La Pyramide et le Sphinx sont beaucoup plus anciens que ce qui est affirmé

Notre origine nous est délibérément cachée

Les réponses sont à Sumer

Les technologies modernes et la science

 

Un nouveau modèle pour l’origine de l’Homme

Les premiers secrets concernant notre origine nous ont été cachés pendant des siècles. Aucune des deux théories, la “théorie de l’évolution” et la “théorie de la création” n’expliquent la vraie origine de l’homme. La théorie de Darwin de la survie du plus apte n’explique pas comment l’Homme a surmonté les défauts de sa structure ADN, tandis que la théorie de la création ignore le nombre impressionnant de fossiles et d’artefacts à la surface de la Terre. Nous avons clairement besoin d’un nouveau modèle concernant nos origines.

 

Très récemment, la confusion est montée autour de ces théories sur l’homme moderne, à travers la découverte de fossiles qui indiquent que l’homme de Neandertal, un homme primitif, vivait sur le même territoire que l’homme de Cro-Magnon, “l’homme moderne”, dans ce qui est aujourd’hui Israël. Et bizarrement, les deux races ne se mélangèrent pas.

Il y a une seule solution à cette énigme écrit James Shreeve dans son livre “l’énigme Neandertal”, c’est que les deux espèces ne se croisèrent pas parce qu’elles ne le pouvaient pas.

 

Du point de vue de la reproduction, ils étaient incompatibles. C’était deux espèces trop différentes. De plus la recherche scientifique a montré que les restes de l’homme moderne étaient au moins 40 000 ans plus anciens que ceux des Neandertal. Cette découverte à elle seule rend la théorie de l’évolution indéfendable.

 

Cette conclusion peut également offrir une réponse à la question du lien manquant entre l’homme primitif et l’homme moderne dans la chaîne de l’évolution, à savoir que ce lien … n’existe pas.   Clairement donc, il y a toujours eu différentes sortes de peuples, ce qui signifie que nous avons besoin d’une nouvelle explication de nos origines.

 

Un nombre grandissant d’archéologues, de théologiens, et d’historiens défendent les réponses toutes faites que la science conventionnelle a toujours apportées. Ces scientifiques ne font pas qu’affirmer ces idées, ils les défendent becs et ongles. Ils sont aussi inflexibles et déterminés que ceux qui déclarent que la Terre est plate, et continuent à défendre leurs théories jusqu’à la dernière extrémité, malgré l’évidence grandissante du contraire.

 

Beaucoup des mystères de notre planète sont liés à des objets anciens vieux de milliers d’années.  Parmi ceux-là on trouve les tablettes d’argile, qui ont été transcrites et traduites, et sur lesquelles sont décrits les courses des planètes Vénus et Saturne avec leurs sept satellites, qui furent observés dans l’ancienne Babylone, sans l’usage de télescopes.

 

Qu’en est-il également de la ziggurat rectangulaire qui fut construit approximativement 8000 ans avant JC ? Il fut découvert très récemment à proximité d’Okinawa, et révèle un peuple à la technologie avancée qui vécut bien avant la date généralement admise de la première civilisation de notre planète.

 

La question se pose : qu’est-ce que nous ne savons pas à propos de notre passé et des nombreux objets qui ont été découverts ?

Peut-on faire l’hypothèse que, au cours des siècles, la plus grande partie de notre littérature et des objets ont été détruits délibérément, et que cela ferait partie d’un grand plan destiné à laisser le peuple ignorant et inconscient ?

Rien ne reste de la destruction de la bibliothèque égyptienne du Temple de Ptah à Memphis. De manière similaire, 200 000 ouvrages précieux disparurent pendant la destruction de la bibliothèque de Pergame, en Asie Mineure. Quand les Romains détruiront la ville de Carthage, ils firent disparaître 500 000 livres et quand Jules César provoqua la guerre en Egypte, la bibliothèque d’Alexandrie fut perdue, elle qui était considérée comme abritant la plus grande collection de livres et de manuscrits des temps anciens.

 

A cause de ces tragédies, nous sommes maintenant limités à des fragments isolés, à quelques rares passages et pauvres rapports, se plaint l’auteur Andrew Tomas. Notre passé lointain a été aspiré dans un vide qui n’a été que peu comblé par de rares tablettes, parchemins, sculptures, peintures et objets d’art variés, tous soigneusement sélectionnés pour nous égarer et nous inciter à dormir avec un cocktail de demi-vérités et de tromperies.

L’histoire de la vraie science serait très différente aujourd’hui si la collection de la bibliothèque d’Alexandrie existait encore.

 

 

La Pyramide et le Sphinx d’Egypte sont beaucoup plus anciens que ce qui est établi

Le mystère du passé de l’espèce humaine est symbolisé par deux des plus anciennes structures sur Terre : la grande Pyramide et le Sphinx d’Egypte. Selon de nombreux archéologues, ils furent construits il y a environ 4500 ans. La découverte récente en surface de pyramides d’érosion dues à de fortes chutes de pluie est un phénomène qui n’aurait pu se produire qu’avant 10 000 ans en arrière, avant que le Plateau de Gizeh ne devienne un désert. Cela confirme que ces structures ont été bâties des milliers d’années avant l’émergence de l’ancienne civilisation égyptienne.

 

Partout dans le monde, des traces incontestables de civilisations préhistoriques ont été découvertes, qui ne correspondent pas au discours conventionnel de notre histoire. L’auteur Alan Alford écrit dans son ouvrage “Preuve scientifique de Dieux de chair et de sang” : il semble qu’il y ait des traces d’une existence préhistorique qui soit un héritage sous forme de pierre, cartes et mythologie qui ne peuvent être déchiffrés qu’avec notre technologie moderne.”

 

Qui étaient ces peuples et comment étaient-ils arrivés à ces technologies modernes ?

Est-ce qu’une telle civilisation, préhistorique et avancée, serait à la base des légendes d’Atlantis et de Mu ?

Les gens restent soupçonneux et sceptiques, et voient là une conspiration de l’Elite pour maintenir son pouvoir et son contrôle, en laissant consciencieusement l’humanité dans le noir à propos de sa vraie origine et de ses

 

L’idée que l’origine de l’humanité est délibérément cachée est dans une large mesure très perturbante pour ceux qui ont construit leur carrière sur l’évolution lente de l’homme primitif et barbare à l’homme civilisé.

 

Il semble en revanche que ces segments dispersés du savoir préhistorique ont continué d’exister sous différentes formes à travers des sociétés secrètes comme les écoles égyptiennes du mystère et celles de Pythagore. Ces groupes mystérieux n’ont pas seulement transmis des idées religieuses comme la réincarnation et la relocalisation de l’âme, mais aussi des savoirs faire dans le domaine de l’architecture et des grands principes architecturaux, de l’astronomie, de l’agronomie, et de l’historiographie. Une des idées sous-jacentes et unificatrice des premières alliances était le monothéisme, la croyance en un Dieu créateur unique et universel.

 

Les réponses sont à Sumer

Les secrets les mieux gardés du monde conduisent à Sumer en Mésopotamie, la première grande civilisation connue qui s’épanouit entre les rivières du Tigre et de l’Euphrate, dans les plus hautes régions du Golfe Persique.

Cette culture semble avoir émergé de nulle part, plus de 6000 ans avant JC, avant qu’elle ne disparaisse de manière tout aussi mystérieuse,  alors qu’elle a profondément influencé la vie sur Terre.

 

Autour de 2400 ans avant JC, des tribus sémites attaquèrent Sumer depuis l’Ouest et le Nord et autour de 2320 avant JC, le pays fut dominé par le seigneur de guerre Sargon le Grand, le fondateur de la dynastie sémite des Acadiens, qui s’étendit depuis le Golfe Persique jusqu’à la Méditerranée.

Après des années de guerre et de migrations, les pays sumériens furent réunis sous Hammourabi de Babylone. Son fameux code des lois fut ostensiblement imposé par la force pour faire plier les populations.

 

Il y a à peu près 150 ans, presque rien n’était connu des Sumériens, jusqu’à ce que des archéologues, motivés par les écrits de l’italien Pietro della Valle qui vécut au début du 17ème siècle commencent à fouiller les collines remarquables dispersées dans la campagne au Sud de l’Irak.

C’est là que le Français Paul Emise Botta découvrit en 1843 le palais de Sargon II, près du aujourd’hui Khorsbad A cette époque, des cités enfouies furent découvertes, des palais en ruines, des objets anciens et des milliers de tablettes d’argile avec des descriptions détaillées de chaque facette de la vie sumérienne.

 

L’écriture cunéiforme sumérienne

A la fin du 19ème siècle, la langue sumérienne fut reconnue comme une langue originale et sa traduction commença.

Malgré l’acquisition de ce nouveau savoir, le grand public ne sait que très peu de cette première grande civilisation humaine qui apparut soudainement en Mésopotamie. C’est fascinant d’apprendre plus de cette civilisation de 6000 ans, qui fut largement connue des civilisations égyptiennes, grecque et romaine des époques suivantes.

 

L’explication réside dans cette écriture cunéiforme, alors que les rouleaux de papyrus des autres anciens empires ont malheureusement disparu au cours du temps, ou furent détruits par les guerres et le feu. Par contraste, l’écriture cunéiforme était tracée avec un stylet sur les tablettes d’argile, donnant les angles à partir desquels fut formée cette écriture. Ensuite ces tablettes étaient séchées, cuites et stockées dans de vastes bibliothèques. Environ 500 000 de ces tablettes ont été trouvées, et elles ont donné aux chercheurs une connaissance très précieuse de cette civilisation.

 

Même actuellement, une grande partie de ces tablettes n’a toujours pas été traduite, le besoin de traduction dépassant la capacité de la petite poignée de traducteurs ayant la connaissance nécessaire. L’alphabet sumérien est l’énoncé abrégé d’une langue écrite beaucoup plus ancienne composée de pictogrammes, c’est-à-dire de petits signes comme les emoji de votre téléphone ou de vos tablettes, qui à l’époque ressemblait aux caractères chinois. Du coup, la traduction donne un large spectre de possibilités, et demande d’analyser plus largement le contexte pour obtenir une interprétation correcte.

 

Les technologies modernes et la science

La recherche archéologique a montré que 4000 ans avant JC, les vallées du Tigre et de l’Euphrate étaient drainées, des canaux étaient creusés, des barrages et des digues érigées, en bref qu’un système d’irrigation à grande échelle avait été construit, et que de grandes villes comme celles que nous connaissons aujourd’hui avaient été bâties.

Malgré le fait que nous avons été bernés par une vision très superficielle de la civilisation sumérienne, nous arrivons à comprendre qu’ils étaient pionniers dans le monde dans beaucoup de domaines. Selon le professeur S.M. Kramer, auteur du livre “L’histoire commence à Sumer avec les Sumériens”, ce peuple fut le premier à développer un système d’écriture, inventa la roue, eut des écoles de médecine, les premiers proverbes écrits, une historiographie, deux chambres parlementaires, un système de taxes, des lois, des réformes sociales, les premières cosmogonie et cosmologie, et le premier système de pièces monétaires basé sur une pièce d’argent à poids fixe, le shekel.

 

Les sumériens voyagèrent loin et beaucoup, grâce à leurs techniques développées de construction navale et de cartographie, qu’ils transmirent ensuite aux Phéniciens, situés le long de la côte orientale de la Méditerranée, dans ce qui est aujourd’hui le Liban.

 

Leur connaissance de l’Univers était à la fois étonnante et mystérieuse. L’intégralité du concept d’une astronomie sphérique, incluant le cercle de 360°, l’arc céleste, l’horizon, l’axe céleste, les pôles, l’écliptique, le phénomène du jour et de la nuit, etc., apparaît soudain  chez les sumériens, remarque Alford. La connaissance sumérienne des mouvements du soleil et de la lune se traduisit par le premier calendrier dans le monde, qui par la suite fut utilisé pendant des siècles par les Sémites, les Egyptiens et les Grecs.

 

Alford remarque que très peu de gens réalisent que nous leur devons non seulement notre géométrie, mais aussi notre système actuel de mesure du temps, basé sur le nombre 60, avec une heure = 60 minutes, et une minute = 60 secondes. Cela ne fut pas créé par hasard mais par le système sexagésimal, basé sur le nombre 60, explique Alford.

 

Plus encore, le zodiaque des temps modernes est une création sumérienne, basé sur les 12 dieux. Ils se servaient de leur connaissance pour représenter un cycle  avec grande précision, divisant les 360° comme vus depuis le pôle Nord, dans le parcours de la Terre sur son orbite de 12 mois autour du soleil, en 12 parts égales de 30° chacun.

 

Etaient prises en compte les légères déviations dans l’orbite de la terre. Il faut 25920 années pour dérouler le parcours de ce cycle, encore connu sous le nom de l’an platonique, nommé ainsi sous l’influence du savant Platon sur les Templiers, les Illuminati, les chevaliers des table-ronde de Rhodes.

 

La question inconfortable que les scientifiques évitent aujourd’hui est la suivante : comment les Sumériens, dont la civilisation n’a duré que 2000 ans, ont-ils pu observer correctement et décrire précisément le cycle céleste, et parvenir à la conclusion qu’il durait 25 920 ans ? Et pourquoi leur civilisation a commencé à la moitié d’un cycle du zodiaque ? Est-ce une indication du fait que leur connaissance de l’astronomie leur provient des dieux ? Question que pose Alford.

 

Le questionnement peut même aller plus loin. Comment est-il possible que des primitifs d’il y a quelques 6000 ans changèrent soudain de structures sociales, passant de petits groupes de chasseurs à de véritables civilisations, et même selon certains critères à des civilisations avancées ?

 

Peut-être pouvons-nous demander aux Sumériens eux-mêmes, sur la base du savoir acquis de leurs tablettes d’argile ? Les réponses à toutes ces questions, à ce qu’ils disent eux-mêmes, est que tout ce qu’ils accomplissent provient de leurs dieux. Tous les peuples des temps anciens croyaient dans des dieux qui étaient descendus des cieux sur terre, et qui pouvaient choisir de refaire leur ascension au paradis à volonté, explique Zacharia Sitchin, parmi d’autres choses, dans son livre “la douzième planète”.

Sitchin argumente que les chercheurs académiques ne pouvaient pas développer avant le début du 20ème siècle des théories qui nécessitent des connaissances et des idées qui aujourd’hui sont normales pour nous. Les astronautes ont atterri sur la lune et de nombreux vaisseaux explorent d’autres planètes, il est plus facile de croire à la perspective d’une civilisation sur une autre planète qui fut plus développée que la nôtre à cette époque, et que cette civilisation était capable d’atterrir sur la planète Terre avec ses propres astronautes.

 

Les Sumériens appelèrent ces êtres, qui leur apportaient tant de connaissance, les Anunnaki, ou littéralement “ceux qui vinrent sur Terre depuis les cieux”.

 

Dans notre prochain essai, nous approfondirons davantage ces fascinants récits historiques; une histoire qui nous a été intentionnellement et méthodiquement cachée, gommant notre passé et remplacée par une version falsifiée, avec l’objectif ultime que nos dirigeants oppresseurs deviennent nos dieux.

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La révélation des pyramides

Depuis des siècles, les grandes pyramides fascinent l’humanité. La révélation des pyramides de Patrice Pooyard révèle ce qui se cache derrière le plus grand mystère archéologique: un message d’une importance capitale pour l’humanité. De la Chine au Pérou, de l’Égypte au Mexique, en passant par les sites les plus énigmatiques et les plus beaux du monde, le réalisateur a passé six ans à rencontrer d’éminents spécialistes scientifiques et à vérifier ses découvertes. Le résultat ébranlera l’enseignement de l’histoire et révolutionnera complètement l’égyptologie. Une grande odyssée le long d’un itinéraire à couper le souffle culmine dans une révélation aussi inattendue que stupéfiante.

Faites votre évaluation à la fin de ce documentaire, recommandez-la à vos amis, parlez-en et gardez l’esprit ouvert.