Apprendre l’avenir en étudiant le passé

Plusieurs épisodes de l’histoire de l’humanité sur Terre ont été marqués par la succession de colonies extraterrestres qui ont exercé leur influence territoriale et culturelle sur la planète.

Les archives historiques contiennent de nombreuses réponses aux questions fréquemment posées « qui sommes-nous », « d’où venons-nous » et « comment avons-nous évolué » pour devenir les êtres que nous sommes aujourd’hui.

Les origines de la vie remontent bien plus loin dans le temps qu’on ne le pense généralement, et même au-delà des épisodes de l’histoire de l’humanité.

Les actes d’héroïsme commencent au-delà des frontières de cette planète, dans les Royaumes Stellaires, les Fédérations Galactiques et les civilisations extraterrestres de l’Atlantide, de la Lémurie, de Mu et, plus récemment, des Tartares, que l’on ne découvre que maintenant. https://www.youtube.com/watch?v=I3vYjBxAl1M&t=11s

Un changement total de régime est nécessaire pour mettre fin à la destruction de l’environnement et ouvrir une nouvelle ère, ce qui est notre objectif. Mais il y a toujours la menace du Nouvel Ordre Mondial fasciste du Deep State qui veut s’emparer de la planète Terre pour en faire son monde d’Archonte.

Si nous, le peuple, permettons à ces quelques élites de moins de 1% d’imposer leur mal au reste d’entre nous, la « vie » ne sera plus humaine, et encore moins tout ce qui pourrait être appelé « vie ».

Les gens ne feraient qu’exister, et non vivre, entassés dans de minuscules tours, comme on en construit aujourd’hui, dans des mégapoles situées dans les zones d’établissement humain des méga-régions réglementées par l’Agenda 2030.

En partie grâce aux fausses injections de Covid, la population ne sera plus qu’une fraction de ce qu’elle est aujourd’hui et l’accès à 95 % de la surface du globe lui sera interdit dans un avenir proche.

Tout le monde sera équipé d’une puce et connecté à un système informatique qui dictera ses pensées, ses émotions et sa santé, ou plutôt son absence de santé.

Il n’y aura pas de voitures dans ce monde d’Archon et les seuls moyens de transport seront les réseaux ferroviaires locaux reliant les maisons et les lieux de travail et les trains à grande vitesse entre les méga-régions. Les gens auront besoin d’une autorisation pour voyager.

Les gens auront besoin d’une autorisation pour voyager et même dans ce cas, ils seront dans des wagons entourés de champs de contrôle cérébral sans fil et gardés par les voyous en uniforme de l’état.

Les gens devront travailler là où on leur dit de le faire, sans avoir le choix. Le mot « choix » disparaîtra du vocabulaire, ainsi que d’autres mots comme liberté, comme Orwell l’avait imaginé dans sa prescience.https://www.youtube.com/watch?v=gYUJjpIxkCU

Des tentatives à grande échelle sont faites pour programmer les êtres humains afin qu’ils soient plus faciles à contrôler et pour éliminer tout vestige d’homme spirituel, religieux et conscient. La soi-disant « race post-humaine » est en train d’être développée en tant qu’esclaves dans le monde de l’Agenda 2030.

La technologie de fusion de l’esprit a déjà été développée pour connecter les cerveaux en une unité multifonctionnelle afin de transférer ou de télécharger les pensées et les perceptions entre eux.

Si vous aimez cette perspective, restez endormi, sinon réveillez-vous et unissez vos forces pour éliminer l’État Profond de notre planète une fois pour toutes !

Pour en savoir plus : https://www.rt.com/usa/310730-robo-mission-us-journey/

https://www.rt.com/usa/310705-drone-air-traffic-control/

Le Tatarstan défini comme un État souverain

Le 30 août 1990, le Tatarstan a déclaré sa souveraineté par la Déclaration sur la Souveraineté de l’État de la République socialiste soviétique du Tatar et, en 1992, le Tatarstan a organisé un référendum sur la nouvelle constitution. En 1992, le Tatarstan a organisé un référendum sur la nouvelle constitution. 62 % des participants ont voté en faveur de la constitution.

La Constitution du Tatarstan de 1992 définit le Tatarstan comme un État souverain. Tatar est devenu un nom pour les peuples de l’ancienne Horde d’Or en Europe, comme ceux des anciens Kanats de Kazan, de Crimée, d’Astrakhan, de Qassim et de Sibérie.

La forme Tartar vient du latin ou du français et, dans les langues d’Europe occidentale, du turc et du persan (tātār, « messager monté »). Dès le début, le r supplémentaire était présent dans les formes occidentales et, selon l’Oxford English Dictionary, cela était probablement dû à une association avec le Tartare.

Le mot persan, mentionné pour la première fois au XIIIe siècle en référence aux hordes de Gengis Khan, est d’origine inconnue, mais on pense qu’il dérive de tata, un nom que les Mongols se donnaient à eux-mêmes.

Le mot arabe pour Tartare est راتت. Les Tatars eux-mêmes écrivaient leur nom comme راتات ou راطاط. Le terme chinois pour désigner les Tatars était 韃靼 ; Dádá, surtout après la fin de la période Yuan (XIVième siècle), mais il a également été utilisé pour désigner les peuples de langue mongole des steppes septentrionales pendant la période Tang (VIIIième siècle).

Le nom Tatar a été utilisé comme terme alternatif pour désigner les Shiwei, une confédération nomade à laquelle appartenaient ces Tatars. Tous les peuples turcs qui vivaient dans l’Empire russe ont été appelés Tatars, en tant qu’exonyme russe. Certains de ces peuples utilisent encore le terme Tatar pour se désigner eux-mêmes, d’autres non.

Tatars de la Volga, Tatars d’Astrakhan, Tatars de Lipka, Tatars de Crimée. Les Tatars du Daghestan, qui vivaient dans les montagnes. Les Tatars Nogai, y compris le sous-groupe Karagash des Tatars Nogai-Kundrov. Les Tatars de Sibérie, les Tatars de l’Altay, y compris les Tatars Tubalar ou Chernevo. Les Chulyms ou Tatars Chulym, les Tatars Yenisei, également appelés Abakan ou Achin Tatars, utilisent toujours le nom de Tatar. Les Tatars de Kuznetsk et les Azerbaïdjanais : les Tatars caucasiens, également appelés Tatars trans-caucasiens ou Tatars azerbaïdjanais.

Le nom Tatar est également un endonyme pour un certain nombre de peuples de Sibérie et de l’Extrême-Orient russe, à savoir les Khakas. La Tartarie avait sa propre langue, son propre drapeau, ses propres armoiries, son propre empereur et, bien sûr, son propre peuple.

En langage courant : « La Tartarie est un vaste pays du nord de l’Asie, limité au nord et à l’ouest par la Sibérie : on l’appelle la Grande Tartarie.

Les Tartares au sud de la Moscovie et de la Sibérie sont ceux de l’Astrakhan, de la Circassie et du Daghestan, au nord-ouest de la mer Caspienne ; les Tartares du Calmuc, entre la Sibérie et la mer Caspienne ; les Tartares et les Moghols ouzbeks, au nord de la Perse et de l’Inde ; et enfin ceux du Tibet, au nord-ouest de la Chine”. D’après l’Encyclopedia Britannica, Vol. III, Edinburgh, 1771, p. 887.

A nouveau comparée à la description de Wikipedia :

“La Tartarie (latin : Tartaria), ou Grande Tartarie (latin : Tartaria Magna), est un nom utilisé du Moyen Âge jusqu’au XXe siècle pour désigner la vaste région de l’Asie du Nord et de l’Asie centrale qui s’étend de la mer Caspienne et des montagnes de l’Oural à l’océan Pacifique, largement peuplée de peuples turcs après l’invasion mongole et les migrations turques qui ont suivi”. Dans la mythologie grecque, le Tartare est à la fois une divinité et un lieu du monde souterrain.

Dans les sources orphiques antiques et les écoles de mystères, le Tartare est également le premier être illimité d’où naissent la lumière et le cosmos.

Selon la Théogonie du poète grec Hésiode, écrite vers 700 avant J.-C., le Tartare était le troisième des dieux primordiaux, après Chaos et Gaïa (la Terre) et avant Éros, et, par l’intermédiaire de Gaïa, il était le père du monstre Typhon.

Selon Hyginus, le Tartare est issu de l’Éther et de Gaïa.

Dans la mythologie romaine, le Tartare est le lieu où sont envoyés les pécheurs.

Virgile le décrit dans l’Énéide comme un lieu gigantesque entouré du fleuve enflammé Phlégéton et de triples murailles pour empêcher les pécheurs de s’échapper. Il était gardé par une hydre aux cinquante mâchoires noires et béantes, assise devant une porte à claire-voie protégée par des colonnes d’adamantin massif, une substance semblable au diamant – si dure que rien ne peut la transpercer.

À l’intérieur se trouve un château aux larges murs et à la haute tour de fer. Tisiphone, l’une des Erinyes nommée la vengeance, monte la garde au sommet de la tour, sans dormir, en brandissant un fouet.

À l’intérieur se trouve une fosse dont on dit qu’elle descend deux fois plus loin que la distance entre la terre des vivants et le mont Olympe. Au fond de cette fosse se trouvent les Titans, les fils jumeaux d’Aloeus et de nombreux autres pécheurs. D’autres pécheurs encore sont enfermés dans le Tartare, avec des châtiments tout droit sortis de la mythologie grecque.

Pour rendre l’histoire révisée sérieuse et crédible, ou simplement pour l’étoffer, un extrait du document de 1957 de la CIA, publié en 1998, décrit la conspiration visant à effacer la Tartarie de l’histoire.

Entre-temps, les lecteurs alertes de la FWC savent mieux !

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À suivre, au fur et à mesure que le temps nous en apprend davantage.

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