crédit hypothécaire et les institutions financières ont recommencé à proposer des prêts promotionnels à faible taux d’intérêt et sans obligation de remboursement, des investissements plus risqués, qui conduiront directement à une nouvelle et dernière crise financière, cette fois sans opération de renflouement.

 

Les recherches suggèrent que les effets de ces événements atteindront très bientôt leur paroxysme. Avant que cela ne se produise, “le marché aura tendance à monter. De nombreux investisseurs commettront l’erreur de penser que la récession est terminée, que les marchés vont reprendre vie.

 

Les économies en plein essor produisent des excès

Toutes les économies en plein essor ont engendré des excès, qu’il s’agisse de dépenses et de dettes excessives des propriétaires de maisons, causées par la croyance erronée que les prix des maisons monteront éternellement – de promoteurs immobiliers qui construisent trop et embauchent trop de gens en croyant que leur marché continuera à croître pour toujours –  “ou qu’il s’agisse de jeunes de 20 ou 30 ans qui gagnent deux, trois ou dix millions de dollars par an en déplaçant de l’argent à Wall Street”.

 

Plus le boom est important, plus les excès sont grands et plus il faut du temps pour les faire disparaître du système. Et avec près de 50 ans, ce dernier boom est le plus long depuis la révolution économique de l’après-guerre.

 

La plus grande bulle de crédit de l’histoire moderne provoque une Déflation, et non une inflation à l’horizon. Voici pourquoi la déflation – et non l’inflation – sera à l’ordre du jour.

 

L’histoire montre que des récessions et des dépressions graves comportent trois phases :

 

  • Un crash sévère, comme nous l’avons vu de fin 2007 à début 2009, lorsque le Dow Jones a chuté de 55 %, passant de 14 280 à 6 440.
  • Une reprise du marché, stimulée par un regain d’activité économique suite à des mesures de relance gouvernementales. C’est là où nous nous trouvons actuellement.
  • Et un crash final, une dépression plus profonde, et une phase déflationniste qui dure plusieurs années.

 

La plupart d’entre nous ont connu une certaine forme de déflation ces dernières années, notamment au niveau des salaires. Lorsque les bulles de crédit atteignent des proportions extrêmes, elles éclatent toujours et se tarissent – entraînant un resserrement soudain de la masse monétaire (crédit) ‑ suivi d’une déflation lorsque des dettes massives sont effacées et la richesse financière disparait en raison de l’effondrement des marchés.

 

C’est arrivé dans les années 30. Cela s’est produit à nouveau au Japon. Parce qu’aucun gouvernement ne peut mettre fin à ce type de dette écrasante avec une quelconque mesure de relance sans rendre sa monnaie sans valeur. Ce qui se produira probablement cette fois-ci également si ce cycle économique continue de se dérouler.

 

Le dernier chapitre du plus grand bouleversement de l’immobilier

Le monde est sur le point de voir le dernier chapitre du plus grand tremblement immobilier de l’histoire. L’une des règles classiques des bulles est qu’elles se dégonflent généralement pour revenir au moins au niveau de départ ‑  et souvent un peu plus bas encore.

 

ela signifie que “les prix de l’immobilier doivent chuter de 55 % à 65 % par rapport à leurs sommets de 2005. Les prix des maisons pourraient retomber aux niveaux de 2000, voire de 1990. En conséquence, jusqu’à la moitié des maisons tomberaient en “fonds propres négatifs” – “ce qui augmentera à nouveau le nombre de défauts de paiement et de saisies.”

 

Ces vérités économiques se combinent pour former les composantes de la tempête parfaite qui fait rage dans l’économie actuelle.

 

Les derniers membres de la plus grande génération de dépensiers de l’histoire – les baby-boomers fortunés – laissent derrière eux les années où ils ont le plus dépensé …. La déflation deviendra de plus en plus la tendance dominante à mesure que l’économie ralentit et que les dettes s’effondrent…

 

Les conséquences de ces événements aboutissent toutes à une chose : un resserrement sévère du crédit – et l’annulation de dizaines de milliers de milliards de prêts et de créances. Cela signifie moins d’argent dans le système, moins de dépenses, moins de demande, baisse des prix et, en fin de compte : dépression et déflation.

 

Telle est la réalité de l’économie actuelle – et la voie probable qu’elle suivra, basée sur l’examen de données historiques et empiriques.

 

Partout dans le monde, les gens ont considéré comme acquis que l’argent est un morceau de papier sans valeur ; c’est une illusion collective absolument insensée à laquelle on nous a forcés de croire.

 

Il y a des centaines d’années, les personnes qui voyageaient acceptaient des billets de banque appelés chèques de voyage (traveller cheques), car elles pensaient que les banques qui les émettaient avaient une bonne réputation. Et lorsque ces chèques étaient présentés à une banque locale, des billets en monnaie locale leur étaient rendus en retour sans qu’aucune autorité centrale ne puisse les authentifier. Mais aujourd’hui, les gens ne pensent plus de cette façon. Ils pensent qu’un gouvernement est nécessaire pour garantir la valeur de l’argent.

 

Cependant, l’argent réel est basé sur des caractéristiques naturelles, comme le fait d’avoir une valeur intrinsèque, d’être durable, divisible, uniforme, portable, rare et largement accepté. Ces caractéristiques sont essentielles pour qu’un moyen d’échange soit accepté comme norme de paiement équitable, ce qui n’est pas le cas des monnaies émises par les Banques Centrales aujourd’hui.

 

Contrairement aux monnaies des Banques Centrales, l’or a toujours été d’une valeur précieuse, alors que l’argent de la dette d’aujourd’hui est le fardeau de quelqu’un d’autre, soutenu par des promesses peu fiables qui finalement ne peuvent être tenues.

 

L’argent adossé à la dette est un crime contre l’humanité. Il a été inventé par Mayer Amschel Rothschild et repose sur le fait que l’argent est un flux d’énergie – également appelé monnaie – généré par la combinaison de matières premières, de biens, de services et de travail humain.

 

Les Rothschild ont mis au point un système mondial de travail forcé en émettant de la monnaie d’emprunt par le biais de leur propre système bancaire central privé qui a infiltré tous les pays. Comme le flux d’argent a été conçu pour leur revenir, cela leur a donné l’occasion puissante d’être les premiers à intervenir dans le contrôle financier et économique.

 

En contrôlant les flux monétaires et en soudoyant les gouvernements, ils ont fait en sorte que l’argent de leur dette sans valeur soit égal à l’argent de l’énergie du peuple, ce qui est une fraude aux proportions scandaleuses.

 

En faisant accepter cela, les changeurs de monnaie Rothschild ont transféré à eux‑mêmes l’énergie précieuse du travail du peuple.

 

L’argent créé à partir de rien et soutenu par une dette ne devrait pas permettre d’acheter des objets de valeur, car il s’agit d’une fraude. Tant qu’existera l’illusion que la “monnaie de la dette” a une valeur, et que nous, moutons, continuerons à adhérer à cette illusion en y participant, nous ne serons pas libérés de notre servitude de dette.

 

Lorsque les gens se réveilleront et réaliseront que la plupart des banques sont non seulement en faillite mais aussi corrompues, ils passeront en masse à l’or comme moyen de paiement, comme cela a été le cas pendant des siècles. Pour en savoir plus, cliquez ce lien.  https://finalwakeupcall.info/en/?s=gold

 

Notre choix détermine l’avenir

Nous sommes arrivés au carrefour le plus important de l’histoire du monde ; nos choix détermineront le cours de l’avenir. D’un côté, la poursuite de la structure de contrôle du pouvoir de l’État profond est en passe d’effacer nos libertés, comme nous pouvons le voir se produire maintenant avec le port de masques, l’éloignement social et les restrictions de voyage, conçus pour nous écraser moralement et mettre fin à notre prospérité étape par étape.

 

De l’autre côté, il y a la fin créative des gouvernements et des politiciens corrompus de l’État profond, ce qui nous mène vers la prospérité, la liberté et l’amitié.

 

Ce sera la décision collective la plus importante que nous ayons à prendre en ce moment.

 

Bientôt, nous verrons s’évaporer toutes les formes papier et électroniques de dette de la richesse, égalisant le terrain de jeu pour mettre en œuvre GESARA avec le nouveau système monétaire soutenu par l’or/les actifs, connu sous le nom de Système Financier Quantique (SFSQ), libre de toute interférence institutionnelle.

 

Ce sera un avenir complètement nouveau pour tous les habitants de la Terre, un avenir construit sur la vérité, l’honnêteté, la créativité, l’amitié et la liberté totale.

 

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